« Tu sais, ce qui pourrais être bien? Tantôt, on pourrait genre bouffer, puis prendre un bain ou une douche, dépendant de ce qui se trouve de l'autre pièce » Souriant en coin de sa proposition si alléchante, je lui lançai un regard quelque peu taquin et coquin, j’étais en train de fondre, Elijah me rendait de plus en plus folle, et j’aimai qu’il puisse avoir cette détention sur moi… De pouvoir faire réellement ce qu’il veut de moi. Il voulait passer la nuit au lit ? Pas de souci, j’étais prête à dire oui tant que lui pouvait suivre la cadence. Sentant ses mains prendre mon visage en coupe, je le laissais faire en souriant en coin plongeant alors mon regard bleuté dans le sien d’un chocolat particulièrement magnifique. « Je t'aime vraiment, Vanillé » Gémissant longuement en posant a mon tour mes mains sur son visage, je le lui caressais doucement tout en frissonnant longuement. Ces simplement paroles me rendait totalement dingue. J’aimais atrocement son je t’aime, j’avais l’impression que ma vie prenait enfin une toute autre tournure et c’était… Magique, intense, fabuleux. J’aimais terriblement Elijah, il était à mes yeux l’homme idéal, celui qu’il me fallait… M’approchant de lui pour déposer un doux baiser sur ses lèvres, j’effleurais à peine ses lèvres les lui caressant avec envie et délicatesse avant d’attraper sa lèvre inférieure la lui suçotant sans pour autant le quitter du regard. Frissonnant de bien être en plongeant mon regard dans le sien, je vins alors frotter mon nez au sien tout en faisant mine de grogner doucement.

« Bouffe… Bouffe et douche ! Je suis pour ! D’ailleurs ils ne devraient pas tarder à arriver nous livrer… » Murmurai-je doucement en passant une main dans ses cheveux les lui tirant lentement en arrière dégageant alors son front en le scrutant longuement du regard. Ronronnant presque en déposant de doux baiser sur ses lèvres, je glissais ma langue dans sa bouche, cherchant alors la sienne la pressent longuement avec envie, me délectant alors de ce baiser si intense. « Je t’aime Elijah, je t’aime vraiment moi aussi, je suis bien avec toi, ce que je ressens dans mon cœur pour toi… C’est… violent, plaisant, intense… » Murmurai-je doucement avant d’entendre la sonnette du studio retentir. Gémissant doucement en le poussant roulant sur le lit en riant faiblement, je léchai faiblement ses lèvres avant de me relever nue comme un ver. Attrapant un t-shirt au vol l’enfilant, celui-ci m’arrivant mi cuisse je filais alors vers la porte d’entrée, l’ouvrant a peine prenant alors la commande avant de lui donner l’argent qu’il me demandait, refermant rapidement la porte derrière moi. Fermant même a clé en mettant toutes les sécurités possible, je posais le tout sur le lit avant d’enlever le t-shirt l’air de rien et de revenir dessus pour pousser Elijah et l’embrasser doucement en roulant sur lui avec envie. « On a la bouffe chéri ! Désolée, mais je dois t’avouer un truc… Je suis ultra gloutonne… » Lâchai-je en regardant la grande quantité de bouffe qu’il y avait sur le lit. « Oui, malgré ma minceur extrême…. Je bouffe comme trois… Alors prend pas peur hum… Et mange avant qu’il n’y ait plus rien… » Rajoutai-je l’air de rien avant de me relever m’asseyant sur le lit tirant un pan de couverture sur mes jambes cachant plus ou moins mon intimité attrapant un paquet de nourriture l’ouvrant prenant les couverts fournis pour manger tranquillement en le regardant en coin l’air de rien.

