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 «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT

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MessageSujet: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeMer 13 Juil 2011 - 1:43

Je me souviens, cette soirée, ou Vanillé m'a giflé. Ce n'était pas une simple dispute habituelle, j'ai pu voir dans son regard ce qu'elle ressentait. C'est la seule dont je me rappelle réellement de cette soirée. Son regard, il paraissait si déchiré. Et c'est le lendemain en repensant à ce regard et en voyant qu'elle ne répondait pas à mes appels que c'était la fin. Mais je n'en suis pas prêt. Depuis ce matin ou j'ai pris conscience de cette triste vérité, les souvenirs refluent. Elle a cette petite manière trop mignonne de réagir dans les situations, son sourire.. Cette fille, j'ai besoin de la protéger, j'ai besoin de son contact. Je lâchais un soupir. Je ne pouvais en rester là. Je devais comprendre ce qui l'avait poussé à essayer la drogue et bien sur m'expliquer.

Pas de temps à perdre avec mon véhicule, je hélais un taxi. La circulation est plus rapide à bord d'un taxi depuis l'instauration des voix des voix spéciales pour ce type de transport. J'indiquais au chauffeur l'adresse de Vanillé situé dans le North Side. Je n'ai pas eu l'occasion d'aller chez elle souvent, mais cette fois j'allais m'inviter. Bien que le trajet me parut interminable, j'arrivais à destination plus rapide que si j'aurais pris mon auto. Je gravissais les quelques marches de l'entrée deux à deux. Je toquais à la porte d'abord doucement et n'obtenant pas de réponse je réessayais plus fort en y mêlant un «Vanillé, réponds, je t'en prie». Les coups se faisaient de plus en plus forts et de plus en plus désespéré de même pour la petite phrase. N'obtenant toujours pas de réponse, je m'arrêtais un peu pour ne pas alerter les voisins. Peut-être cinq minutes s'écoulèrent avant de retenter. Toujours aucune réponse. J'ignore si elle ne veut tout simplement pas me répondre ou si elle n'est pas là, mais je dois lui parler, le plus tôt sera le mieux. Je me laissais donc choir le long de la porte pour finalement tomber assis et je ramenais mes jambes contre mon torse. Si elle est en dedans, tôt ou tard elle devra répondre. Et si elle n'est pas là, tôt ou tard elle arrivera et devra me passer sur le corps avant d'entrer.



Dernière édition par Elijah M. Serra le Lun 5 Sep 2011 - 13:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeMer 13 Juil 2011 - 12:19

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Le vide, cette sensation de mal être, le cœur en miette, alors qu’on n’est même pas ensemble… autant dire que je paraissais pitoyable de me mettre dans cet état pour un garçon. Comme si je n’avais pas assez d’une vie merdique pour en plus me rajouter des soucis en plus. Drogue, ce mot revenait en bouche tous les jours non seulement en vu de ce que je faisais mais, surtout car j’avais toujours grandit aux côtés de drogués… que ça soit mon frère Nathanaël ou bien même son ami Heath, ou tant d’autre drogués… Je m’étais toujours promis de ne jamais y toucher…Jamais, il parait que l’on ne doit jamais dire jamais…Je comprenais pourquoi maintenant… Car le mot jamais n’existe pas, non. J’avais flanché et je m’en voulais… Une fois ce n’est rien, mais deux fois ça commence a craindre, voilà pourquoi je m’éloignais de mon job de faire cesser la drogue a tous ces junkies… Mieux valait que je m’éloigne de la drogue pour un petit moment histoire de me remettre sur le droit chemin. Que dirait mon frère s’il me voyait ? Ou bien même Heath ? Heath qui au passage m’avait offert un boulot mieux payait que celui du lycée… Lui qui m’avait dit en partant de ne jamais me droguer… Je devais le décevoir… C’est surement pour cela que je ne préférais pas lui dire… autant rester dans un mutisme parfait… Il n’avait pas besoin de savoir, et de me tuer par la même occasion, je savais a quel point il pouvait se montrer violent et désagréable, c’était simplement Heath… Inspirant doucement en tenant mon stylo je déglutis longuement tout en regardant ma copie, vierge, totalement dénudé de trace de stylo, même mon nom et mon prénom n’y était pas composé. La main tremblante, pour la première fois de ma vie j’allais rendre une copie blanche.

Inspirant longuement regardant l’heure défiler, je me levais au bout d’une heure prenant alors ma copie descendant les marches de l’amphithéâtre je posais celle-ci sur le bureau du professeur en signant alors la feuille de présence. « Vanillé tu rends une feuille blanche ? Tu es malade ? » « Je… Oui, désolée ça ira mieux au prochain partiel monsieur. » « Laisse, je ne te le compterai pas, tu es brillante ça arrive… File ça reste entre nous. » Hochant doucement la tête je souriais faiblement tout en sortant de la pièce bondée de monde. Me retrouvant dehors, j’inspirais longuement en fermant les yeux cherchant à me calmer. Sortant une clope de ma poche je la mis entre mes lèvres l’allumant rapidement en tirant longuement dessus, sentant alors la fumée envahir mes poumons. Me délectant du doux arôme j’en frissonnai rapidement avant de faire claquer mes talons aiguilles sur le bitume pour filer hors de la fac. Fumant tranquillement ma clope tout en allant vers ma voiture, je montai dedans une fois arrivé avant de mettre le contact. Rentrer à la maison ou plutôt dans mon studio de vingt mètres carré… Me mettre en simple culotte et débardeur pour dormir, oui me faufiler sous ma couette et pleurer avant de dormir. Inspirant longuement tout en traversant la ville je pris mon temps pour rentrer avant de chercher une place dans la rue pour me garer. Une fois fait je me mis a marcher au milieu de la foule pour aller dans mon studio. Simplement habillé d’un jean slim noir d’un débardeur blanc et d’une chemise a carreau ouverte je me glissais dans le hall de l’immeuble tout en entendant des coups en haut. Plus précisément l’étage au dessus qui était… Le mien.

Haussant un sourcil sans plus faire de bruit je tendis l’oreille pour savoir ce qu’il se passait. « Vanillé, réponds, je t'en prie » Me figeant sous le coup je posais ma main sur ma bouche en faisant demi tour. J’avais toujours interdit Elijah de venir chez moi ! Ce n’était pas pour rien ! Nous étions de deux mondes différents. Le riche et la pauvre… Me retrouvant nez à nez avec un voisin du dessus, je lui fis un bref sourire restant alors dedans en entendant les coups à la porte. Il n’était pas prêt de partir… M’asseyant sur la marche d’escalier je le laissais faire ne sachant pas quoi faire. Passant ma langue sur mes lèvres m’amusant tranquillement avec mon piercing je soupirais faiblement lorsqu’il cessa tout bruit. Me figeant je m’attendais à le voir descendre mais… non. Il allait rester… Soupirant faiblement, j’attendis alors cinq bonnes minutes avant de me lever et de monter les marches sur la pointe des pieds sans faire de bruit avant d’être a l’étage tombant sur lui assis contre la porte d’entrée de mon studio. Me mordillant les lèvres je m’avançais doucement vers lui en inspirant longuement. Je lui en voulais encore, l’avoir vu avec une fille… Moi qui l’aimais depuis un an… « Elijah… » soufflai-je doucement en prenant les clés de mon logement pour m’avancer vers la porte. Restant devant lui j’insérais la clé dans la serrure ouvrant alors la porte en me reculant « Entre, reste pas… Par terre…Tu sais que je n’aime pas quand tu viens chez moi… » Rajoutai-je d’une voix neutre plus triste qu’autre chose à vrai dire… Entrant pour ma part dans mon studio qui donnait directement sur la chambre la cuisine… Et le salon. Une seule pièce. La seule porte qu’il y avait menait à la salle de bains… Laissant tomber mes affaires sur mon lit je restais dos à lui en ouvrant le frigo ne sachant pas quoi faire. « Tu veux boire un truc ? »
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeVen 15 Juil 2011 - 13:54


« Entre, reste pas… Par terre…Tu sais que je n’aime pas quand tu viens chez moi… »

Oui, je sais qu'elle n'aime pas que je vienne. En fait, j'y suis jamais entré. Je n'ai jamais pu franchir la porte d'entrée. Alors qu'elle me propose d'entrer me fit quasiment un choc. Néanmoins, je la suivais et entrait dans sa demeure. Certes le loft la représentait, mais je m'attendais à quelque chose d'un peu plus classe peut-être. Mais bien sur, on ne fait pas de miracle avec une si grande espace non divisée. Depuis notre entrée chez elle, jamais elle ne daigna se retourner vers moi. Un petit tour par le lit pour y laisser ses affaires puis un petit d'oeil dans le frigo. La porte ouverte l'engouffrant à moitié, elle parla enfin pour me proposer à boire. Je lui répondais par «de l'eau fera l'affaire.» Tss, depuis le temps qu'on se connait et depuis le temps qu'elle vient squatter chez nous, je me passais des usages de politesse, soit le s'il vous plait. Mais malgré le fait qu'on se connaisse depuis maintenant quand même long temps et le fait qu'elle était fréquemment chez nous, je ressentais un malaise. Elle dégageait ce malaise et c'était très palpable. N'importe qui aurait pu entrer ici et sentir la tension qui y régnait.

Sans pour autant m'adresser un regard, elle sortit une bouteille et se vira enfin vers moi pour que je puisse la prendre. Je la gratifiais d'un petit merci. Elle retourna au frigo et se servit une boisson gazeuse. Pendant ce temps, j'ouvrais ma bouteille d'eau et laissait couler le liquide froid. Il rafraichissait vu l'humidité intensive à laquelle nous avons droit cette semaine.

Je me rendais à la table qui était pas si loin du frigo et y posait mon arrière-train, à la façon dont on s'accote. En fait, j'étais si proche que je pus sentir son doux parfum lorsqu'elle se passa la main dans les cheveux. Je me convainquais intérieurement, il faut que ça cesse. Je veux ça redevienne comme avant.

«Vanillé, écoute, je.. il faut qu'on parle»
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeVen 15 Juil 2011 - 21:08

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« De l'eau fera l'affaire. » hochant brièvement la tête sans rien répondre je pris la bouteille d’eau dans le frigo pour lui en mettre dans un verre avant de le lui donner en évitant longuement son regard. Inspirant fortement je me pris un autre verre pour moi y mettant alors de la Limonade le remplissant pratiquement entièrement ayant vraiment très soif. Je connaissais parfaitement les effets de la drogue… L’assèchement de la salive lorsque le manque se faisait ressentir. Je sentais parfois l’envie de regouter, mais non, c’était simplement mon corps qui éliminait les toxines… Il fallait que je m’habitue tout simplement. Je ne plongerais pas dans cette merde j’en avais assez vu avec mon frère et Heath. Buvant tranquillement en passant ma main dans mes cheveux, j’osais à peine regarder Elijah. C’était la première fois que je le laissais rentrer dans mon studio, d’habitude je le refusais et je partais pour ne pas qu’il veuille venir chez moi… J’avais tellement honte, mais là, je ne sais pas, pas l’envie de me battre, plus l’envie de me disputer avec lui pour des broutilles pareilles qui n’en valent vraiment pas la peine.

