AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
En raison d'une démotivation générale au sein du staff et des membres absents, le forum est en hiatus.
Revenez dans quelques semaines/mois, avec un changement de staff et un tout nouveau tout beau, forum.
Merci à ceux qui sont restés jusqu'au bout et pour leur soutien. En espérant vous retrouver à la réouverture ...
Heath, Summer & Camilya.
Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal

Partagez | 
 

 I wish you all a long and happy life. - Susie

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:04


Susie Lola Freetleman


Date & Lieu de naissance : West Bend ; october 11th, 1992. Une petite ville sans grande histoire, un endroit où l'on s'ennuie à mourir. Un lycée où deux équipes s'affrontent, des gamins qui vont des tours en vélo car les parents prêtent pas leur caisse, une banlieue comme une autre, avec ses grands platanes orangés. L'automne, ma saison préférée, il n'y a pas à dire. Peut-être que c'est ma préférée puisqu'il y a mon anniversaire...
Métier : Je n'ai pas encore eu l'occasion de me chercher un boulot depuis que je suis à Chicago mais je sais que mes airs de fille naïve et innocente pourront bien me rendre service. Je ne sais pas vraiment ce qui pourrait m'intéresser. Je refuse de m'ennuyer dans un boulot bien propre. Arnaquer les gens ça me plairait.
Groupe : Moi ? Dépendante ? J'ai beau me présenter comme parfaitement indépendante de tout et n'importe quoi, il n'en reste pas moins que je suis sous l'emprise facilement de la drogue, mais aussi des autres. Sans eux, je me tuerai six fois par jour. Ils sont mes punchingball mais aussi mes limites. Sans ça, j'aurai déjà inversé le sens de rotation de la terre.
Statut familiale : On parle de famille ? C'est le néant dans ma vie. J'ai eu un jour envie de détruire quelque chose de beau, et j'y suis parvenue. J'ai ravagé la relation qui aurait pu me mener à quelque chose de parfait, de stable et goûteux. J'ai été raide dingue d'un type, et je n'ai rien trouvé de mieux que de tout massacrer, que de me détruire toute seule comme une minable. Aujourd'hui, je vagabonde, pas en tant que fille facile, mais ce n'est pas bien compliqué tout de même. Ma mère c'est un sac d'os. Mon père est un type qui a été rayé de ma liste. A vous de voir ce qu'il reste, hormis petite Susie.
Statut sociale : Le mec qui décrétera que l'argent ne compte pas, il aura mon poing dans son visage, et le nez cassé s'il faut. Je sors d'un trou, mais pas un miracle inouï, j'ai un peu d'argent. Du liquide car je n'ai pas de compte bancaire, et encore moins de carte visa, mais comptez sur moi pour savoir survivre. Je sais m'inviter, je sais garder mon fric. Allez savoir dans quelle catégorie je dois me caser encore.





    « Who I am ? »





« How I am ? »

    Electron libre. Ma mère en avait déjà plus qu’assez alors que je n’avais que neuf ans. Une énergie insupportable, doublée d’une langue bien pendue. Sarcastique est un adjectif que l’on m’offre facilement. Je n’aime pas passer par quatre chemins lorsque je veux quelque chose, et les gens me trouvent facilement vulgaire à cause de ça, pour moi, je suis simplement un peu rentre-dedans. Pas délicate pour un sous dans ma manière de présenter les choses, je ne suis pas une écervelée pour autant. Gamine j’étais dyslexique, ce qui ne faisait que me donner matière à être révoltée. Assez tête brûlée, j’adorais dépasser les limites, et les choses n’ont pas changé. J’ai énormément de mal à m’en tenir aux règles imposées ce qui me rend imprévisible et terriblement agaçante… Peut-être un poil capricieuse, je n’en suis pas moins épuisante dans mes joies enfantines. Comme quoi, l’apparence reflète parfois l’intérieur, non ?