« Bouffe… Bouffe et douche ! Je suis pour ! D’ailleurs ils ne devraient pas tarder à arriver nous livrer… » Aussitôt dit, la sonnette retentit. Elle a une sorte de pouvoir ? Elle entend la bouffe arriver à des miles et des miles ? Nous eûmes seulement le temps de partager un ultime baiser dans un souffle d'amour intense. Me délectant de ses paroles, tellement réciproque, un petit sourire en coin se dessinait sur mes lèvres. Je suis certes, un peu moins près de mes sentiments que les filles, mais quand même proche pour un garçon, j'appréciais d'être ainsi aimé par la belle Vanillé.«Ah si tu savais, les mots manquent pour tout décrire» Elle rit et me lécha les lèvres. Je la retins pour un petit baiser, pur et simple. Elle se releva. Quoi, elle va tout de même pas aller répondre toute nue ? Ma bouche s'ouvrit dans un mouvement de béatitude et puis faut pas mentir, mon petit coté possessif ressortait. Hors de question qu'un pauvre livreur inconnu la voit ainsi. Heureusement, elle prit un gilet -le mien, oui, oui c'est très important que je précise. Elle est genre trop sexy dedans- et alla répondre. Pendant ce court laps de temps, je me laissais tomber sur le lit et fixait le plafond. Vanillé est la source de bonheur que je n'ai jamais eu. Même tout petit alors que tout est censé nous sembler extraordinaire, où la moindre petite chose nous émerveille, je n'ai pas eu cette chance. Non, j'étais coincé entre deux parents trop fiers. Ils refusaient quelconque activité qu'ils jugeaient indécente. Pour la première fois de ma vie, je peux dire que je suis enfin heureux.

Omis les sacs du resto, je n'entendais aucun son, jusqu'à ce qu'elle se pose sur le lit. Lorsqu'elle me poussa, je lâchais un petit grognement de vieux mécontent. Enfin les grognements des vieux qui chiquent et qui sont dérangés ou alors que le moindre effort leur demande tout l'or du monde. Je me tournais vers elle et partageais tendrement ce baiser. Je pourrais mourir pour passer ma vie à partager ces baisers avec Vanillé. Avoir une vie heureuse, des enfants peut-être ? « On a la bouffe chéri ! Désolée, mais je dois t’avouer un truc… Je suis ultra gloutonne… » Je relevais le regard pour suivre la direction du sien. J’écarquillais les yeux et me demandais si elle avait invité quelqu'un. Ça ne se peut pas que cette si petite chose mange au moins le double de ce que tout être normal mangerait. Mes yeux faisait la navette entre la bouffe et Vanillé, réalisant au moins que je n'aurais pas affaire à une fille qui étudie les menus en profondeur dans les restaurants pour s'assurer qu'elle ne prendra pas plus de 10 calories en incluant le dessert. En fait, elle est simple et elle fait ce qu'elle a envie et c'est pour le mieux. « Oui, malgré ma minceur extrême…. Je bouffe comme trois… Alors prend pas peur hum… Et mange avant qu’il n’y ait plus rien… » Ah, je m'étais trompé, elle mange pour trois et non pour deux. Je souriais et prenais un carton de nouilles et des boules au poulet, pour l'instant. Je regardais Vanillé, un regard et un ton taquin: «Tu crois en avoir assez comme ça ? Dois-je aller acheter un gâteau d'anniversaire pour le dessert?» L'odeur des cartons me titilla bien vite et je fus obliger d'obéir à mon estomac qui grondait.

« Ah si tu savais, les mots manquent pour tout décrire » Riant doucement à ces mots et sa petite tête, je lui ébouriffais les cheveux l’air de rien, léchant ses lèvres a plusieurs reprises gémissant doucement. « Elijah… Je t’aime… » Susurrai-je contre ses lèvres mon regard plongé dans le sien, un faible sourire apparaissant sur mon visage. Avant que le livreur ne sonne à la porte. M’embrassant doucement, j’enfilais un gilet, le sien, couvrant mon corps avant de payer celui-ci et de prendre la commande. Souriant en coin fermant la porte à clé par la suite, je revins sur le lit toute nue, ne préférant pas garder le gilet histoire que l’on soit tous les deux à égalité, niveau nudité. Sortant la nourriture des paquets je lui tendis des paquets pour qu’il se serve lui murmurant alors que je me nourrissais vraiment beaucoup pour ma part et que j’espérais ne pas le choquer… Vraiment, car pour le coup ça pouvait bien le faire fuir, je choquais pas mal de monde avec tout ce que j’ingurgitais… Et sans attendre je me mis alors à manger l’air de rien. « Tu crois en avoir assez comme ça ? Dois-je aller acheter un gâteau d'anniversaire pour le dessert? » Fronçant les sourcils la bouche pleine, je tournais un vague regard vers Elijah surprise de sa taquinerie avant de lui tirer la langue comme je le pouvais riant faiblement. Non, je ne pouvais pas manger plus que ce que j’avais acheté, un gâteau serait vraiment de trop pour le coup. Même si c’était tout de même alléchant. J’étais gourmande, j’avais parfois du mal a ne pas m’acheter une part de gâteau, surtout si celle-ci était au chocolat…