« Vanillé, écoute, je.. il faut qu'on parle » Déglutissant longuement en posant le verre sur le comptoir de la cuisine je me tournai vers lui en entendant cette phrase à répétition dans ma tête. Qu’est ce qu’il allait me dire ? Me quitter ? Non, nous n’étions même pas ensemble… M’abandonner ? Rompre notre amitié ? Je ne savais pas et c’était on ne peut plus douloureux. Je ne savais pas quoi faire, ni que dire… Je restais la planté devant lui à le regarder de haut en bas. Elijah était un homme des plus beaux, oui je le trouvais parfaitement beau et il était… Il était l’homme que j’aimais et ça comptait merde ! J’étais folle de lui depuis le premier jour, quelque chose s’était passé c’était évident, seulement nos statuts… N’étaient pas les mêmes, lui riche moi ultra pauvre… tout simplement. Est-ce qu’il allait me parler de la drogue ? Il savait parfaitement que comme une idiote j’avais goutté cette merde… J’avais craqué, j’avais été plus que faible et j’avais goutté la fameuse poudre blanche interdite, j’étais qu’une idiote, totalement folle. Passant ma main sur mon visage, je baissais furtivement la tête en tremblant quelque peu, j’avais déjà envie de pleurer comme une idiote, je ne supportai vraiment pas l’autorité, je ne supportais pas la tension qui était en train de se créer dans mon studio.

Rectification, le studio de Nathanaël qui avait disparut depuis cinq longues années… M’approchant près de lui telle une enfant coupable qui voulait se faire pardonner je me mis a renifler lentement en relevant un regard brillant pour le plonger dans le sien chocolat à souhait, parfait, envoutant totalement hypnotisant… « Je… Désolée… Je n’aurais pas dû te gifler, j’ai agis… Je… Ne m’en veux pas, s’il te plait… Je suis qu’une gamine dans le fond dix sept ans… Qui… Je… Elijah… » Soufflai-je d’une petite voix a peine audible, la gorge totalement nouée sous l’émotion, sous cette tension qui me faisait affreusement mal. Passant ma langue sur mes lèvres, je bloquais mon piercing entre mes dents le tirant longuement comme pour me faire souffrir comme pour me punir d’agir bêtement comme pour me dire que j’étais tellement conne que j’allais perdre le seul homme que j’aimais… Mon Elijah tout ça car… Car il faisait sa vie de son côté, je ne pouvais pas lui en vouloir pour une telle chose non pas vraiment… « Elijah… Je… Tu veux qu’on parle de quoi ? Je… tu es là depuis longtemps ? » demandai-je doucement me demandant si lorsque je suis arrivée il était là depuis un moment…
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeVen 29 Juil 2011 - 3:51

Elle s'approcha et plongea ses magnifiques yeux dans les miens. Ses yeux qui commençaient à se voiler. Son petit nez qui commençait à couler. Je déteste voir une fille pleurer encore plus Vanillé, or j'ignore si le moment est choisi pour la prendre dans mes bras. Je sais qu'une fois dans mon étau, son odeur se propagera et je serais incapable de lui en vouloir encore. Enfin, si je lui en voulais réellement. Je ne suis pas fâché contre elle, je suis juste déçue qu'elle soit tombé dans le panneau. Elle qui milite tant pour que les gens cessent la drogue.

« Je… Désolée… Je n’aurais pas dû te gifler, j’ai agis… Je… Ne m’en veux pas, s’il te plait… Je suis qu’une gamine dans le fond dix sept ans… Qui… Je… Elijah… »

Cette petite voix, je la connais. Toujours la même lorsqu'une émotion du genre se pointe. Je la regardais encore un instant, elle tirait sur son piercing. Ce satané piercing, il m'énerve tant. Il n'a pas réellement sa place sur ce visage d'ange.

« Elijah… Je… Tu veux qu’on parle de quoi ? Je… tu es là depuis longtemps ? »


Tant pis, je franchis le pas qui nous sépare et la prends dans mes bras, là ou elle devrait être depuis un moment. «Vanillé, ne pleure pas!» dis-je à mon tour d'une voix douce. Mes gestes ayant l'effet contraire, elle éclata en sanglots. J'ai toujours trouvé son émotivité excessive mignonne. Ça faisait partie d'elle, tout simplement. Je caressais son dos, le temps qu'elle se calme. Une fois la tempête d'émotions passée, je me recule, question d'avoir les idées plus claires.

«Ne t'inquiètes pas pour la gifle, ce n'est pas très grave. J'ai été con, je la méritais. Mais il faut que tu comprennes que cette soirée, je ne savais pas comment réagir. Y'a Zeppelin qui débarques et me profères dessus. C'est ta faute, c'est ta faute si Vanillé se drogue, qu'elle disait. Je.. je ne voulais pas affronter cette réalité. Je ne veux pas que tu tombes là-dedans Vanillé. Pourquoi as-tu fait ça ?»

Zeppelin, je ne l'ai jamais franchement eu en estime. À vrai dire, elle m'énerve. À beaucoup de gens, elle apparait comme parfaite. Elle est souriante, elle défend ses intérêts et blablabla. La seule fois dans ma vie où j'ai pu remercier le ciel qu'elle soit au monde c'est lorsqu'elle m'a annoncé pour Vanillé. Mais en dehors de ça, je me demande pourquoi elle existe, mis à part me pourrir la vie, surtout depuis le petit incident. Mais franchement, elle est dingue. C'est nécessairement ma faute si elle se drogue. Tss, je suis un petit dealer de temps à autre. Pourquoi elle pense pas au frère à Vanillé d'abord. Elle a grandi aux côtés d'un frère drogué. Arf, faut que j'arrête de penser à elle. Juste d'y penser, elle me gonfle. Je posais donc, mon regard sur Vanillé en entente d'une réponse.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeDim 31 Juil 2011 - 22:08

Elijah était l’homme, l’amour de ma vie. Du haut de mes dix sept ans je le savais. Pourquoi ? Je n’en savais foutrement rien ! Mais e le savais c’était l’essentiel non ? A mes yeux il incarnait l’homme parfait. Un regard malicieux et envoutant, un sourire taquin et charmeur, des yeux brillant, un petit nez fin, une voix grave et magique. Une attention particulière lui était destinée… Il était comme mon centre d’intérêt… c’était ça oui… Il ne se passait pas une seule journée sans que je ne pense à lui… Chez moi, nous étions chez moi et c’était bizarre… Nous étions en train de parler comme si nous sachions que cette conversation allez changer la donne. Mais dans quel sens ? Me prenant dans ses bras, je me figeais quelque peu surprise et choquée d’un tel geste si peu commun en général… « Vanillé, ne pleure pas! » Gémissant sous ses paroles mais surtout sur le fait que j’étais là dans ses bras, qu’il venait de me prendre dans ses bras, je ne pus m’empêcher d’éclater en sanglot, mélange de tristesse, de joie, de bien être un peu de tout à vrai dire… Je me sentis bien, oui, dans les bras d’Elijah c’était ma place ! C’était là que je devais évoluer, grandir, que je devais apprendre a l’aimer encore plus… Je voulais vivre des instants magiques auprès de lui, me sentir aimé, désiré et j’en passe…

Passant mes bras dans son dos, je le serrais quelque peu en ravalant mes larmes séchant rapidement mes larmes pour ne pas me montrer faibles, bien que ça ne soit pas la première fois que je pleurais devant lui, puisque le jour même de notre rencontre j’avais pleuré comme une idiote. De toute façon, je ne savais pas me retenir… Parfois j’y arrivais mais c’était très, très, dure… « Pardon… L’émotion… » Murmurai-je doucement a voix basse alors qu’il me frottait le dos se détachant quelque peu de moi pour se reculer. « Ne t'inquiètes pas pour la gifle, ce n'est pas très grave. J'ai été con, je la méritais. Mais il faut que tu comprennes que cette soirée, je ne savais pas comment réagir. Y'a Zeppelin qui débarques et me profères dessus. C'est ta faute, c'est ta faute si Vanillé se drogue, qu'elle disait. Je.. je ne voulais pas affronter cette réalité. Je ne veux pas que tu tombes là-dedans Vanillé. Pourquoi as-tu fait ça ? » Le regardant surprise, je ne m’attendais pas à ce que Zeppelin soit allée le voir… Pourquoi elle lui avait dit cela ? Pourquoi… elle pensait bien faire ? Non même pas… blêmissant doucement je baissais vaguement la tête en fermant les yeux. Je ne voulais pas qu’il le sache, je n’avais jamais voulu qu’il le sache… inspirant profondément, en relevant un regard incertain vers lui, je penchais lentement ma tête pour le regarder longuement.

Est-ce qu’il tenait à moi ? Est-ce qu’il tenait à moi comme moi je tenais à lui ? Je me le demandais bien… Moi non plus je ne voulais pas tomber là dedans, je ne voulais pas devenir une droguée ou dieu sait quoi… Je ne recommencerai plus… J’espère… M’approchant doucement de lui je tendis ma main vers la sienne l’attrapant avec douceur. Il avait la peau douce, tellement douce, s’en était même détruisant de voir qu’il pouvait me faire un simple effet avec sa peau… « Elijah… Qu’est ce que je peux dire a part pardon ? J’ai déconné je le sais et je suis impardonnable… Je… quand je t’ai vu en boite avec cette fille… Je… C’était une accumulation de plusieurs choses… Je ne toucherai plus à la drogue et tu le sais, je l’espère d’ailleurs. Je ne savais pas pour Zeppelin, désolée… j’irais lui parler… » soufflai-je doucement en regardant nos mains tout en la serrant doucement avant de la relâcher quelque peu, laissant tomber ma main sur ma cuisse en soupirant quelque peu avant de me reculer à mon tour gênée. Passant ma langue a plusieurs reprises sur mes lèvres j’inspirai fortement pour plonger mon regard bleuté dans le sien chocolat. « Elijah… Je tiens à toi… Je ne veux pas te perdre… Tu le sais hum ? » soufflai-je doucement en le regardant de façon sincere avant de m’approcher de lui pour le prendre dans mes bras inspirant profondément pour ne pas pleurer, fermant alors les yeux avec force pour me contrôler, mon corps tremblant contre le sien avec intensité. Frissonnant de bien être je déposais un doux baiser sur sa joue en inhalant son odeur si plaisante et si unique. J’étais amoureuse de lui il n’y avait pas photo sur ce point là…
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeMar 2 Aoû 2011 - 2:26

Elle était si mignonne la tête légèrement penchée sur le côté. La voyant ainsi innocente, je ne pouvais refouler ce sentiment protecteur. Et c'était dur à croire qu'elle ai pu tomber dans ce monde. Aux premiers abords jamais, Ô ciel jamais on ne pourrait croire cela. En fait, si je le pouvais je l'enchainerais à son lit pour l'empêcher qu'elle tombe et de ne plus jamais la retrouver comme elle est. Mais c'est impensable et tout à fait puéril de penser ainsi. Tout le monde sait que beaucoup de gens, de caractère change lors des dépendances. Mais son caractère est en fait parfait. Si touchant et si explosif. Merde! Jamais de ma vie je n'ai pensé d'une fille des trucs du genre. En fait, je crois que je n'ai jamais été amoureux jusqu'à maintenant, mis à part mes maitresses à l'école. À 8 ans, ça ne compte pas, surtout qu'elles en ont une trentaine. Alors oui, c'était la première fois que j'étais amoureux et ça me faisait drôle de penser ainsi et d'avoir autant de pulsions à son égard. Sa petite main s'empara de la mienne, répandant une vague de chaleur à grandeur de ma main.