      La petite blondinette du fond de la salle. La gamine égarée. La téméraire du groupe, celle qui n’a pas froid aux yeux, la fille barrée qui relève des paris fous… Les gens me qualifient comme ils peuvent, mais ce dont ils se souviennent le mieux, c’est peut-être ma tête. Si je ne fais pas d’efforts pour paraître un tant soit peu féminine, l’opinion publique m’accorde avec une facilité déconcertante quatorze ans, voir treize ; en d’autres termes, je ne fais pas facilement mes dix-neuf ans mais j’adore jouer dessus. La seule chose dont ma mère est fière reste le regard qu’elle m’a transmis. Deux iris si pâles qu’ils en deviennent dérangeants lorsque je fixe autrui. De vraies éponges à émotion je trouve. De taille moyenne, je me fonds dans la masse, si bien que dans la foule, le seul moyen de me retrouver est encore de chercher une tête blonde comme les blés. Adolescente, je suis tombée amoureuse du mauvais type, et me voilà maintenant tatouée à vie dans la nuque. Rien de bien méchant, mais cela achève la faible partie de sérieux que je pouvais encore dégager… Somme, un visage d’enfant, et un corps qui, selon mon père, est celui de la parfaite traînée faîte pour satisfaire les pédophiles. A part ça ? J’aime ma famille.


« This is my past ... »

« Susie, dépêche toi, ton père s’impatiente. » J’eus la brutale envie de lui faire quelque chose comme claquer la porte de ma chambre comme dans une série. Au lieu de ça, je foudroyai du regard ma mère, mâchant mes mots avec précaution. Toute mon enfance s’était résumée à des phrases pareilles. Susie fais ça, Susie occupe toi de ci, Susie dépêche toi, Susie fait plaisir à ton père, sois sage, lave tes mains, sois polie, ne déborde pas dans tes coloriages, ne te bats pas avec le voisin, ne te roule pas dans l’herbe. Susie, Susie, Susie. Maudit prénom. A cet âge j’avais déjà la notion de la haine, mais surtout du dégoût et c’est tout ce que m’inspirait mon paternel. A cinq ans il ne daignait plus m’adresser trop d’attention, ayant décrété que je n’étais qu’une bouche en trop à nourrir, que j’étais un trou dans son plafond bancaire. A sept ans, j’étais parfaite pour faire des commissions, et décidément son esclave favori lorsqu’il s’agit d’aller acheter le journal, du pain, des cigares, ou même le whisky. Nous n’avons pas idée combien les petites villes sont malsaines. Ils avaient pris l’habitude au supermarché du coin de voir débarquer Susie Freetleman sur son vélo, la mine boudeuse, venue chercher « le remède » de son père. Personne n’aurait eu l’idée qu’elle puisse boire l’alcool puisque personne ne songeait qu’une gamine aussi frêle que moi pouvait dévisser seule le bouchon. C’était tout ce qu’il y avait de plus vrai, et je les haïssais pour avoir raison. Je détestais les adultes qui baissaient le regard, je détestais les longs silences, je détestais les râles de mon père, les soupirs désespérés de ma mère mais aussi le détachement parfait de mon frère. Avec trois ans d’avance sur moi et étant un garçon, il avait la paix plus facilement, sauf lorsque je me mettais à le harceler pour qu’il m’aide.
A l’écart de toute norme, je suis arrivée au collège comme un OVNI. L’école primaire n’avait été qu’un passage en mode accéléré où j’avais été des plus désintéressées. J’y étais allée parce qu’il le fallait, parce que c’était le bien et parce que je passais du temps loin de ma famille mais j’enviais de façon délirante mon grand frère qui chaque jour paraissait de plus en plus indépendant grâce au collège. Il traînait avec les grands, ceux qui fument derrière le local de la radio, ceux qui font n’importe quoi avec un squatte, ceux qui connaissent des gros mots. Et moi, je ne pouvais traîner avec personne. Je trouvais ça cruellement injuste mais j’étais bien terminée à ne pas lâcher le sujet. Le collège. Je n’avais jamais vu autant de monde dans un même endroit. Ils semblaient tous se connaître plus ou moins, formant des petits groupes hétéroclites. Mais rester avec des gens de mon âge n’avait rien de palpitant. Ils étaient tous trop soumis peut-être. Tous craignaient les représailles s’ils dépassaient les règles, et pour moi ce genre de gens représentait déjà l’ennuie mortel. C’est là que j’ai rencontré une personne que je n’aurai jamais du voir. A qui je n’aurai jamais du parler.