Léchant rapidement mes lèvres en me redressant sur mes genoux, je m’approchais de lui pour lui voler un doux baiser, inspirant sa douce fragrance en souriant en coin, mon nez caressant alors le sien avec envie. « Hmm, ne me fait pas grossir avant l’heure toi, petit coquin ! » Murmurai-je contre ses lèvres en frissonnant doucement contre ses lèvres l’embrassant alors un peu plus posant mes mains sur le matelas me collant un peu plus contre lui en frissonnant, gémissant longuement, mon corps me faisant comprendre qu’il avait encore envie de lui. Attrapant son poignet baissant ses mains, je lui fis poser sa nourriture avant de le faire basculer sur le lit en souriant aspirant lentement sa lèvre inférieure. « Mais je veux bien mon dessert avant l’heure… » soufflai-je doucement en plongeant mon visage dans son cou mordillant longuement sa peau en gémissant longuement, mes mains se baladant alors sur son corps le découvrant petit à petit, aimant terriblement toucher sa peau, ses muscle, son corps tout entier. Passant ma main sur son membre, je l’empoignais doucement un sourire taquin se logeant alors sur mon visage. Comme si j’avais attrapé mon but ultime, comme si j’avais là en main, tout ce qui me permettait de faire de lui ce que je voulais… Il pouvait bien refuser s’il préférait manger avant de me faire l’amour, mais moi, là tout de suite j’avais très envie de lui et pas qu’un peu. M’allongeant sur lui, je glissais le long de son corps déposant de multiples baisers sur son torse arrivant enfin sur son membre pour donner un grand coup de langue jouant de mon piercing sur son point sensible en souriant en coin le prenant alors en bouche faisant deux vas et vient avant de me redresser l’air de rien en portant un doigt à ma bouche. « A moins, que tu veuilles finir de manger mon amour ? » Demandai-je doucement me reculant l’air de rien le provoquant plus que de raison, en reprenant ma nourriture pour continuer de manger, comme si de rien était. Sadique moi ? Bien sur que oui ! En espérant qu’il ne me mette pas un réel vent pour la peine…

« Hmm, ne me fait pas grossir avant l’heure toi, petit coquin ! » Je haussais un sourcil de façon inquisitrice. Voir si la part de gâteau changerait quelque chose avec tout le reste... Mais bon après, c'est juste mon opinion. Ses lèvres délicieusement posées sur les miennes électrisait mon corps entier, réanimant le désir que je souhaitais un peu plus tôt calmer. Je l'attirais tout contre moi et déposais finalement mon carton sous son ordre. Aussitôt fait, je me laissais basculer par la belle blonde entreprenante. « Mais je veux bien mon dessert avant l’heure… » «Oui, je vois! Si tu veux, je vais le chercher tout de suite» dis-je le plus innocemment du monde alors que mon corps n'avait aucune envie d'aller chercher un dessert, surtout que Vanillé redécouvrait mon corps de ses mains. De mon côté, je revivais un plaisir intense bien que ce ne soit que de simples préliminaires. Ah, cette fille. Tout d'elle me rend dingue; je la vois partout; elle est toujours avec moi, soit par pensées ou physiquement. Elle pourrait me tuer de ses propres mains, par torture et mon corps réussirait a en tirer du plaisir. Sa main s'arrêta sur mon membre prêt à toutes éventualités et elle eut un petit sourire à mi-chemin vers le coquin et à mi-chemin vers le triomphant. Triomphant parce que maintenant, c'est pas peu dire, elle peut faire de moi ce que je veux et je suivrai. De multiples baisers furent déposés sur mon torse avant qu'elle ne s'arrête encore au niveau de mon entre-jambe. Le léchant, le portant en bouche, débutant le délicieux va et viens. Serrant les dents en fermant les yeux, je la laissais alors continuer. «Ah... Vanillé» dis-je d'une voix rauque. Au bout de deux, peut-être trois va et viens, elle arrêta. Je rouvrais les yeux plus que désireux et elle dit « A moins, que tu veuilles finir de manger mon amour ? » avec un doigt à la bouche. Elle fait exprès ? Elle s'éloigna et recommença à manger, me laissant avec mon désir loin d'être rassasié. Je me redressais, prenais ses cartons et les déposais plus loin. Je nous basculais avec un peu plus d'ambition qu'escompté et l'embrassais de façon très avide. Ma langue alla chatouiller ses lèvres alors qu'une main descendait vers son entre jambe caressant au passage son corps. Deux doigts se glissèrent en elle et à ce moment, je soufflais à son oreille «Mais tu sais quoi, je me sens comme un jouet sexuel et ça s'achète» Je disais ça en réponse de sa petite provocation et mise en plan de tout à l'heure. À mon tour j'allais retrouver ma bouffe à contre cœur.