« Elijah… Qu’est ce que je peux dire a part pardon ? J’ai déconné je le sais et je suis impardonnable… Je… quand je t’ai vu en boite avec cette fille… Je… C’était une accumulation de plusieurs choses… Je ne toucherai plus à la drogue et tu le sais, je l’espère d’ailleurs. Je ne savais pas pour Zeppelin, désolée… j’irais lui parler… »

Elle a raison, je le sais, mais j'ai si peur. Depuis ce mec que j'ai tué. C'est là que j'ai réellement compris le danger. Et puis tous les remords que je garde de cela. Les remords si je perds un être à qui je tiens serait alors au minimum quintuplés. Elle relâcha ma main. Non, pas maintenant.

«Laisse tomber Zeppelin, elle est pas importante... à mes yeux»

Heureusement que j'ai rajouter le "à mes yeux". Faut pas dire que sa meilleure amie est pas importante. Oh non, parce que pour elle, elle l'est.

« Elijah… Je tiens à toi… Je ne veux pas te perdre… Tu le sais hum ? »
dit-elle alors que nos regards étaient connectés. Non, je ne le savais pas directement et ça faisait du bien de l'entendre. Et de sentir son petit corps frêle, son petit corps parfait contre moi était encore mieux. Sentir ses bras me serrer jusqu'à en trembler. Sentir ses lèvres chastes contre ma joue, me fit frissonner. Nous étions là, tout deux incertains. Incertains de changer la mise. L'air se faisant virevoltant. Je crois que c'était à moins de franchir le pas? Je suis l'homme. Enfin ça parait pas vite comme ça, dans les cinq dernières minutes, j'ai eu des pensées de femme. Je relevais donc sa tête avec mon pouce et mon index et posais délicatement mes lèvres sur les siennes. Ceci provoquant une vague de désir, d'une force insoupçonnée jusqu'à maintenant. J'ai toujours désiré et eu envie de Vanillé, mais je ne croyais pas que c'était si fort. Délaissant ses lèvres parfaites, je posais mon front contre le sien. « Je tiens aussi beaucoup à toi» murmurais-je
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeMar 2 Aoû 2011 - 11:07

« Laisse tomber Zeppelin, elle est pas importante... à mes yeux » Souriant en coin en me mordillant lentement les lèvres je lui lançai un regard taquin en caressant doucement sa joue du bout de mes doigts. Je m’en fichai à la rigueur qu’il s’en foute de Zeppelin, tant que moi il m’aimait et m’appréciait c’était l’essentiel. « Tu ne l’aimes pas trop hein ? T’inquiète pas, je ne te demande pas de l’apprécier, elle a son caractère… Tant que vous ne vous frappez pas moi ça me va… » soufflai-je doucement en souriant en coin avant de le prendre lentement dans mes bras pour une étreinte amicale bien que je voulais bien plus. Déposant un doux baiser sur sa joue j’inspirais longuement son odeur avant de sentir alors ses doigts sur mon visage. Le laissant faire je sentis ses lèvres sur les miennes. Me figeant en poussant un faible soupire de plaisir et d’envie je frissonnai longuement en déglutissant. Il venait de m’embrasser… Il venait clairement de m’embrasser non d’un chien… « Je tiens aussi beaucoup à toi» Inspirant fortement sous l’afflux intense de plaisir qui était en train de me submergeait, je poussais un faible soupire de désir et d’envie. Ses lèvres sur les miennes m’avaient littéralement scotché sur place. Depuis quand rêvais-je qu’il m’embrasse ? Depuis bien trop de temps… Depuis que nous nous connaissions plus exactement… C’était là le désir que j’avais pour lui, un amour incompris, un amour irrémédiable, un amour immuable ancré en moi pour toujours. Depuis que je le connaissais je n’avais cessé de l’aimer, et je continuais encore et encore de l’aimer. Que faire après ce doux baiser échangé ? Il venait clairement de me dire qu’il me voulait non ? Qu’il voulait beaucoup plus qu’une simple amitié… Oui c’était bien ce que je comprenais.

Posant doucement ma main sur sa joue je la lui caressais longuement et lentement sans le quitter du regard. Il était tellement beau... Tellement parfait… Je ne pouvais pas refuser d’autre baiser à venir. Passant ma langue sur mes lèvres en baissant mon regard sur ses lèvres, je lui lançai un regard des plus envoutants avant de déposer à mon tour mes lèvres sur les siennes avec envie et délice. Un doux baiser simple, chaste, pur, tout ce qu’il y avait de plus innocent. Penchant quelque peu la tête pour amplifier le baiser j’entrouvris mes lèvres les mouvant alors contre les siennes, ma main remontant lentement à ses cheveux que je caressais doucement en les tirants quelque peu. Mon cœur s’emballait violemment, mon corps tremblait de plus en plus, ce baiser était en train de me tuer, pourtant ce n’était qu’u baiser, mais bon dieu c’était Elijah ! Ce n’était pas n’importe qui ! C’était l’homme que j’aimais ! Me reculant quelque peu mes lèvres effleurant toujours les siennes je passais lentement ma langue sur mes lèvres caressant alors les siennes par la même occasion. « Elijah… » murmurai-je doucement en collant mon front contre le sien, mon corps totalement collé lui aussi au sien, mon autre main posait sur son torse, je caressais lentement du bout de mes doigts les traits dessinés de ses muscles à travers son vêtement. Le prenant lentement dans mes bras pour une étreinte assez forte, je posais ma joue contre la sienne en fermant les yeux. « Je ne veux pas te perdre… Je tiens trop à toi… vraiment … tu veux rester ? Qu’on se fasse quelque chose ? Ou tu avais prévu quelque chose aujourd’hui ? »
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeJeu 4 Aoû 2011 - 3:09

Hm, au moins elle avait remarqué l’aversion mutuelle que Zeppelin et moi se portions. Et heureusement, elle ne me demandait pas de l’apprécier, simplement d’avoir une conduite respectable. Elle est parfaite ou quoi cette fille ? Bon nombre aurait pu se vexer, mais non. À défaut d’être émotive, elle n’est pas susceptible. Je pourrais parler pendant des jours de sa personnalité explosive, jamais je ne me lasserais. Je retournais tout ses défauts en petite qualité anodine, parce qu’au font c’est ce qu’ils sont, à mes yeux.

Cette main, posée sur ma joue, je l’imaginais déjà à des endroits plus explicites. Faut pas m’en vouloir, je suis un homme après tout et depuis le temps que je fantasme de Mlle Akerfeldt. Ses longues jambes, son ventre plat, ses seins ronds, ses lèvres parfaites, ses yeux envoutants, son petit nez tout fin. Bon, hm, ça suffit maintenant. Je plaçais mes mains dans le bas de son dos et la collais bien contre moi alors qu’elle me lançait un dernier regard avant de plonger à nouveau ses lèvres sur les miennes. Cette fois, ce ne fut pas un petit baiser chaste et timide comme avait pu l’être le premier. Nos lèvres se mouvaient à l’unisson. La fièvre passait dans ce baiser. Je pus même sentir sa langue sur mes lèvres, me décochant un petit sourire en coin. Mes mains commençaient à se glisser sous son haut, tout simplement par instinct. Posant sa joue contre la mienne- oui, elle est grande à ce point. Non pas que je sois un géant, mais elle, elle est très grande. Seulement quelques centimètres nous différencient- elle ouvrit la bouche. « Je ne veux pas te perdre… Je tiens trop à toi… vraiment … tu veux rester ? Qu’on se fasse quelque chose ? Ou tu avais prévu quelque chose aujourd’hui ? »


Si seulement elle savait combien elle peut compter pour moi cette fille. C’est la première qui a réellement su toucher mon cœur. La seule pour qui je serais prêt à mourir, à condition que ce soit pour son bien. N’accordant plus vraiment d’importance à mes parents pour ce qu’ils ont fait à mon frère, elle est l’être qui m’est le plus cher. Je caressais du bout des lèvres son front. «Tant que tu voudras de moi, je serai à tes côtés, parce que tu es l’être qui m’est le plus cher». En ce moment, je me faisais penser à un de ses trucs de vampires, Twilight je pense, mais c’est vrai, ce que je dis, ce que je pense. Je relevais les yeux vers l’extérieur. La noirceur était tombée et mon ventre avait envie de faire des siennes. Il le faisait peut-être depuis un moment, mais l’effet que Vanillé me fait, le surplombait. L’heure du diner devait être proche. Lâchant l’extérieur des yeux, je survolais le loft. C’est la première fois que j’y mets les pieds et ça fait un bon moment qu’elle et moi nous nous connaissons. Dommage, il manque de séparations lui laissant seulement une grande pièce de séjour. Mais bon, la décoration était très belle. C’était tout à fait elle quoi. Heureusement que le photoshoot de demain avait été annulé, pour je ne sais plus quelles raisons, j’ai oublié, parce que je n’ai pas envie de la quitter, enfin pas aujourd’hui. Quelque part chez moi, il doit être écrit à quand est remis la séance photos. Je la soulevais de terre, telle une princesse et la trainait, elle et son poids plume jusqu’au lit. Je la déposais doucement sur le lit. Je m’installais par-dessus, à califourchon, réprimant mes envies. Je ne veux pas la brusquer. Je l’embrassais tendrement. Puis j’entrouvrais la bouche pour que ma langue ait retrouvé la sienne, transformant ainsi le tendre baiser en baiser langoureux. Puis, je me laissais tomber à son côté et passait mes mains derrière ma tête, inconsciemment. «Hm, j’ai réussi à entrer ici et je compte bien y rester» dis-je en souriant. «Eh bien on pourrait commander quelque chose à manger et prendre ça relax ce soir.» Je tournais la tête vers la petite grande blonde à mon côté pour voir ce qu’elle pensait de mon planning si peu alléchant. «Ou encore, on pourrait faire des courses d’autruches». Hm, ouais, c’est ça Elijah, lâche pas! Tu dis que des choses intelligentes! J’accompagnais ma dernière parole d’un piètre sourire pour excuser les bêtises qui passent dans ma tête.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeJeu 4 Aoû 2011 - 13:42

« Tant que tu voudras de moi, je serai à tes côtés, parce que tu es l’être qui m’est le plus cher » Gémissant doucement en lui lançant un regard franchement amoureux, je caressais lentement ses joues du bout de mes doigts. Je le voulais pour toujours, je ne voulais pas qu’il parte, je voulais simplement rester avec lui, Elijah, l’homme que j’aimais depuis plus d’un an, celui qui était a mes yeux un tout, oui il était mon tout et je ne pouvais pas le nier. Mon cœur battait follement rien que de penser à lui… « Je voudrais toujours de toi et tu le sais très bien… Tu es important à mes yeux, dans ma vie, j’ai besoin de toi… » soufflai-je doucement en souriant en coin avant de me sentir soulevé. Mes pieds ne touchant plus le sol je le laissais faire en souriant en coin, passant mes bas autour de sa nuque en gémissant d’envie et de plaisir. Je n’avais beau avoir que dix sept ans, sexuellement je n’étais pas inerte, même si je n’étais pas active a cent pour cent pour autant… J’allais avoir dix huit ans dans quelques mois… Me retrouvant allongée sur le lit, Elijah a califourchon sur moi, je le laissais m’embrasser, poussant un faible soupire de bien être en sentant sa langue s’engouffrer dans ma bouche, nos langues se rencontrant alors. Se laissant tomber a mes côtés après un moment, je poussais un faible soupire de frustration, le baiser n’ayant pas assez duré à mon gout. « Hm, j’ai réussi à entrer ici et je compte bien y rester » Souriant en coin en passant lentement ma langue sur mes lèvres je me tournais sur le côté pour le voir posant alors une main sur son torse, le lui caressant du bout de mes doigts.