Par défaut, je me rabattais sur mon frère, n’ayant personne avec qui rester en dehors des cours, pendant les récréations, ni même au self. J’étais la bulle indépendante de la classe de sixième. Mes camarades me voyaient comme une blondinette timide et réservée qui n’osait pas s’intégrer, mon frère me voyait comme un pot de colle mais il m’acceptait sans trop de difficultés, ne manquant pas une occasion de me ridiculiser devant ses amis. Si les premiers mois ont été du à avaler, j’ai fini par prendre du poil de la bête, n’hésitant plus véritablement à agresser mon frangin en retour. Arthur était mon seul point de repère, et s’il ne redoublait pas, il serait mon dernier. Il en était à sa dernière année alors que je ne faisais que ma première, mais je savais au fond de moi qu’un lien avait fini par se mettre en place entre nous et qu’il ne m’abandonnerait pas facilement. J’aurai peut-être même le privilège de le voir m’attendre à la fin des cours par la suite, ce qui donnait une certaine classe, il fallait l’avouer. Fletcher était son meilleur ami, mais aussi celui avec qui j’évitais de me confronter mais si je n’avais aucun problème à rester seule face à lui. Il était terriblement fascinant pour moi mais ma fierté l’emportait facilement sur mes rêves de fillette, si bien qu’à aucun moment je ne laissais trahir ce petit côté groupie que je traînais derrière moi comme une peine à encaisser pour avoir le droit de le regarder. Il avait ce sourire doux qui faisait que mes sens ne répondaient plus à rien. Peut-être se foutait-il de ma présence, mais ça n’avait pas la moindre importance pour moi. Mon frère veillait au grain, de telle sorte que je ne puisse pas m’approprier ses amis. Il craignait que je ne me mette dans de beaux draps facilement, mais il sous-estimait ma tendance à rechercher la difficulté. Un an plus tard, ils n’étaient plus au collège avec moi, mais je les voyais tous. J’avais gagné le privilège d’être invitée à leurs petite fête, étant toujours la plus jeune du groupe, mais souvent aussi la seule fille. C’est peut-être à cause d’eux que je suis devenue si brutale.
Pour goûter, pour être comme eux, un soir j’ai eu la mauvaise idée de boire de l’alcool. Il ne m’en a pas fallu beaucoup pour être ivre et mon frère était trop occupé ce soir à conclure avec une brune sulfureuse pour se soucier de mon état déplorable. Cela m’a amusé jusqu’à ce qu’un type que je ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam s’approche d’un peu trop près. J’avais l’esprit trop embué pour comprendre un traître mot de ce qu’il débitait sur un ton suave. Tout ce qui m’effraya ce fut son regard fixe. Il y avait quelque chose de vide au fond de ses iris, et peut-être même de primaire, voir animal. J’avais la bouche trop pâteuse pour arriver à sortir le moindre mot mais la panique commençait à planter ses griffes dans mon estomac. Ma gorge se nouait et mon cerveau n’étant plus en état de me sauver, j’avais cette horrible sensation de perte de contrôle. Je me suis mise à pleurer, sans savoir en quoi cette réaction pouvait me tirer de là. A croire que mon corps n’enchaînait pas les choses logiques. A grande peine, je le repoussai et par instinct, me précipitai vers Fletcher. Je trébuchai et me heurtai brutalement à lui. Au lieu de me redresser et m’excuser je me réfugiai dans ses bras, me serrant aussi fort que je pouvais contre lui. J’eus envie de lui demander de me sortir de là, puisqu’il était tout ce qu’il me restait de fiable à ce moment précis, mais je compris que je n’avais pas besoin de le faire en le sentant me soulever. A treize ans, le mot débauche entrait à merveille dans mon vocabulaire, et à cette idée je me mis à gémir. « Fletcher. Fletcher, mes parents. Mes parents. Ils vont me tuer. » Je m’accrochai à son cou sans parvenir à m’arrêter de pleurer. La seconde d’après je me tus, rassurée par on ne sait quel miracle, proche de la somnolence vaseuse. « Fletcher ? … J’ai envie de vomir. »

Je lui en ai fais voir de toutes les couleurs ce soir car en prime de m’être réfugié vers lui, chose que je n’avais jamais faite, je me suis à moitié endormi le temps qu’il m’emmène jusque dans sa voiture. J’ai à peine entrouverts les yeux lorsqu’il m’a posé comme il pouvait, posant sa veste sur moi. Je crois que les ennuis ont commencé là car au lieu de me rendre à mon père – qui m’aurait sans aucun doute fais passer l’envie de sortir -, il n’a rien trouvé de mieux que de me ramener chez lui. Au cours de la nuit je l’ai réveillé trois fois. La première fois car j’étais malade, et pas prête à absorber l’alcool aussi facilement que mon frère. La seconde fois car j’avais paniqué en me réveillant à côté de lui, ne le reconnaissant pas. La fois suivante mon cerveau assimila l’information mais je me perdis entre réalité et cauchemar si bien que je sursautai aux environs de six heures du matin, en sueur, le forçant à se réveiller lui aussi. Je ne pus me rendormir, inquiète à l’idée que personne ne savait où je me trouvais mais aussi parce que je n’avais pas du montrer mon meilleur jour à Fletcher.