« Oui, je vois! Si tu veux, je vais le chercher tout de suite » Riant doucement en posant ma main sur son torse, je le caressais lentement en frissonnant longuement de bien-être. J’avais envie de lui, je voulais le titiller le provoquer, je voulais réveiller son désir pour moi. Et je ne me fis pas prier vraiment… Bien au contraire… Me baissant le long de son corps, je ne perdis pas de temps pour venir près de son membre. « Reste là, ne bouge surtout pas… Mon dessert est arrivé… » Lâchai-je l’air de rien me retenant de rire pour le coup avant de donner un franc coup de langue sur son membre le prenant alors en bouche avec extrême lenteur. Commençant alors à faire de lent et faible vas et vient. « Ah... Vanillé » Souriant en coin, en faisant de doux et lent vas et vient je relevais le regard vers lui donnant un faible coup de langue sur son point sensible m’amusant de mon piercing pour le titiller lentement. « Tu sais que j’aime quand tu prononces mon prénom ? Ça m’excite… » susurrai-je doucement avant de me redresser l’air de rien pour prendre ma boite et manger à nouveau. Lui lançant un regard on ne peut plus taquin je lui fis remarquer qu’il avait peut-être envie de manger au lieu de faire des petites coquineries sur le lit. Le voyant s’approcher de moi m’embrassant alors franchement, je poussais un faible gémissement de bien être sentant sa main parcourir plus ou moins mon corps avant de glisser deux doigts en moi. Mon intimité se contractant sous l’afflux de plaisir, je lui lançais un regard on ne peut plus sauvage avant de le sentir se retirer, me laissant avide d’envie sexuelle, grognant lentement en refermant lentement mes jambes le voyant reprendre sa boite pour manger. Le méchant il se vengeait… « Mais tu sais quoi, je me sens comme un jouet sexuel et ça s'achète » Entrouvrant la bouche, je détournais le regard surpris vers lui, en penchant ma tête sur le côté. Souriant en coin, je posais ma boite sur la table de chevet avant de prendre la sienne pour la poser à côté de la mienne. M’allongeant sur lui je déposais de lent et doux baiser sur ses lèvres avec envie en souriant en coin. « Tu sais quoi ? Oublions la nourriture, oublions le côté jouet sexuel… Je te veux de suite… » Murmurai-je doucement en léchant ses lèvres avant de plonger mon visage dans son cou attrapant alors son membre de ma main le faisant alors entrer lentement en moi, gémissant alors doucement. Restant allongée sur lui, les jambes totalement serrées, je ne bougeais pas restant immobile un long moment. Frottant mon nez au sien, je l’embrassais lentement avant de me mettre à bouger de façon circulaire sur lui mon corps tremblant fortement. « Elijah… Dis-moi que tu m’aimes … Que tu ferais tout pour moi… » susurrais-je doucement contre ses lèvres en bougeant un peu plus vite.

Le dessert de Vanillé s'avéra à être moi -je la comprends, je suis trop craquant-. Mais elle ne consomma pas l'ensemble. Non à la place, elle me laissais en envie avec une petite rage interne. Enfin, on ne laisse personne sur sa faim ainsi. Je me vengeais donc à mon tour, me montrant plus entreprenant qu'il ne le faudrait et la laissant à mon tour en plan par la suite.