« Eh bien on pourrait commander quelque chose à manger et prendre ça relax ce soir. » Souriant en coin à sa proposition, pour ma part j’étais on ne peut plus d’accord, pas l’envie de bouger, juste être là dans ses bras et profiter pleinement de ce moment si intense et magique. Un moment simple… Je voulais profiter de … Notre couple ? Est-ce que je pouvais dire une chose de la sorte ? J’espérais que oui… « Ou encore, on pourrait faire des courses d’autruches » Riant doucement en m’allongeant sur lui posant mes coudes sur ses épaules je repliais doucement les jambes battant mes fesses de mes pieds en le regardant longuement scrutant alors son visage si parfait si unique… J’étais follement amoureuse de lui, à ne pas en douter, je l’aimais comme jamais et c’était on ne peut plus plaisant de voir que lui aussi avait l’air de m’aimer. Passant le bout de mes doigts sur son visage, je les glissais lentement dans ses cheveux le contemplant toujours avec émerveillement. Elijah… ce prénom ne faisait que résonner dans ma tête et mon cœur. « Oui, tu as réussi à rentrer après tout ce temps… Ce n’est pas… Un logement franchement glorieux… C’est petit, simple, il était à mon frère… J’ai réussi a le garder et je pais le loyer comme je peux mais ça me suffit pour une fille comme moi… » soufflai-je doucement en tournant un vague regard vers mon petit studio de quelques mètres carré. Deux pièces… L’autre pièce était bien évidemment la salle de bains. Je ne faisais qu’y dormir, même si fut une époque j’y passais mes journées quand j’étais petite. Me penchant pour déposer un doux baiser sur ses lèvres sans pouvoir m’en empêcher je le regardais droit dans les yeux en frottant doucement mon nez au sien souriant en coin avec envie. « Et bien on pourrait commander ? Genre de la pizza ? Ou chinois ? Ou ce que tu veux et on reste chez moi ? On se cale bien dans le lit et on se matte des films, on parle, on parle, tu as le droit de rester autant de temps que tu veux, si tu aimes … ce petit logement… » Marmonnai-je doucement en mordillant quelque peu mes lèvres en posant mon front contre le sien en le regardant alors droit dans les yeux embrassant toujours ses lèvres avec douceur cessant de bouger mes jambes les entremêlant aux siennes l’air de rien en frissonnant de bien être.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeJeu 25 Aoû 2011 - 22:21

Spoiler:

Ses petites mains faisant ainsi la navette entre mes joues et mes cheveux réussissaient à réveiller des petits frissons. Son corps sur le mien ne faisait qu’accroitre la vague de sentiments si contradictoires, mais qui s’accordaient si bien. Ses jambes se battant nonchalamment ne faisait qu’ajouter à son innocence si parfaite. Je suis amoureux, bien que cela me semble étrange à affirmer. Bien qu’au début, elle m’apparaissait comme une détraquée, aujourd’hui mon opinion a totalement changée et même notre première rencontre ne s’avère pas étrange.

« Oui, tu as réussi à rentrer après tout ce temps… Ce n’est pas… Un logement franchement glorieux… C’est petit, simple, il était à mon frère… J’ai réussi à le garder et je pais le loyer comme je peux mais ça me suffit pour une fille comme moi… » Dit-elle en détournant les yeux. Non je le voulais pas qu’elle les détourne. Hm, je crois, non en fait je suis certain que ses yeux ont quelque chose de maléfique oui, c’est ça. Rien ne leur résiste. Voyez-vous, c’est très maléfique. Au fond, cette jeune fille, ne fait pas le bien autant qu’elle sait si bien le dire. Ô ça non. Néanmoins, je suivais son regard sur la pièce. C’est vrai que ce n’est pas tant glorieux coté matériel et tout, mais il semble glorieux en héritage. «Je paie le loyer comme je peux», ses dernières paroles raisonnaient drôlement dans mes oreilles. En fait, j’ai toujours cru que Vanillé venait d’une famille assez aisée ? Mais à partir de là, c’est peut-être moi qui se fait des idées sur ce que j’ai entendu. « Et bien on pourrait commander ? Genre de la pizza ? Ou chinois ? Ou ce que tu veux et on reste chez moi ? On se cale bien dans le lit et on se matte des films, on parle, on parle, tu as le droit de rester autant de temps que tu veux, si tu aimes … ce petit logement… » Dit-elle alors que nos nez sympathisaient. Puis, ce fut nos lèvres qui semblaient toujours vouloir plus connaitre les autres et enfin nos jambes, chatouillant l’un de mes sens. Je me demande tout de même si cette phrase était la permission officielle d'y remettre les pieds. «Ouai, il est bien ce petit logement et on pourrait genre faire venir du chinois et matter des films. Mais ça peut attendre.» dis-je dans un dernier soupir alors que mes mains se calaient sur ses fesses, les pressant et les caressant. «Enfin, si tu veux.» Je reposais mes lèvres sur les siennes, dans un baiser passionnel, je lui transmettais désir, passion et amour. Je laissais par la suite mes lèvres descendre le long de sa mâchoire et de son cou, humant au passage son odeur si délicate.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeVen 26 Aoû 2011 - 2:00

« Ouai, il est bien ce petit logement et on pourrait genre faire venir du chinois et matter des films. Mais ça peut attendre. » Inspirant longuement en sentant alors ses mains se poser sur ms fesses, je ne pus m’empêcher de pousser un faible gémissement de bien être sous cette caresse si nouvelle. Je n’avais vraiment pas l’habitude que l’on me touche, encore moins Elijah, vraiment pas même… Le sentant presser mes fesses, je lui lançais un regard des plus sauvages totalement excitée pour le coup. « Enfin, si tu veux. » Gémissant a nouveau cette fois de façon bien plus audible, je sentis ses lèvres sur les miennes avec envie et malice. Le laissant faire, je me mis à frissonner sous le bien être qui était en train de m’envahir de part et d’autre de mon corps. Il réveillait en moi des désirs et des pulsions que je n’avais jamais vraiment connu. Parce que lui je l’aimais, parce qu’il était Elijah et que c’était l’homme que j’aimais, oui je l’aimais j’étais folle de lui je ne pouvais qu’aimer… Le laissant s’emparer de mon cou je poussais un faible soupire de bien être avant de poser une main sur sa taille tirant longuement sur son haut en gémissant à plusieurs reprises. « Elijah… Hum oui ! Va pour un chinois et un film… Mais… Oui ça peut attendre, on a toute la nuit devant nous… Absolument toute la nuit… Si tu comptes rester ici, tu sais mon lit est assez grand… » soufflai-je l’air de rien en lui lançant alors un regard des plus explicites qui voulait tout dire… Me redressant pour m’assoir sur lui, je posais mes mains sur mon torse le caressant longuement en le regardant avant d’attraper son haut pour le lui enlever doucement avant de le jeter sur le canapé juste à coté du lit.

Entrouvrant la bouche en voyant son torse des plus parfait, je le caressais pour découvrir alors son corps en inspirant longuement. J’étais dingue de lui totalement amoureuse et folle de lui. Je le désirais comme je n’avais jamais désiré quelqu’un… Elijah était à mes yeux l’homme parfait, celui qui pouvait me correspondre en tout point… Et qui me correspondait en tout point ! Griffant lentement son torse en me mordillant franchement les lèvres je me rallongeais doucement sur lui pour l’embrasser doucement caressant alors ses lèvres de ma langue en gémissant faiblement. « Tu es beau Elijah, tellement beau… Comment ne pas te vouloir ? Comment ? Dis le moi… Je te veux… » Murmurai-je doucement contre ses lèvres en glissant alors avec douceur ma langue dans sa bouche pour l’embrasser longuement de façon sensuel comme jamais je n’avais embrassé quelqu’un. Je me sentais aimée, désirée, regardée, je me sentais un peu tout à la fois et c’était on ne peut plus gratifiant pour le coup. Elijah était en train de me prouver clairement qu’il serait l’homme parfait à mes cotés, qu’il saurait prendre soin de moi et ne pas me négliger… Faire l’amour avec lui, était comme un fantasme… Et j’allais enfin le réaliser… L’embrassant de façon quelque peu sauvage je caressai mon nez au sien avant de rompre avec douceur le baiser le regardant alors droit dans les yeux, griffant faiblement son torse en souriant en coin avant de sortir de sur lui l’air de rien m’allongeant alors sur le dos à côté de lui regardant le plafond avec intéressement. « J’aurais jamais cru que je puisse te plaire, physiquement parlant… Petits seins, jambes fines… Fesses plate à mon gout… C’est plaisant de voir qu’en fait… Je t’excite… »
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeVen 26 Aoû 2011 - 3:11

« Elijah… Hum oui ! Va pour un chinois et un film… Mais… Oui ça peut attendre, on a toute la nuit devant nous… Absolument toute la nuit… Si tu comptes rester ici, tu sais mon lit est assez grand… »

Je lui rendais son regard qui voulait tout dire. Hm, j'ai bel et bien compris ce qu'elle voulait dire. En fait, comment ne pas comprendre. J'ai bien l'intention de profiter de cette nuit. Ses mains qui s'accomplissaient à retirer mon t-shirt me faisaient frisonner et réveillaient encore plus de pulsions. Un petit sourire se dessinait sur le coin de mes lèvres -et c'est plus fort que moi- je redécouvrais mon petit ange, je découvrais son petit coté félin. Ce soir, je ne baiserai pas Vanillé, je vais faire l'amour avec Vanillé et depuis le temps que j'en ai envie. Glissant sa langue dans ma bouche pour un long baiser passionnel, je m'abandonnais et laissais mes mains se balader sans aucune discrétion. Puis, souriant, mine de rien, elle me délaissa pour le plafond. Mais qu'est-ce qu'il a de plus que moi ce plafond ?