En fait, ça n’a pas posé le moindre problème car à partir de ce jour je lui suis devenue reconnaissante. Je lui devais beaucoup, en fin de compte, et sans savoir pourquoi je vins à passer plus de temps avec lui qu’avec les autres, ne manquant jamais une occasion de le traîner dans mes délires en parfait décalage avec la société moderne. Je ne parlais de refaire le monde, mais ça me plaisait d’élaborer des théories puis tout détruire, sous prétexte qu’un élément me dérangeait. Et lui, il subissait. Il subissait les lubies de Susie Freetleman. Je l’ai traîné à la patinoire, jusqu’à ce que je tombe et me mette à saigner du nez – sur le coup, j’ai réussi à trouver ça drôle tout de même – en forêt, dans des anciennes usines désaffectés et lorsque je me suis mise à la course à pied je l’ai forcé à me suivre parce que j’avais un trop plein d’énergie et que courir ne suffisait pas. Il fallait que je passe dans des endroits impossibles, que je saute dans les flaques, que je trébuche puis recommence, il fallait que je rie en permanence, l’appelant sans cesse comme une sorte d’encouragements permanents pour qu’il ne me lâche pas en pleine route. Je ne sais pas ce qui l’a fait tenir, pourquoi il n’a pas baissé les bras au bout de cinq minutes, et mon frère non plus ne semblait pas comprendre, mais ça contribuait à mon bonheur insouciant. Il n’était pas rare que je passe des après-midi entières chez lui lorsqu’il pleuvait, assise et étrangement silencieuse à le regarder jouer de la guitare. Il était rare que je l’interromps, sauf lorsque je soupçonnais que ses parents rentrent. Je restai là, stoïque, les sourcils légèrement froncés à me demander comment on pouvait rester aussi prostré sans finir à moitié fou. Comment faisait-il pour ne pas piquer du nez ? C’était ma grande problématique, et cela pouvait m’occuper durant des heures, comme on joue au rubik’s cube indéfiniment.
Le temps passant, il était devenu une sorte de pilier centrale, exaltant mes joies enfantines. Un soir d’été je me suis rendue chez lui en vélo, plus en forme que jamais à l’idée que j’avais été accepté dans le club de photo de West Bend. Je jetai mon vélo à moitié sur le trottoir, en me précipitant sur lui. A force de toujours parler, j’avais pris l’habitude déconcertante de l’appeler en permanence par son prénom, qui passait étrangement bien dans tous mes éclats de voix. Il me fallut plus de quinze minute pour parvenir à boucler l’histoire tant je me perdais en phrases non finies, ne sachant plus comment m’y prendre pour lui dire la chose de façon compréhensible mais lui ça le faisait rire alors je ne prenais pas la peine de me calmer. Peut-être qu’il ne comprenait pas un mot mais ça n’avait pas grande importance. Lentement je dérivais sur d’autres sujets dans un débit plus posé, assise dans l’herbe en face de lui. Machinalement j’entrepris d’arracher l’herbe brin par brin et remarquant son amusement, je me stoppai un instant dans le doute. Etait-ce grave pour la pelouse ? J’avais décidé que non, mais qu’il allait payer son regard. Je lui jetai le peu d’herbe amassée en riant. J’avais fini, par moment, à le rabaisser à mon niveau, et sans trop savoir pourquoi, cela nous permettait de chahuter avec des jeux stupides qui n’appartiennent qu’aux enfants. Mais ce soir là, j’avais décidé que nous aurions sept ans, que nous nous roulerions dans l’herbe. Susie obtient souvent ce qu’elle veut. Il ne nous fallut pas moins d’heure de lutte acharnée pour que je m’avoue vaincue, presque épuisée. « Goujat ! » Un nouveau mot à la mode qui m’amusait beaucoup et ne faisait généralement pas le moindre effet à la gente masculine. Je le poussai à nouveau, comme si rien de tout ça n’était fini, mais lorsqu’il me renvoya la pareille, j’eus un hoquet de surprise face à sa force, hautement supérieure à la mienne. Par réflexe je m’étais agrippée à lui, l’entraînant à moitié avec moi au sol. « Monsieur Gallaway vous êtes le garçon le plus irrespectueux que je… » Je me tus, prenant conscience de notre position plus que délicate. Je sentais son souffle sur mon visage. J’ouvris de grands yeux surpris puis entrepris d’observer véritablement son visage pour la première fois. « Embrasse-moi. » J’aurai sans doute du dire redresse-moi, ou encore pousse toi, mais non. Ce n’était pas dans ma veine.
Spontanée, et sans doute ayant déjà le goût des ennuis car je savais que mon envie présente n’allait guère plaire à Arthur, mais c’était quelque chose qui devait déjà tourner dans ma tête depuis un moment sans que je le sache véritablement. A partir de là tout à définitivement basculé. Mon premier baiser. Mon premier amour. Mon frère, contre toute attente n’a fais que me gifler, une seule et unique fois, et a brièvement menacé Fletcher que s’il faisait le moindre écart, lui serait là pour lui faire regretter de toucher à une gamine. J’avais laissé couler, car mon frère était comme ça. C’était de famille d’être sanguin, mais pas foncièrement rancunier, si bien qu’il continua de voir Fletcher comme son meilleur ami, et moi je restais la petite Susie, celle qu’on traîne en remorque par contrainte. Le problème d’Arthur est qu’il sous-estimait mes capacités à délaisser de façon précoce l’enfance pour me plonger dans des choses que je n’aurai pas du connaître avant dix-sept ans. Fletcher était tout, et c’est sans doute pour cette raison que je lui ai donné tout ce que j’avais de plus précieux, dans une insouciance marginale et un bonheur étrange.