Mine de rien, à mon tour, je me battais avec les baguettes pour essayer de mettre une quantité convenable dans ma bouche, mais c'était en vain. Elle me regarda en penchant la tête et je tentais tant bien que mal d'ignorer cette petite manie trop mignonne. Or, cette ignorance fut de courte durée parce que pour la troisième fois, la boite se retrouva sur la table de chevet. Quand finirons-nous par manger? Lorsque tout sera froid je parie. Je vrillais mon regard sur Vanillé, peut-être que la bouffe sera froid, mais Vanillé, elle, est très chaude et son regard fiévreux en était la preuve. Elle s'allongea sur moi déposant de longs et doux baisers auxquels je répondis tendrement et en caressant ses longs cheveux de blé. « Tu sais quoi ? Oublions la nourriture, oublions le côté jouet sexuel… Je te veux de suite… » Je souriais longuement et béatement, je ne réalise toujours pas que je puisse être désiré par Vanillé, Vanillé qui pourrait n'importe quel homme à ses pieds. Tss, elle est belle, intelligente, attachante et j'en passe. Elle est parfaite quoi. «Han, Han... et qu'est-ce qui te fais croire que j'en ai aussi envie?» dis-je bien malgré le fait qu'une partie de mon corps trahissait grandement mes paroles. Rien n'est plus faux que ce que je viens de dire, mais j'ai tout de même tenté de garder un ton sérieux. Lorsqu'elle empoigna mon entre-jambe totalement durci. j’espérais que mes paroles antérieures ne la découragerait pas. Je gloussais geignais doucement alors qu'elle se dressait convenablement au-dessus de moi. En un long baiser, je remontais mes mains le long de ses cuisses pour m'arrêter au niveau de ses hanches. « Elijah… Dis-moi que tu m’aimes … Que tu ferais tout pour moi… »dit-elle dans un faible mouvement circulaire qui s'accentuait. «Ce que tu veux, quand tu veux, ma belle» Mes mains suivaient son mouvement et une vague de plaisir en partant du plus bas de mon ventre remontait.

« Han, Han... et qu'est-ce qui te fais croire que j'en ai aussi envie? » Haussant un sourcil, je tournais rapidement la tête vers lui, mes sourcils s’arquant alors sous la surprise de cette question. Il ne pouvait tout de même pas être sérieux, si ? Non… Il ne le pouvait pas quand même… Je ne pouvais pas le croire quand même ! Passant furtivement ma langue sur mes lèvres, je plongeais mon regard bleuté dans le sien chocolat. « Ton corps parle pour toi Elijah… Mais si tu n’as pas envie de moi… Je comprendrai… Je crois… » murmurai-je en baissant lentement mon regard sur son membre frissonnant de bien être à cette vue on ne peut plus exquise. Venant rapidement sur lui l’air de rien, je léchais lentement et longuement mes lèvres, l’embrassant tout en empoignant alors son membre on ne peut plus durcit de ma main. Faisant quelques vas et vient, lâchant alors un bref gémissement, je lui demandais de me dire alors qu’il m’aimait… Je voulais qu’il me dise qu’il m’aimait, avoir ce frisson sous ce mot si magique et intense tout simplement… « Ce que tu veux, quand tu veux, ma belle » Frissonnant longuement en sentant ses mains de part et d’autre de mon corps, un sourire se logea alors sur mon visage tandis que je me mordis lentement les lèvres. J’aimais qu’il puisse me dire cela… Qu’il soit plus ou moins à ma merci, tout simplement. Me redressant pour déposer de doux baiser sur ses lèvres, je caressais son nez du mien en grognant doucement léchant lentement et longuement ses lèvres avant de me redresser pour m’assoir doucement sur lui. Tout était parfait, c’était une journée comme jamais je n’en avais passé. Passant le bout de mes doigts sur sa gorge, un sourire au bout des lèvres, je le fixais longuement détaillant alors son visage avec amour. « Tout ce que je veux ? Hum c’est intéressant tout cela… » soufflai-je doucement avant de me laisser tomber à ces cotés m’allongeant alors sur le lit en pliant une jambe écartant doucement l’autre en me redressant sur mes coudes. Le regardant de haut en bas, je fis glisser ma langue sur mes lèvres avec envie en frissonnant doucement de bien-être. « J’ai terriblement envie de toi… Tu viens, ou je dois finir seule ? » soufflai-je doucement l’air de rien en lui lançant alors un regard on ne peut plus coquin, souriant de toutes mes dents.