Je retirais mon pantalon -qui ne tarderait pas à être serré si l'on continuait sur cette voie, à moins que Vanillé en ai décidé autrement, mais ses paroles d'il y a quelques minutes semblaient laisser croire le contraire- et me plaçais à califourchon sur Vanillé. « J’aurais jamais cru que je puisse te plaire, physiquement parlant… Petits seins, jambes fines… Fesses plate à mon gout… C’est plaisant de voir qu’en fait… Je t’excite… » «Et comment que tu m'excites» Grognant doucement, je replongeais vers ses lèvres pour un baiser aussi sensuel que le dernier, mes mains remontant sous son haut, le remontant par le fait même. Je relevais la tête pour laisser passer son haut et observais son corps parfait. Je ne vois aucune raison pour qu'elle aie les complexes énumérés. Je posais une main sur un sein et l'autre dégageait une mèche de cheveux qui m'empêchait de savourer son visage. Je plongeais mes yeux dans les siens, ses yeux si magnifiques et maléfiques. «Tu es parfaite, petite ange. Encore plus que je ne l'imaginais. Tu es la plus belle femme qui m'a été donné de rencontrer. » Et je pensais vraiment ce que je disais. Chicago est rempli de belles filles, toutes plus belles les unes que les autres, mais Vanillé, elle se démarque. Elle est distinguée, attirante, attachante et j'en passe.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeVen 26 Aoû 2011 - 10:10

Le regardant s’enlever le pantalon, mon cœur s’emballa férocement pour le coup. Depuis combien de temps je rêvais de le voir nu ? Je me le demandais bien, scrutant son corps, regardant alors son entre jambes des plus durci, instinctivement je passais ma langue sur mes lèvres. Gourmande-moi ? Pas le moins du monde… Elijah m’inspirait tout simplement, oh oui il m’inspirait et j’avais très envie de lui pour le coup… Le laissant venir sur moi je posais doucement mes mains sur ses cuisses nues le caressant longuement le scrutant longuement, son corps était tout bonnement parfait, bien musclé, un mannequin… Et il était mien… autant dire que j’étais aux anges, oh que oui c’était cela… « Et comment que tu m'excites » Gémissant franchement en relevant un regard des plus sauvages vers lui, j’entendis alors son grognement me rendant totalement dingue, mon dos se cambrant sous l’afflux de plaisir qu’il était en train de provoquer en moi. M’embrassant des plus sensuellement, je lui rendis son baiser sans me faire attendre, remontant une main a sa taille la lui caressant doucement le sentant passer ses mains sous mon haut. Mon cœur battant la chamade, je le laissais faire soulevant quelque peu mon buste pour le laisser faire. Entrouvrant la bouche pour parler, je me figeais en sentant alors sa main sur mon sein nu. Le sentant durcir de plaisir, je fermais brièvement les yeux en gémissant faiblement sentant son autre main sur mon visage. Serrant ma main sur sa cuisse je souriais faiblement en croisant alors son regard des plus parfait, chocolat comme je les aimais. « Tu es parfaite, petite ange. Encore plus que je ne l'imaginais. Tu es la plus belle femme qui m'a été donné de rencontrer. » Rougissant faiblement en souriant en coin, je ne pu m’empêcher de rougir de plus en plus. Ce genre de réflexion était on ne peut plus plaisante a vrai dire. Comment ne pas aimer ? N’importe quelle femme aimerait qu’on lui dise ce genre de truc… C’était obligé… Inspirant longuement en montant mes mains à son visage je passais mes pouces sur ses lèvres en souriant de plus belle.

« Merci Elijah…C’est plaisant à entendre, je me sens tellement bien là avec toi… T’as pas idée depuis combien de temps je rêve de ce moment, ou tu serais dans mon lit à me déshabiller et ou toi-même serait pratiquement nu… » murmurai-je en baissant automatiquement mon regard sur son membre des plus explicites. Baissant ma main sur son corps, je la posais doucement sur son membre relevant alors le regard vers le sien pour voir sa réaction. Totalement remplit de désir pour moi, je baissais brièvement le boxer pour glisser ma main dessus et mieux attraper son membre découvrant alors son anatomie des plus parfaites. Le caressant du bout de mes doigts pendant un petit moment, je le pris alors dans ma main pour faire de doux vas et vient en léchant rapidement mes lèvres baissant alors un regard vers son entre jambes pour me délecter de cette vue si magique et intense. « J’ai envie de toi… Vraiment, terriblement envie de toi, j’ai envie de faire l’amour avec toi, c’est violent et intense… » murmurai-je d’une voix complètement coupé et aigu par le désir qui montait violemment en moi. Le poussant doucement pour l’allonger sur le lit sans perdre de temps j’enlevais alors son boxer sans le quitter du regard me reculant de lui au fur et a mesure que j’enlevais son boxer. Une fois fait, je le jetais avec le reste déposant alors de doux baiser sur l’une de ses jambes arrivant alors sur son entre jambe, déposant de doux baiser dessus avant de donner un faible coup de langue pour remonter sur son bas ventre puis son torse mordant l’un de ses tétons l’air de rien avant d’enfouir mon visage dans son cou suçotant sa peau lui faisant quelques petits suçons. Attrapant sa main je la lui posais sur mes fesses simplement orné d’un short et d’un string.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeVen 26 Aoû 2011 - 15:44

Sentir ses mains sur mes cuisses, si près de l'objet du délit ne faisait qu'augmenter le l'envie et le plaisir. Dénudée de toute couverture au niveau du haut et dénudée de couette de cheveux au niveau du visage, elle était parfaite. Je caressais tendrement ses petits seins et jouais avec le bout durci, tandis que je lui avouais le fond de ma pensée. Rougissant graduellement, en prenant mon visage en coupe, elle dit: « Merci Elijah…C’est plaisant à entendre, je me sens tellement bien là avec toi… T’as pas idée depuis combien de temps je rêve de ce moment, ou tu serais dans mon lit à me déshabiller et ou toi-même serait pratiquement nu… » Moi aussi, je ne sais pas combien de fois, j'ai pu me l'imaginer nue et dans mon lit. Ou encore que je m'en sois fait d'autres en ayant en tête son visage. Ouvrant la bouche pour lui répondre, un son rauque sortit du fond de ma gorge alors que sa main se baladait sur mon boxer. Passant enfin aux choses sérieuse, elle l'empoigna et commença des doux va et viens. Cette fois, je ne pus réprimer un petit gémissement que j'étouffais au creux de son cou. « J’ai envie de toi… Vraiment, terriblement envie de toi, j’ai envie de faire l’amour avec toi, c’est violent et intense… » J'ai aussi très envie de faire l'amour avec elle. Avec elle plus que quiconque. Le moindre frôlement réussi à me faire frisonner, durcir et en vouloir toujours plus, simplement parce que je l'aime et c'est la première fois que je vais faire l'amour avec une fille envers qui j'ai des sentiments. «Hmm.. j'ai aussi terriblement envie de toi Vanillé.» soufflais-je d'un trait par une voix haletante. Lorsqu'elle me poussa, je n'offrais aucune résistance. Je levais le bassin un peu pour faciliter le retirement de mon boxer. La voyant se pencher pour déposer des baiser sur ma jambe, mon membre se durcit et se gonfla au maximum -à vrai dire s'en était un peu douloureux- pour lui signifier qu'il était là aussi. Y déposant des doux baisers et un léger coup de langue, je ne pus m'empêcher de gémir. Mon coeur cognait contre ma cage thoracique et je suis presque persuadée qu'elle a pu le sentir lorsqu'elle s'est arrêté sur mon mamelon. Attrapant ma main, elle la posait sur ses fesses. Je les pétris doucement avant de ramener mes mains vers l'avant pour y défaire son bouton de short. Elle, le visage enfoui dans mon cou, je peux sentir les suçons qu'elle me fait. J'aurai fière allure demain... ou pas. Roulant pour retrouver la place sur le dessus, je lui retire son short laissant ainsi son string comme étant la seule chose nous séparant de l'acte. J'enfouissais à mon tour ma tête dans son cou, mais pour simplement y déposer des baisers avant de descendre au niveau de sa poitrine. Je pris un sein dans ma bouche, jouant avec son téton et je prenais l'autre dans ma main, pour ne pas le laisser en plan. Je redressais la tête un peu. «Es-tu toujours vierge?» C'est vrai quoi, j'ignore tout de sa vie sexuelle, je n'ai jamais réellement osé aborder le sujet, je le trouvais déplacé, voir pervers dans certains circonstances, mais aujourd'hui, je pense que le moment se prête bien. En plus, hors de question de lui retirer le goût si c'est sa première fois. Je rebaissais la tête pour baiser son ventre. J'embrassais plusieurs fois son bas ventre avant de retirer son string. Un coup totalement nue, mes trouvèrent place sur ses cuisses et les entrouvrirent alors que ma bouche s'activait au niveau de son entre-jambe mouillé. Ma langue y ajoutait du sien, la léchant et la pénétrant des temps à autre.


Dernière édition par Elijah M. Serra le Sam 27 Aoû 2011 - 2:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeSam 27 Aoû 2011 - 0:38

« Hmm.. j'ai aussi terriblement envie de toi Vanillé. » Me mordillant la lèvre avec envie sous cette annonce des plus intense et magique, je le poussais doucement pour qu’il se retrouve allongé à mes côtés. J’aimais la vue que j’étais en train de voir, oui, terriblement même, et le fait de lui enlever le boxer me rendait folle. « Je vois ça… Je le vois même parfaitement… Tu es comme je l’imaginais… » murmurai-je doucement en lui enlevant totalement le boxer avant de faire des baisers sur sa jambe puis léchant faiblement son membre. Caressant son membre du bout de mes doigts je posais sa main sur mes fesses me les pressant faiblement avant de dévier sa main sur le devant pour défaire mon short. Me l’enlevant rapidement tout en m’allongeant, je lui fis quelques suçons sur le cou avant qu’il ne m’allonge sur le lit s’allongeant alors sur moi. Poussant un faible soupire, je sentis sa bouche se refermer sur l’un de mes tétons. Me figeant en sentant ma poitrine durcir encore plus de plaisir, je poussais de faible cri de plaisir en le laissant faire, c’était on ne peut plus plaisant… J’étais en train de mourir… « Es-tu toujours vierge ? » Surprise d’une telle question dans un moment pareille, j’entrouvris la bouche sans trop savoir quoi dire. Non je n’étais plus vierge… Depuis peu certes mais je n’aimais pas trop en parler pour autant, il était clair que la façon dont ça s’était déroulé n’était pas forcément bonne à savoir dans un sens… Léchant rapidement mes lèvres en le laissant faire j’inspirai profondément en cambrant le dos sous l’afflux intense de plaisir que j’étais en train de ressentir. Ses baisers sur mon ventre me rendaient totalement folle, j’aimais qu’il puisse s’occuper de moi de la sorte. Poussant de faible gémissement de plaisir, je ressentis une sorte de décharge dans tout mon corps lorsqu’il agrippa alors mon string pour me le retirer. Il ne se doutait pas un seul instant que rien que ce geste pouvait me rendre folle. Sentant ses mains sur mes cuisses j’entrouvris doucement celle-ci alors qu’il faisait de même de ses mains avant de plonger la tête la première pour me lécher longuement l’intimité. *