Mais parfois on se casse la gueule. Parfois on se prend les pieds dans le tapis et tout notre petit monde vole en éclat. Il fallut du temps pour que tout soit découvert, et jamais je n’aurai songé que la veille de mes seize ans je regretterais si amèrement d’exister. Lorsque mon frère a su qu’à quatorze ans je n’étais déjà plus vierge, il m’a littéralement trahi. Il a vendu ma chair au paternel. Ma mère, à cette époque, n’était plus bonne qu’à pleurer ou boire, parfois les deux en même temps, mais jamais, au grand jamais, m’aider. Pour la première fois, mon père se laissa déborder par la rage, oubliant la bonne intelligence et son premier réflexe fut de me frapper au visage. La fraction de seconde il prit conscience de son erreur, et ne s’en vengea que plus. Je ne répondis plus à Fletcher, je ne le voyais plus. A vrai dire je ne voyais plus personne. Plus personne de la bonne. Susie était aux abonnés absents, mais je ne connaissais que trop bien Fletcher pour savoir qu’il allait finir par s’inquiéter. Mon frère aussi avait prévu le coup, si bien qu’un jour il me força à ouvrir à Fletcher, restant juste derrière moi. Il ne me supportait plus. Il n’avait plus la moindre envie de me protéger, j’étais déjà la chose qui lui servait de sœur, une loque. Une sombre conne de plus dans un monde de fou. Voir celui que j’aimais sur le perron et savoir que j’avais intérêt à lui dire que c’était fini, sans quoi ça serait ma vie qui serait fini me fit un mal fou. Je ne pleurais pas, j’avais le regard vide, me répétant que je le devais comme un croyant qui se passe en boucle les mêmes conneries sur Dieu. Ce jour là, j’ai décidé que ce vieux fou sur son nuage n’existait pas, il n’aurait jamais laissé faire ça pas vrai ? Connard. Arthur posa une main sur mon épaule et serra. Je savais qu’il ne regardait pas Fletcher directement, et je savais aussi que s’il continuait à serrer ainsi, il allait finir par me faire mal. « Je ne veux plus te voir. » Une grimace déforma un instant mon visage. Je ne savais pas mentir. Je savais à peine comment grandir. J’avais envie de me retourner et hurler sur Arthur, le frapper, le mordre voir le griffer mais je n’étais qu’un paquet de linge humide comparé à lui qui avait pris des muscles en grandissant. J’articulai en silence va-t-en à l’attention de Fletcher puis baissai la tête. D’un coup sec d’épaule je me débarrassai de mon frère et m’avançai vers celui qui se devait d’appartenir au passé. A contre cœur je le poussai comme je pus. « Casse-toi ! »
La suite en découla. Je le croisais souvent mais faisais comme si je ne le connaissais pas, évitant au mieux son regard suppliant. Un soir je me retrouvai à la même fête que lui et Arthur. Je ne savais plus véritablement où me mettre, mal à l’aise. Tout aurait pu continuer ainsi si mon frère ne m’avait pas forcé à sortir pour « discuter ». Chez les Freetleman, la conversation n’est pas notre fort arrivé à un certain stade et c’est ainsi que nous en sommes venus à nous battre. Un type que je ne connaissais pas nous sépara mais j’avais déjà un hématome qui se colorait à la pommette alors que lui avait la lèvre fendue. Du coin de l’œil je vis Fletcher. Je lui jetai un regard noir. « Tout ça c’est de ta faute. » Non, en vérité c’était de la mienne mais j’étais arrivée à un point de non retour. Je ne pouvais plus rien encaissé. J’ai bousculé celui qui nous avait arrêtés, Arthur et moi, et ai disparu définitivement de West-Bend.