« Ton corps parle pour toi Elijah… Mais si tu n’as pas envie de moi… Je comprendrai… Je crois… » dit-elle alors que je tentais de lui à croire le contraire. Tu sais mon amour, il ne faut pas se fier à ce que mon corps dit pour déduire ce que je pense. Voilà ce que j'avais envie de lui répondre, mais ça serait pousser l'audace trop loin, surtout que mentir n'est pas mon fort. Donc par le fait même en lui assurant que je ferai tout pour elle, en tout temps, ce n'est que la stricte vérité.

« J’ai terriblement envie de toi… Tu viens, ou je dois finir seule ? » Je haussais un sourcil sur son sourire rempli de dents. J'ajoutais à mon sourcil l'expression réfléchissante, comme si la question était ambiguë. Bien qu'elle ne soit pas, il y a des possibilités. Après tout, elle s'amuse bien à seulement faire l'agace. Mais bon tant qu'elle ne fait l'agace qu'avec moi, je ne peux lui en vouloir. En fait, je ne peux pas lui en vouloir tout court si elle va voir ailleurs. Après tout, nous ne somme pas un couple, pas officiellement. Ça ne ferait que me blesser, mais je m'en remettrai, je suppose. Perdu dans la contemplation de ses yeux, je laissais cette petite pensée amère dans un coin de ma tête. Je souriais à mon tour de toutes mes dents. Je caressais du bout des doigts sa cuisse légèrement écartée.«Eh bien, tu peux terminer toute seule. Je me fais vieux.» dis-je en me redressant sur les coudes. Je me penchais doucement par en avant et déposais un long et doux baiser sur ses lèvres, me délectant de sa saveur. Je saisis sa cuisse, la collais contre ma hanche et finis par nous unir d'un coup de rein déterminé. «Mais je préfère tout de même la première option... elle est quelque peu énormément plus alléchante que la seconde.» Il n'y avait plus que nous deux et nos corps enlacés. Mon plaisir s'exprimait largement au gré des coups de reins que je débutais et des baisers que je répandais sur chaque parcelle de son corps. Je me sentais tout simplement entier, moi même, pleinement satisfait et j'avais envie de hurler ma joie. Hurler le bonheur de cette journée enchanteresse. «Ah Vanillé, ma belle Vanillé, si tu savais à quel point je suis heureux ce soir, avec toi» dis-je en arrêtant de bouger le bassin, pour simplement profiter du moment, du présent.

« Eh bien, tu peux terminer toute seule. Je me fais vieux. » Haussant un sourcil pour le regarder, je posais lentement ma tête sur ma main, me tenant alors sur le coude, un large sourire se logeant alors sur mon visage. Elijah était tout de même parfois bizarre, mais c’était bien comme cela que je l’aimais, que je le voulais et surtout, je ne voulais pas qu’il change quoi que ce soit. « Bien sûr papi… Je t’ai genre épuisé c’est ça ? » soufflai-je l’air de rien, en mordillant lentement mes lèvres lui lançant alors un regard on ne peut plus équivoque qui voulait clairement dire que je me foutais de lui. Ce n’était en rien négatif, non loin de là, j’aimais le taquiner c’était plaisant. Comme deux enfants en train de s’amuser. Sa main se posant sur ma cuisse, son corps se rapprochant du mien, je le laissais faire, sentant alors, son coup de rein on ne peut plus explicite, son membre glissant alors en moi dans un fracas pas possible. « Mais je préfère tout de même la première option... elle est quelque peu énormément plus alléchante que la seconde. » Léchant lentement mes lèvres en lui lançant un regard coquin et taquin, je fermais lentement les yeux, ma main se posant alors sur sa gorge, le laissant faire ses mouvements. Prenant le contrôle, plus ou moins de mon corps. Cambrant le dos, à chacun de ses coups de reins, je poussais de faibles petits cris de plaisir. Mon corps tremblant faiblement, mon intimité se contractant sous l’afflux de plaisir, j’étais dans une osmose la plus totale. Le sexe avec Elijah autant dire que c’était la perfection incarnée. Enfouissant rapidement mon visage dans son cou, je le mordillais avec lenteur, tout en bougeant longuement le bassin, comme pour amplifier le tout et faire durer, alors, le plaisir. « Ah Vanillé, ma belle Vanillé, si tu savais à quel point je suis heureux ce soir, avec toi » Grognant lentement en le sentant cesser ses mouvements, je posais une main sur son dos, le lui griffant faiblement en cessant à mon tour de bouger. Pourquoi ? Je ne savais pas, je n’allais tout de même pas faire le boulot à sa place… Non, plus sérieusement, même sans bouger, de toute façon, je ressentais un plaisir certain. Inspirant profondément, je me mis alors doucement à mordre la peau de son cou avant de la lui tirer faiblement me remettant alors à bouger le bassin. Faisant presque sortir son membre de mon intimité, mon corps tremblant fortement, je déglutis comme je pouvais en sentant faiblement la sueur perler sur mon corps. « Et tu le seras tous les autres soirs… tous les autres jours… Je veux te rendre heureux, comme toi, tu me rends heureuse, Elijah… » Soufflai-je contre sa peau, avant de le mordre franchement tirant alors ses cheveux, pour bouger franchement le bassin, avant de m’arrêter, net, l’air de rien.