C’était la première fois qu’on me faisait ce genre de chose. Surprise et choquée, je poussais un faible cri de plaisir en écartant un peu plus les jambes, sa langue me faisant un bien fou. Posant mes mains sur ses cheveux je les empoignais avec force les tirants sous la pression du désir qu’il était en train de susciter en moi. « Non… Non je ne le suis pas, et… Et toi ? » Demandai-je un tantinet curieuse pour le coup. Sentant sa langue entrer en moi je le redressais pour le voir faire en entrouvrant encore plus la bouche. Il était en train de me tuer, vraiment. Mon corps se couvrant légèrement d’une fine couche de sueur je penchais ma tête en arrière en poussant un franc cri de plaisir en bougeant quelque peu le bassin. Me laissant retomber sur le lit, j’attrapais les couvertures pour les serrer avec force me retenant de hurler de plaisir. « Bordel ça… ça c’est la première fois qu’on me le fait par contre et… Oh mon dieu ! » Lâchai-je d’une voix aigu totalement envouté par le désir de sa langue contre mon intimité, sentant son souffle sur celui-ci sa salive quelque peu couler et sa langue légèrement a l’intérieur de moi. Un plaisir charnel totalement envoutant et délectant qui était en train de me faire planer à mille lieu de ce putain de lit dans ce studio merdique… « Elijah… Je vais mourir… Je… Oh … Bordel… Hmpf…Elijah… » Je ne pouvais m’empêcher de murmurer son prénom a plusieurs reprises sous l’afflux de plaisir sentant la chaleur monter dans tout mon corps.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeSam 27 Aoû 2011 - 2:27

Ses jambes s'entrouvrirent un peu plus par instinct, me permettant ainsi de mieux m'activer. Elle ramena par le fait même ses mains au niveau de mes cheveux, le tirant non pas légèrement, mais assez fort -je suis sur qu'elle pourrait partir avec quelque cheveux-. Je grimaçais et me mordait l'intérieur de la joue pour changer le mal de place. « Non… Non je ne le suis pas, et… Et toi ? » Je sentis ses muscles se bander et un cri retentit dans le loft. Ce cri eut l'effet de m'exciter encore plus. Elle est plus que prête. « Bordel ça… ça c’est la première fois qu’on me le fait par contre et… Oh mon dieu ! »À ses paroles, je souris un peu et resserrais mes mains sur ses cuisses. Je suis le seul qui a assez de considération pour ma belle pour penser à son plaisir avant le mien. Je continuais de faire valser ma langue contre son intimité pour lui faire connaitre au complet ce que c'était. « Elijah… Je vais mourir… Je… Oh … Bordel… Hmpf…Elijah… »

Prenant cela pour le début de la fin, je remontais suivant de ma langue une ligne imaginaire. Mes suivirent le mouvement caressant chacune des ses courbes subtiles, mais parfaites. Je remontais mes mains jusqu'à ses joues que je caressais doucement puis je posais mes lèvres sur les siennes pour un tendre baiser langoureux. Relevant la tête, je plongeais mes yeux dans les siens. « Je ne le suis pas non plus»répondis-je à sa réponse-question de tantôt. Puis, répondant à l'appel de mon entre-jambe, j'entrais doucement en elle, déposant en simultané un tendre baiser sur ses lèvres. Mes mains retrouvèrent la forme presque déjà familière de ses seins, les pétrissaient et je commençais un doux va et viens qui entrainait avec lui des halètements, gémissements et grognements. Je fais l'amour avec mon seul et unique amour. Les sensations sont décuplées, mon amour est renforcée et ne semble jamais vouloir s'arrêter. Maintenant que je suis en elle, mon corps en veut toujours plus -jamais il ne se lassera d'elle-, j'approfondis donc le mouvement.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeLun 29 Aoû 2011 - 1:15

« Je ne le suis pas non plus. » Ces mots résonnant dans ma tête telle une douce mélodie, un léger sourire s’empara alors de mes lèvres, comme pour démontrer que j’étais extrêmement heureuse d’apprendre cela, chose qui était totalement vrai. Ça m’aurait paru bizarre de coucher avec lui s’il avait été puceau. En même temps… A la base je devrais l’être, à la base… Mais les choses étaient différente… Mais me trouver là, chez moi, dans mon lit avec Elijah, il n’y avait rien de mieux que de vivre un pareil moment ! Vraiment car j’adorais cela, car je l’aimais et qu’il était plus que vital à mes yeux. J’étais amoureuse de lui depuis tellement de temps, depuis notre rencontre depuis tellement longtemps… Le sentant entrer lentement en moi, je poussais un faible soupire de plaisir en redressant mes jambes, les relevant alors pour rendre l’union encore plus intense et parfaite. Le sentant entrer totalement en moi je gémissais fortement en passant mes mains dans sa nuque pour la lui griffer doucement sous l’afflux de plaisir. Poussant de faible cri en sentant alors ses mains sur mes seins, ceux-ci durcissant plus franchement je fermais les yeux en cambrant bien le dos en bougeant longuement le bassin pour amplifier le plaisir. C’était intense, fantastique, inimaginable de prendre autant de plaisir. Serrant les jambes sur sa taille j’enfouissais ma tête dans son cou pour l’embrasser doucement en léchant quelque peu sa peau tout en murmurant doucement son prénom sous l’afflux de plaisir. « Elijah… Je t’aime… je suis folle de toi, vraiment… Tu n’as pas idée, comme je t’ai toujours voulu… » murmurai-je doucement contre sa peau remontant alors doucement mon visage sur ses lèvres pour les lui mordiller doucement en caressant mon nez du sien. Ce moment était tout simplement magique, j’étais enfin avec l’homme de ma vie, celui dont j’avais toujours rêvé, celui avec qui je voulais faire ma vie… Je ne pouvais qu’aimer cela. Mon corps se couvrant faiblement de sueur, mon cœur s’emballa lentement, je défis mes jambes de sa taille les enlaçant a ses jambes bougeant longuement le bassin en criant de plus en plus. « Je suis en train de mourir… Oh… Oui… Elijah… » Soufflai-je d’une voix totalement coupée par le désir, me redressant alors sur les coudes cherchant de l’air en sentant les vas et vient d’Elijah me faire un bien fou. J’étais en train de vivre le paradis, un conte de fée, de nager en plein bonheur tout simplement, je voulais qu’il continue encore et encore qu’il ne s’arrête plus de me faire l’amour, je voulais simplement passer ma nuit a faire l’amour avec lui, découvrir son corps encore et encore ne pas me lasser, non car je savais pertinemment que je ne me laisserais jamais de lui je l’aimais que trop fortement…
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeLun 29 Aoû 2011 - 3:45

Ma peau se faisait de plus en plus humide, mon cœur s'emballait, ma respiration se faisait plus courte et le plaisir se faisait plus intense. Rien dans mes vingt petites années de vie ne me rend plus heureux que d'être avec Vanillé et profiter de ce moment. Avoir l'impression qu'il y aura une pléthore de moments dans le genre. Avoir cette impression qu'elle m'aime aussi. Avoir ce petit chaud au cœur tout en sachant que durant un moment, j'ai des chances d'être heureux avec elle, de bâtir des expériences avec cette fille qui me rend fou. Vanillé qui au moindre contact réussirait à faire en sorte que j'enflamme un stade de baseball entier. Le moindre son sortant de sa bouche est transformé en mélodie par mes oreilles. Il ne va pas sans dire qu'aujourd'hui, cette union de nos corps est la plus fracassante que j'ai connu. Serrant ses jambes sur ma taille, je pus ensuite sentir ses lèvres, sa langue dans mon cou. « Elijah… Je t’aime… je suis folle de toi, vraiment… Tu n’as pas idée, comme je t’ai toujours voulu… » J'aurais voulu lui dire que je l'aimais aussi, plus que tout. Elle était la seule personne à qui je tenais vraiment. Que je pourrais épouser ce soir et ne jamais le regretter. J'aurais vraiment voulu lui dire, mais les mots bloquaient. Depuis le temps ou je pense la même que ce qu'elle vient de me dire, croyant que de son côté elle se bâtissait une vie totalement différente. Ce soir, j'avais la preuve contraire. « Je suis en train de mourir… Oh… Oui… Elijah… » . Poursuivant toujours le fameux mouvement, à l'unisson de son bassin rendant ainsi le mouvement toujours de plus en plus franc. La jouissance n'étant pas bien loin, je ne pouvais empêcher son prénom de franchir mes lèvres à plusieurs reprises d'une voix rauque, chaude et coupée. Même le fameux «Je t'aime» réussit à passer le cap alors que j'atteignais le point culminant, laissant ainsi en elle une partie de moi. J'enfouissais à mon tour ma tête dans son cou et lui mordillait doucement le lobe d'oreille. «Vanillé.. il faut que tu saches... que je t'aime, réellement..Et non pour ce que tu viens de m'offrir»murmurais-je au creux de son oreille avant de déposer un ultime baiser sur ses lèvres. Je me laissais ensuite choir à ses côtés, lui laissant libre choix pour la suite. En fait, je me foutais un peu de la suite. Certes, je ferais l'amour avec elle jusqu'à ce que je tombe d'épuisement. Mais juste de savoir que mon amour était réciproque me rendait fou. Le reste, n'étant que complément, mais c'était si bon, si magique. C'était avec elle, et ça fait toute la différence.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeMer 31 Aoû 2011 - 10:18

« Je t'aime » Soufflant longuement à son je t’aime, mon dos se arquant avec violence, je sentis alors l’orgasme m’envahir. Poussant un franc cri de plaisir, ma main griffant longuement son omoplate, je sentis mon corps totalement envahit d’une chaleur des plus agréables, le plaisir me tuant a petit feu. Encore plus lorsque tout à coup je le sentis lui aussi jouir pleinement en moi. Un point culminant atteint pratiquement ensemble. J’étais on ne peut plus heureuse de partager cela avec l’homme de ma vie, car oui, Elijah était cela moi… Il était réellement l’homme de ma vie, je le voulais dans ma vie pour toujours…« Vanillé.. il faut que tu saches... que je t'aime, réellement..Et non pour ce que tu viens de m'offrir » Frissonnant de bien être a cette phrase, je passais lentement le bout de mes doigts sur son visage le regardant alors avec amour. Elijah était quelqu’un qui aimait rassurer, qui aimait dire la vérité et qui ne voulait pas d’ambigüité, ou bien même de mal entendu. Il aimait se faire comprendre, et moi j’aimais atrocement qu’il puisse me rassurer en me disant cela. Le fait qu’il m’aime, qu’il n’ait pas couché avec moi juste comme ça et qu’il m’aime surtout pour ce que j’étais réellement me faisait atrocement plaisir. Je voulais encore et encore faire l’amour avec lui, je voulais rester éternellement dans ses bras, je voulais rire, je voulais m’amuser auprès de lui, je voulais tout cela… M’embrassant doucement, je fermais lentement les yeux comme pour profiter de ce moment avant de le sentir se retirer pour s’allonger à mes côtés. Gémissant faiblement, un frisson parcourant longuement mon corps, je cambrais le dos en m’étirant pour faire craquer les articulations de mon corps. Je me sentais apaisé, oui, c’était cela ! Totalement et entièrement bien, il venait de me rendre plus que bien et détendu. Me tournant vers lui, en passant une jambe sur son corps je me collais contre lui en déposant un doux baiser sur sa joue avant d’en faire un sur sa bouche, attrapant sa lèvre inférieure des miennes la lui suçotant doucement sans le quitter du regard un seul instant.