De périple en périple, à l’âge de dix-neuf ans je suis arrivée à Chicago sans aucune connaissance de la ville. C’est dans un bar que j’ai fais la connaissance de Shadow. L’accent dans ce coin des Etats-Unis m’amusa grandement et j’en vins à oublier facilement d’où je venais, me laissant aller au plaisir. Enfant, je rêvais d’une vie de princesse, et je dois reconnaître que ça va être difficile à rattraper pour maintenant. Cet avocat fut la première pierre d’une nouvelle vie. Il avait quelque chose d’attachant dans son attitude, et il était loin d’être déplaisant. Petite Susie ne trouva rien de mieux que de le charmer. Depuis, je suis loin de le considérer comme un amant ou une connerie du genre. Il est celui qui remplace à la fois Arthur et Fletcher, ce qui en somme est un excellent compris.






Moi c'est « Machiàvel»


Age : Dix-huit ans depuis le mois de mars, mais ce n'estg pas ça qui fait grandir dans la tête, c'est prouvé !
Avatar : Saoirse Ronan, parce qu'elle est formidable à l'écran, sublime, que j'adore son regard, cette fausse touche d'innocence, que je suis fan de Lovely Bones... Que c'est la première fille que je joue
Pays : France ?
Crédits des créations utilisées : Ma pomme ! GORGEOUSlandon mes amis. Tant que je sais encore me servir de toshop...
Comment as-tu connu le forum ? PRD pardi ! J'ai regardé le sujet de recherche de quelqu'un d'autre, par le plus grand des hasards. Trois forums paraissaient être sympa mais après quelques recherches...Seul celui là valait le coup de mon point de vue !
Qu'en penses-tu ? Suggestions ? En dehors du fait que les liens verts sur le violet passent très mal sur l'écran de mon téléphone, tout me parait parfait. C'est très secondaire comme détail. Sinon, KICK ASS LES JEUNES ♥ Très bon accueil, j'me suis bien marrée sur notre petit débat sur les filles, des admins qui ne se prennent pas pour des flics - car j'en ai déjà vu - ma foi, ça m'a l'air d'être tip-top par iiciiiiii !
Code du règlement : Validé par Shadow (a) et c'est vrai ! < Toi je t'aime bien, c'est décidé !
Mot de la fin : Alors j'ai pris ce prénom à cause de Lovely Bones, que j'adore le son, maisvoilà, maintenant j'ai la "chanson" de Lauren Wolf en tête. Suzy. Suzy likes the boys and the boys like Suzy ! When she’s dancing all around, when she’s got no bounds crazy like a dog, smudging on her pussy, I just loose my mind... Dur la réputation d'un coup !



Dernière édition par Susie L. Freetleman le Mer 8 Juin 2011 - 16:23, édité 23 fois
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:05

Bienvenue parmi nous =D
Bonne continuation pour ta fiche Wink
Si t'as des questions, le staff est là Wink
Lovely Bones ♥️♥️ (si je me trompe pas xD)
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:07

Bienvenue sur le forum !

Bonne chance pour ta fichounette ma belle. Je suis in Love de la sign de ta fiche, et l'icone du profil... bon sang, ces yeux... son visage, so cute....

Si tu as des questions, le staff est là ma belle, n'hésite pas à abuser de nous... Pour des questions hein... (a)
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:10

Je suis d'accord avec les deux vilains du dessus *-*
Bon choix d'avatar !

Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche !
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:13

Cela fait six ans que je fais du rp, six ans que je ne supporte pas l'idée de jouer un jour une fille. Dans la vie réelle, je trouve que beaucoup de filles sont étouffantes - bah ouais, une classe avec 35 filles imbues d'elle-mêmes...c'est hard ! Enfin bref, je vais pas vous faire un tableau. Mais ça fait un an que je suis fan de Saoirse Ronan ( sans avoir vu de film étrangement) Et puis là, révélation Lovely Bones. Je la trouve pire que "cinégique", entière dans le jeu et wouaaaah le regard sérieux ! Six mois à ruminer que je la trouve super et bim, en revoyant pour la deuxième fois Lovely Bones ce soir je me suis décidée à la jouer. Et pour ça, je squatte chez vouuuus !
Merci beaucoup à vous trois - Isobel j'adore ton prénom Kiss
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:17

Oh le petit roman *-*

Je comprends... Moi je suis une fille... Et Révélation ? Je n'aime pas les filles... Trop ... orgueilleuse et imbu et tout... "han je me suis cassée un ongle" Tais toi y'a pire dans la vie... *sors*

Ravi que tu ais eu l'envie de la jouer chez nous I wish you all a long and happy life. - Susie 31152

Merci j'aime aussi mon prénom *-*

Moi j'aime tes prénoms surtout Lola S\'il to plait
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:20

moi bah ce soir jme suis coupé un ongle en coupant les tomates heureusement c'est pas le doigt mercii petit ongle XD ok je sors c'est ça?

Bienvenue
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:21

Désolée, je suis du genre à faire des pavés pour rien ! Et han on se comprend. Le coup de l'ongle ou du maquillage qui coule, c'est la fin du monde, c'est tellement minableeee ! Et Lola et moi, c'est une grande histoire, un petit hommage XD

Cameron ; t'as hurlé que c'était la fin du monde ou tu as mangé la tomate ?
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:23

J'aime aussi écrire des pavés inutile et tout et tout *-* Ha... Le coup du maquillage... Moi ... je ne me maquille presque jamais. un coup de crayon sous l'oeil a la rache et voila... (a) mais... T'es une fille ou un mec IRL ? x)
Un petit hommage ? Moi j'aime bien ma petite cousine s'appelait Lola ^^

HO J'aime la question de Susie *-* Très cherché! J'aurais pas posé cette question MDRRR
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:26

Pour une fille qui se ronge les ongles et qui décide de se laisser pousser les ongles... Et qui remarque que l'un d'eux s'est cassé... Bah ouais c'est la fin du monde. Ouais ! Bordel ! Combien de fois j'ai connu cette galère. C'est comme quand tu es au régime et que tu croises un pot de Nutella sur ta route. Tu manges tout !

Comment ça je suis une quiche ? What a Face
*SORS*
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:26

j'ai dis: "waahou j'ai eu du cul sur ce coup la" et mon chéri ma dis "quoi" j'ai rep : " bah un peu plus et tu m'emmenais faire un séjour aux urgences" *rire* lui il a moins ri et apres j'ai enlevé l'ongle de la planche bah quoi? la sauce tomate à l'ongle c'est pas bon...enfin je crois XD

bon je raconte ma life mais c'est ta faute hein fallait pas me demander Kiss
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Elisa R. Daniels



Elisa R. Daniels


✗ Capotes usagées : 256
✗ Orgasmes obtenus : 55


.

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeLun 6 Juin 2011 - 22:33

Bienvenue parmi nous ! Heart
Heureusement que toutes les filles ne sont pas imbues de leurs personnes et orgueilleuses sinon il y aurait de quoi se tirer une balle Big smile Mais je te comprends je suis pareille j'ai que des amis garçons parce que je supporte pas les filles (ou du moins il y en a pas beaucoup xD )
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 6:44

Je me sens moins seule ! Les filles c'est trop nunuches... sa chiale pour un rien, sa se plaint pour un rien, sa fait un cirque pour rien... J'en connais qui ne sortent même pas si elles ne sont pas maquillé, ou coiffé ou bien fringué... Olalala tes pas connu personne te remarque... *sors*

Bienvenue sur le forum, super bon choix d'avatar, cette fille et tout bonnement splendide ! Et lovely bones est un bon film ! S\'il to plait
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
A. Heath McKingsGreen



A. Heath McKingsGreen


✗ Capotes usagées : 3892
✗ Orgasmes obtenus : 168


Une nuit, j'ai rêvé que j'étais Dieu.
Au matin, je réalisais mes rêves

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 8:53

Houlalalala mais dites moi donc y'a une super conversation par ici MDRR Et le coup du "Je peux pas sortir sous la pluie ... ET MON BRUSHING HEIN ?" (bon ok jme fous de la gueule de ces filles parce que j'ai pas besoin de brushing pour avoir les cheveux lisses *sort*)