Lui proposant de terminer toute seule puisque j'étais exténué, elle me lança un regard qui voulait en dire long.. «Bien sûr papi… Je t’ai genre épuisé c’est ça ? » ... long sur ce qu'elle pensait de mes précédentes paroles. Elle souriait franchement, elle rit de moi? «Comment oses-tu? Comment oses-tu rire ainsi de tes ainés?» demandais-je complètement outré. «Tu verras quand tu auras mon âge, tu n'oseras plus rire.» dis-je plus bas avant qu'un large sourire s'étire sur mes lèvres. Vieux, mais pas tant que ça. Je m'appropriais de sa cuisse et fermait la discussion dans un coup de rein qui prouvait ma vitalité. Puis je lui expliquais que malgré la vieillesse, la deuxième option restait beaucoup plus intéressante. Même à 80 ans, j'aurai jamais besoin de stimulant et encore moins avec Vanillé.

Je commençais un franc mouvement, plus accru que jamais. Une mince couche de sueur reluisait sur mon corps tout entier et je grognais franchement de plaisir. Sa main portée à mon cou, ses cris, le désir et l'amour que je lui porte ne font que rendre la chose plus forte, plus intense et encore plus désirable. Je couvrais son corps de baiser puis m'arrêtais doucement. Je lui murmurais à l'oreille mes appréhensions que j'avais eu envie de hurler un peu plus tôt. Décidément cette interruption ne fit pas son affaire. La petite féline sous moi décida d'user un peu ses griffes dans mon dos et ses dents dans mon cou. Elle se remit à bouger avec impatience alors que je restais toujours immobile. Et après ils viennent nous dire qu'une fille a besoin de ces belles paroles. En ce moment, je crois, que ce n'est pas ce dont elle a besoin. Je passais ma langue sur mes lèvres pour réprimer un petit sourire en coin. « Et tu le seras tous les autres soirs… tous les autres jours… Je veux te rendre heureux, comme toi, tu me rends heureuse, Elijah… » Heureux de l'entendre le dire. Si on soutire le double ou le premier sens de ses paroles et à tout à l'heure dans la cuisine, ça revient à dire que ce n'est pas qu'une histoire d'un soir. Tirant mes cheveux et mordant la peau de mon cou, elle donna un ultime coup de bassin avec son petit air... enfin un air parmi tant d'autre, mais qui est pourtant si bien discernable. L'innocence. Tsss nous sommes pire que des enfants toujours à "jouer" et à se taquiner. Je pourrais quasiment me croire avec mon frère, dans le temps , gamins, où nous passions des soirées de temps à jouer dans sa chambre. C'est à peu près la même chose sauf que Vanillé est drôlement plus féminine, plus belle et disons que je l'aime d'une autre façon que j'aime mon frère. Et un seul petit hic à ma pensée, nous n'avons pas nécessairement les mêmes jeux.

«Hm.. et tu sembles vouloir continuer demain?» dis-je dans un clin d'oeil. Je me retirais lentement et bien à contre coeur. Je l'embrassais longuement, mes mains caressant ses seins. Je descendis ma bouche le long de son corps et m'arrêtais juste, juste à l'arrête de son intimité. Mes mains passant de ses seins à ses fesses, je lui remontait légèrement le bassin. Je léchais, baisais franchement son intimité, m'attardant sur sa partie sensible. Puis, juste question de la titiller, je laissais retomber son bassin et roulais sur le côté. Me mordant l'intérieur de la joue, je l'attirais sur moi. «Dis-moi?» demandais-je malicieusement.