« Je sais Elijah… J’ai confiance en toi, je sais que tu es un type bien, je sais que tu m’aimes pour ce que je suis et non pas pour le côté cul… » murmurai-je doucement contre ses lèvres avant de les lécher avec envie tout en frissonnant longuement. Montant lentement sur lui je penchais quelque peu la tête pour glisser ma langue dans sa bouche l’embrassant avec envie, mon corps tremblant encore sous l’intensité du plaisir qui régnait en moi. Restant un long moment a l’embrasser, je me laissais tomber sur le côté avant de me relever pour attraper mon téléphone. Revenant sur le lit m’asseyant a ses côtés, j’appelais rapidement un traiteur chinois pour commander. Passant commande en regardant Elijah, je détaillais longuement son corps le trouvant plus que parfait à mes yeux. Mon cœur s’emballant, je raccrochais lentement une fois tout fini avant de poser le téléphone sur la table de nuit. M’approchant alors de lui a quatre pattes telle une petite féline, je léchais lentement mes lèvres avant de passer mes mains sur son torse les baissant pour les passer sur ses cuisses puis ses genoux et mollets. Me mettant sur lui, je m’asseyais alors sur ses chevilles le regardant longuement avant de me pencher pour embrasser une de ses jambes remontant doucement avec envie. « Hum… Ils nous livrent dans trente minutes, voir un peu plus… ça nous laisse donc, pas mal de temps ça… » Moi coquine ? Pas du tout … Disons qu’il avait réveillé en moi une soif de désir et de plaisir que je me devais d’assouvir… J’avais trop longtemps désiré Elijah et a présent qu’il était nu dans mon lit autant en profiter un maximum ! Montant le long de sa jambe, j’arrivais au niveau de son entre jambe, le lécher longuement prenant bien mon temps relevant alors le regard vers lui. C’était bien la première fois que je faisais cela a un homme, mais bizarrement j’étais terriblement inspiré par l’homme que j’aimais. Sans perdre de temps une seule seconde, je fis glisser alors lentement celui-ci dans ma bouche pour lui procurer un immense plaisir indescriptible.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeMer 31 Aoû 2011 - 23:49

Je caressais du bout des doigts la jambe qu'elle venait de passer sur moi. Je souriais et fermais les yeux, profitant du moment passé, du moment présent et du moment à venir. Puis, je rouvrais les yeux et me permettait de la regarder encore et encore. Son corps, si beau, si parfait et si attirant. Un petit quelque chose que je n'avais encore jamais remarqué attira mon attention. Je baissais donc les yeux au niveau de sa fesses. Elle était tatoué. Mais qu'est-ce que c'était? Je ne pus même pas approfondir mon étude puisque les lèvres de ma petite ange dérivèrent mes pensées. « Je sais Elijah… J’ai confiance en toi, je sais que tu es un type bien, je sais que tu m’aimes pour ce que je suis et non pas pour le côté cul… » Moi, un type bien? J'en suis pas si sur. Si elle savait ce que j'avais fait, son idée de chic type changerait probablement. J'essaie de me convaincre à tous les jours que c'était de l'illégitime défense, mais j'ai tuer ce mec putain, c'était plus que de la défense là. Ouai, un chic type.. ou pas»dis-je ironique surtout pour moi-même.

Lorsqu'elle monta-lentement, mais surement- sur moi, je passais alors directement mes mains à ses fesses, à la recherche de quelconque tracé me donnant des indices de tatouage. Ravalant ma curiosité, je me trouvais trop con. Depuis quand un tatouage laisse quelconque marque palpable au toucher? Je remontais donc mes mains, lui caressant le dos alors qu'elle glissais sa langue dans ma bouche. Profitant pleinement du moment, je tournais aussi la tête un peu pour rendre le baiser plus facile. Lorsqu'elle se laissa tomber sur le côté, je gémissais tel un petit chiot en réclamant plus encore. Ayant garder les yeux fermés suite au baiser, je ne pus voir qu'elle s'était volatilisé pour revenir avec un téléphone. Entendant le petit "bip" propre à tous les téléphones je rouvrais les yeux. Je la regardais quelques instants -peut-être le temps des sonneries- et me rendais à son côté. Je déposais de doux baisers dans son cou en écoutant discrètement au téléphone. Qui pouvait-elle appeler en ce moment? En entendant le petit "slogan" d'ouverture de restaurant chinois, je me rappelais qu'on avait parler de manger à un moment ou un autre. Je souriais et remontait tranquiiiilllement vers son oreille et murmurais: «Et parlant de cul, c'est quoi ce tatouage?» et je m'enfuyais comme un voleur, enfin, je me laissais tomber sur le lit. Lorsqu'elle raccrocha le téléphone et s'approcha tel un gros félin, je souris de pleine dents. Elle embrassa ma jambe et remontais tranquillement: . « Hum… Ils nous livrent dans trente minutes, voir un peu plus… ça nous laisse donc, pas mal de temps ça… » À ses paroles et à ses gestes, je sentais mon entre-jambe reprendre du poil de la bête. C'est d'ailleurs à cette endroit qu'elle s'attarda. En sentant sa langue passer, je déglutissais, puis elle le mit dans sa bouche. Une vague de frissons me parcourut le corps en entier. Ce simple geste, c'est indescriptible le plaisir que ça apporte, je gémissais et totalement sans gêne. Ne s'arrêtant pas à ce simple geste, elle le léchait, faisait des vas et viens. J'ai déjà dit que je détestais son piercing? Parce que là «Ah Seigneur Vanillé»dis-je en agrippant le premier morceau de draps qui me tombait sur la main. Je retire toutes mes paroles concernant tout ce qui a attrait à son piercing à la lange.La sensation est insensée, inimaginable. Relâchant les draps, je portais un point à ma bouche pour m'empêcher de crier, mais cela ne m'empêchais pas de gémir, ni de sentir mon heure qui se pointait.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeJeu 1 Sep 2011 - 22:45

« Ouais, un chic type.. ou pas » Haussant un sourcil en le regardant, je ne comprenais pas pourquoi il rajoutait le ou pas. J’avais l’impression pour le coup de ne pas le connaitre, mais après tout nous avions tous nos petits secrets non ? Il me semble que si… Caressant faiblement son visage, je le regardais longuement en plissant le nez. « Ou pas ? Pourquoi tu dis ça mon ange ? » Demandai-je avant de monter sur lui pour le taquiner quelque peu avant de l’embrassant, sentant alors ses mains sur mes fesses, ses doigts redessinant plus ou moins mon tatouage, il ne l’avait jamais vu avant, en même temps je ne voyais pas pourquoi je le lui aurais montré, ou lui en aurait parlé… Souriant en coin avant de sortir de sur lui, je pris le téléphone pour faire le numéro d’un traiteur chinois. Le voyant se rapprocher de moi alors que je parlais au téléphone, je le laissais faire en frissonnant de bien être, penchant ma tête en arrière sous l’afflux de plaisir, lorsque son souffle s’écrasa sur ma peau « Et parlant de cul, c'est quoi ce tatouage? » Haussant un sourcil tenant le téléphone contre mon oreille, je me mis a rire doucement avant de lui ébouriffer les cheveux, raccrochant alors le téléphone après avoir fini de passer ma commande. Léchant lentement mes lèvres, je me mis a genoux dos à lui, pour lui montrer alors mon tatouage, un papillon assez jolie volant alors, enfin du moins comme s’il volait… « Un papillon ! Il est beau hum ? Tu aimes ? Je compte bien m’en faire d’autre de tatouage tu sais… » soufflai-je doucement avant de m’assoir sur lui pour embrasser doucement les jambes, avant de filer sur son membre lui donnant un faible coup de langue avant de le prendre lentement et longuement en bouche, tout en frissonnant longuement. C’était bien la première fois que je faisais ce genre de chose et c’était… On ne peut plus plaisant surtout lorsqu’on pouvait voir le plaisir qu’il prenait. « Ah Seigneur Vanillé »

Souriant en coin en le voyant prendre autant de plaisir, je ne pouvais plus m’arrêter, je voulais continuer, je voulais lui vendre du rêve, je voulais simplement lui donner autant de plaisir que lui venait de m’en donner en me faisant l’amour de la sorte. Je voulais simplement vivre un moment parfait avec lui, je voulais exploiter le désir avec lui, je voulais me rapprocher de lui, je voulais vivre notre relation tout aussi parfaite, passionnelle, fusionnelle et j’en passe en ce moment même. Le fait de le voir prendre autant de plaisir, gémir et frémir sous mes vas et vient, sous ma petite langue qui se faisait taquine avec son point sensible, ne faisait que de me donner encore plus confiance en moi, en nous, je voulais le voir crier, le voir prendre du plaisir, je voulais simplement avoir un moment a deux, comme tout à l’heure, je voulais qu’on soit unit pour toujours. Je n’avais peut être que dix sept ans, mais je savais pertinemment que c’était lui que je voulais dans ma vie et auprès de moi. Léchant franchement son membre en pressant mon piercing sur celui-ci, je tournais faiblement la langue cherchant a le tuer plus que de raison, sans le quitter du regard, mes mains caressant alors son corps avec envie et découverte, je voulais connaitre les moindres recoins de son corps, je voulais tout savoir de lui, tout, absolument tout sur lui. Fermant brièvement les yeux en accélérant franchement les mouvements, je poussais de faible soupire de bien être avant de ralentir comme jamais, y allant très doucement, déposant alors de simple et doux baiser sur son entre jambe. « Meurs pas trop vite hum… » soufflai-je l’air de rien en lui lançant un regard taquin. Je voulais simplement le taquiner, je voulais simplement que ce moment dur, encore et encore, je ne voulais pas que tout se finisse si vite alors que ça ne faisait que commencer. Mais je savais qu’une longue nuit nous attendait, je n’en doutais pas un seul instant. Frissonnant de bien être en léchant longuement cette partie, je remontais alors sur son ventre, léchant celui-ci aussi avant d’attraper ses lèvres l’embrassant doucement en m’allongeant sur lui l’air de rien en glissant faiblement ma langue dans sa bouche cherchant alors la sienne, en caressant son visage du bout de mes doigts.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeDim 4 Sep 2011 - 1:03