A part ça bienvenue sur le forum et merci pour ton inscription xD
Bonne chance pour ta fiche et en cas de question, le staff est là pour y répondre Heart


Dernière édition par A. Heath McKingsGreen le Mar 7 Juin 2011 - 9:49, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://closertotheedge.purforum.com

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 9:40

A. Isobel HurthFeets a écrit:
Ha... Le coup du maquillage... Moi ... je ne me maquille presque jamais. un coup de crayon sous l'oeil a la rache et voila... (a) mais... T'es une fille ou un mec IRL ? x)
Un petit hommage ? Moi j'aime bien ma petite cousine s'appelait Lola ^^


Je mets rarement des jupes, j'ai du porter des talons quatre fois dans ma vie, le matin je mets aussi seulement un coup de crayon à l'arrache - si je ne me lève pas avec trente minutes de retard, ça va de soi. Je ne fais pas de crise si mon ensemble n'est pas sublime, et je n'ai pas le rêve de devenir anorexique, et je ne sors pas en boîte tous les vendredi et samedi pour me trouver "l'occupation d'une nuit"... Mais je suis une fille ! x)
Je me sens moins seule à ne pas supporter 80% des filles, merci à vous Happy Mais le brushing c'est tout aussi vital qu'avoir des ongles longs et soignés Heath, on ne doit pas s'en rendre compte, voilà tout ! Hahaha en tout cas merci pour l'accueil, c'est fun par ici. Ca donne envie de rester ici tiens !
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 10:33

Rah toi et moi on est identique Oo J'ai du porter des jupes 5 fois... et franchement me lisser les cheveux... c'est pas nécessaire dans ma vie loin de là x) Ralalala vive les filles simplistes !
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 10:43

COPINEEEEEE. Non mais un truc doit nous échapper, être fashion c'est essentiel à la survie voyons !
J'attaque ma fiche dans l'après-midi, promis, au lieu de parler parler et encore parler ! Computer
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 10:56

Surement ouais ! Moi mes fringues sont bon marché... C'est la crise... Je survis moi ! *sors loin*

Pas de soucis x) Tu as 7 jours ne stresse pas non plus x) Mais bonne fiche x)
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 11:51

Hello! Bienvenue parmi nous. Très bon choix d'avatar au passage *____*
Bonne chance pour ta fichounette, et si tu as la moindre question, mes confrères et moi on est là pour y répondre! Very Happy * se trouve trop sérieuse et sors loin *
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 12:37

Je sais bien que j'ai le temps, mais je n'aime pas spécialement traîner, et puis vendredi je pars en randonnée à cheval jusqu'à lundi, mardi j'ai le permis de conduire ...et jeudi le bac. VDM. Donc autant faire le plus gros tant qu'on peut encore ! Affraid
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 12:39

Je me sens moins seule à passer le bac jeudi prochain Hugs
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 12:40

Grosse merde a toi ! Le permis c'est easy tu verras Wink et le bac aussi x)
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 12:45

Je suis très light je crois pour le bac. (Niveau révision je parle.) Pas de stress pour le moment. Le truc où je vais avoir mal, me connaissant, c'est l'histoire géo, car si on tombe sur des croquis, bah ça va pas être très drôle pour moi. Aucune mémoire pour ces foutus cartes... Pour le permis je suis une grande stressée, alors on a pas l’abri de conneries plus grandes que moi !
Dimitri, quelle section ? Merde pour toi Wink
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 12:47

Oh je suis une stressé de la vie aussi... Va en pharmacie et demande de l'huile de laurier noble... sa a marché super pour moi j'ai pas stressé ! ^^
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Invité







Invité

I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 12:47

STG glandage (a) xD
& toi ? =)
Revenir en haut Aller en bas

I introduce to you :
Contenu sponsorisé








I wish you all a long and happy life. - Susie Empty
MessageSujet: Re: I wish you all a long and happy life. - Susie   I wish you all a long and happy life. - Susie Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

I wish you all a long and happy life. - Susie

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» joy ϟ «la vie est un long fleuve tranquille.»
» STEFAN ϟ I'll make you squeal baby, As long as you pay me !
» Ashten S. Acker • The life is a joke, Wath else ?!
» CAMILYA MCKINGSGREEN♥ ; « My life is a poison » ~ finish
» Life in Los Angeles (en attente)
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Closer to the edge :: Fiches refusées-