Me regardant longuement en plissant le nez, elle dit : « Ou pas ? Pourquoi tu dis ça mon ange ? » En fait, ai-je réellement envie de lui dire ça ? «Une autre fois..» soufflais-je contre ses lèvres, tout juste avant que nos langues se rencontrent. Mes mains se promenaient sur ses fesses- enfin son tatouage qui m’est totalement inconnu-, lorsqu’elle prit congé pour aller chercher le téléphone. Je gardais les yeux fermés ratant ainsi une occasion de définir ce tatou. Franchissant la petite distance qui nous séparait, je m’agenouillais à son côté et la prenait par la taille pour baiser tendrement son cou. Ne manquant pas de poser la question concernant sa fesse, elle m’ébouriffa les cheveux avant de rire discrètement. Se mettant dos à moi, je pus découvrir un papillon qui vole. « Un papillon ! Il est beau hum ? Tu aimes ? Je compte bien m’en faire d’autre de tatouage tu sais… » . Le tatouage était vraiment très réussi et lui allait à merveille. C’est peut-être un peu étrange dit comme ça, mais un tatouage, ça ne fait pas bien à tout le monde. Je ne vois pas un gars qui pèse 250 lbs de muscles et mesure 6 pieds avec un petit bracelet de fleurs autour de la cheville.«Oui, il est très bien ton tatou». Enfin, elle se glissa jusqu’à mon entre-jambe pour y faire connaitre des sensations plus qu’extra-ordinaires. Meilleures que j’ai sentie jusqu’à présent. Sentir son piercing, sa langue, sa bouche se frotter, se mouver ainsi, c’était intenable et un franc cri de plaisir finit par sortir de ma bouche. Son prénom aussi sortant en rafale. En ce moment, je suis un homme damné, peut-importe ce qu'elle pourrait de demander, la réponse serait oui. Remontant le long de mon ventre, elle s'étendit sur moi avant de glisser sa langue dans ma bouche. Ma langue allant retrouver la sienne pour un baiser passionnel plus que parfait.

Maintenant la fusion de nos lèvres et de nos corps, je me tournais légèrement pour qu'on se retrouve face à face. Je caressais chaque parcelle de son corps. Je glissais mes doigts à son entre-jambe pour m'attarder sur son clitoris, comme j'en avais eu l'occasion avec ma bouche un moment plus tôt. Remontant ma main à l'intérieur de sa cuisse -celle qui n'est pas en contact avec le lit- et la remontait vers elle. Je me glisse ensuite à califourchon sur son autre jambe. Je basculais doucement mon buste par en avant pour aller poser mes mains de chaque coté de son corps. Ainsi installés, je la pénétrais en douceur et commençais un mouvement lent et maitriser, favorisant ainsi l'intensité des sensations si différentes de la pénétration de dos ou de face.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeLun 5 Sep 2011 - 11:57

« Une autre fois. » Le regardant longuement sans trop comprendre ce qu’il se passait, je léchais lentement mes lèvres en passant alors ma main sur son visage avec envie et tendresse. Je n’aimais pas voir son visage si renfermée, pour une quelconque raison… Une autre fois… L’embrassant doucement en frottant mon nez du sien, un léger sourire au bout des lèvres j’hochais lentement la tête en glissant ma main dans ses cheveux avec envie. « D’accord, une autre fois mon ange…Mais tu sais que si tu as besoin de parler je suis là hum… » marmonnai-je doucement avant de m’assoir sur lui pour l’embrasser tendrement. Ses mains sur mes fesses, je compris bien vite, qu’il touchait plus mon tatouage qu’autre chose, souriant faiblement en l’embrassant bien longuement, je sorti de sur lui pour attraper mon téléphone et pouvoir appeler alors le chinois pour passer commande. Le sentant se coller à moi alors, que j’étais au téléphone, je le laissais faire l’air de rien alors qu’il me demanda ce que c’était que ce tatouage. Souriant en coin en finissant de passer ma commande, je raccrochais en lui annonçant le temps qu’ils allaient mettre pour venir avant de me mettre a quatre pattes devant lui afin qu’il puisse voir mon tatouage en lui demandant alors s’il le trouvais bien ou pas avant de me retourner vers lui. « Oui, il est très bien ton tatou » Souriant en coin en lui lançant un regard quelque peu taquin je me faufilais alors jusqu’à son entre jambe pour m’en occuper de façon digne et parfaite, je ne voulais pas réellement le décevoir tout de même, je me devais d’être une copine qui sache faire se genre de chose, se serait con que je ne sache pas et n’assure pas surtout. Faisant de long et lent vas et vient voulant lui faire plaisir, et surtout lui en donner, faire en sorte qu’il puisse prendre beaucoup de plaisir, je m’amusais de mon piercing sur son membre mais surtout son point sensible, avec insistance. Me redressant au bout d’un moment m’allongeant alors sur lui, je l’embrassais faiblement. Le sentant nous allonger face a face sur le coté, je sentis alors sa main se poser sur mon intimité, plus précisément sur mon point sensible.

Poussant un faible cri de plaisir, ne m’y attendant pas je cambrai le dos en poussant de faible cri a répétitions tellement c’était bon et indescriptible. Le laissant me caresser longuement, ma jambe se relevant grâce a sa main, je le laissais faire avant de le sentir se mettre a califourchon sur mon autre jambe. Ne comprenant pas ce qu’il était en train de faire, je tournais alors le regard inquisiteur vers lui avant de sentir son membre entrer en moi avec lenteur. Nom d’un chien… Cette position, était tout simplement… Fabuleuse. Oui il n’y avait pas d’autre mot pour décrire à quel point s’était on ne peut plus bon. Je ne connaissais pas cette position et le fait qu’il me fasse connaitre était franchement bénéfique. J’étais littéralement en train de mourir sur place tant le plaisir que était en train de me submergeait me rendait totalement folle. Penchant la tête pour voir son membre glisser alors en moi avec une extrême lenteur, je collais bien ma jambe contre ma taille, étant tout de même assez souple, un avantage je devais bien l’accorder. Léchant mes lèvres en frissonnant de bien être je fermai lentement les yeux en poussant de faible soupire de bien être. Plaisir, tendresse, amour, passion, folie, tout passait en moi et je ne pouvais que m’en sentir bien, c’était le meilleur moment de ma vie. Poussant de faible cri, en murmurant son prénom à plusieurs reprises, je plongeai mon regard dans le sien, posant alors mes mains sur les siennes les remontant pour agripper ses poignets les marquant presque sous la force de mes mains. « Oh… Bordel, Elijah ! » Lâchais-je en cambrant franchement le dos sous l’afflux de plaisir. Le sentant glisser et encore glisser en moi, je baissais vaguement la tête, la posant sur l’oreiller ma laissant envahir par un afflux de plaisir, mon corps tremblant quelque peu, il était clairement en train de me tuer, il n’y avait pas d’autre mot ! Me redressant sur un coude cherchant plus ou moins a bouger le bassin, comme pour amplifier le plaisir et le désir, je poussais continuellement des petits cris rendu aigu par le plaisir, sentant alors la sueur perler sur mon corps.
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MessageSujet: Re: «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT   «La fin d'un monde est lorsqu'on cesse d'y croire» HOT Icon_minitimeVen 9 Sep 2011 - 1:13

Parler, en fait ça ne m'est jamais venu à l'idée que cela pourrait me faire du bien. En fait, j'ai plus peur que l'effet soit domino ou dégénérative. Enfin, tu le dis à une personne, qui le dit à l'autre qui le dit à l'autre. Bien sur que je sais que Vanillé est digne de confiance. Sauf que ce n'est pas explicable, c'est comme une petite personne qui crie en dedans de moi de ne pas faire ça. Il me dit que ces mots doivent rester dans ma tête et nulle part ailleurs. En fait j'y peux rien, un secret, c'est un secret et celui-là, c'est le mien. Tout de même, je gardais sa dernière phrase dans l'un des tiroirs de mon cerveau. Un jour peut-être que je réussirai à m'ouvrir sur ce point. Se précipitant mine de rien vers le téléphone, elle prit commande au chinois alors que je ne faisais que lui nuire avec mes baisers. Et enfin après, je pus connaitre la nature de son tatouage. Un tatouage très joli qui concordait avec elle. Suite à mes paroles, elle me lança un regard taquin. Un regard de ses yeux si malicieux. En fait, juste ce regard pourrait me faire grimper aux rideaux. Oui, si peu avait tant d'emprise, mais les yeux sont un peu l'ouverture de l'âme. Tout passe par là. Et en lançant ce regard, j'avais l'impression qu'elle pouvait lire en moi et le contraire étant réciproque. À ce regard on pouvait croire qu'elle avait réellement envie de faire ce qu'elle est en train de faire. Et faut pas se mentir, mais c'est toujours meilleur lorsque le moment est partagé et non lorsque le moment est mécanique, voir robotique, encré dans la routine et sans réel sentiment.

Laissant mes mains se balader, frissonnant moi-même de ce contact et de la proximité de Vanillé, je m'attardais à mon tour au niveau de son entre-jambe pour finalement remonter le long d'une de ses cuisses. Remontant doucement sa jambe, je pus découvrir qu'elle était assez souple-à mon grand contraire-. Je m'insérais en son sein, générant ainsi en moi une explosion de sensations toutes plus contradictoires les unes que les autres. Les frissons se mêlaient à la chaleur de mon corps. M'abstenant de rendre le mouvement plus rapide- pour conserver le seuil des sensations-, j'en voulais tout de même plus. Tentais-je alors de toujours rendre plus loin. J'aurais voulu la toucher encore et encore, mais je ne pouvais qu'admirer son visage d'ange si parfait. De longs souffles profonds, très près du gémissement emplissait la pièce. Ses mains remontèrent le long de mes poignets et les serrais alors qu'en simultané, je serrais le dents sous l'afflux de plaisir. Vanillé tentait tant bien que mal de se bouger dans un mouvement commun. Refoulant mon envie de rendre le mouvement plus vite- sous peine de regretter- je continuais sur la même lancée. Sentant le début de la fin, je serrais encore plus les dents. Non.. pas maintenant, ça ne pouvait se terminer... je, j'en veux plus encore. Je donnais néanmoins tout ce que j'avais, dans un dernier coup de grâce. Frissonnant de tout mon être et jouissant sous le puissant bien-être qui m’envahissait. Me retirant lentement, je me mettais à son côté, laissant mes bras profiter d'un petit moment de répit. Je me remettais doucement sur elle, une fois ma circulation sanguine remise. Caressant doucement sa joue et ses cheveux, je dis «Tu sais, ce qui pourrais être bien? Tantôt, on pourrait genre bouffer, puis prendre un bain ou une douche, dépendant de ce qui se trouve de l'autre pièce». Je la regardais tendrement et prenais son visage en coupe, caressant ses joues à l'aide de mes pouces et posais délicatement mes lèvres sur les siennes. Puis, je posait mon front contre le sien. «Je t'aime vraiment, Vanillé» dis-je dans un souffle.
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