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 Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel

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Neven A-G. Jovanovic



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MessageSujet: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeVen 9 Mar 2012 - 16:14



Samuel Isaac McMahanLeigh

All violence consists in some people forcing others, under threat of suffering or death, to do what they do not want to do.



Date & Lieu de naissance : 9 mars 1984 à Phoenix en Arizona.
Métier : Avocat spécialisé dans les affaires criminelles.
Groupe : Les gens bons.
Statut familiale : Célibataire depuis quelques mois.
Statut sociale : Riche, très riche. D’une part, grâce à papa et maman. D’autre part, grâce à son métier qui rapporte gros.


Who I am ?
How I am ?
Voyons voir. Mon caractère, my character, mein... non je parle pas allemand. Donc, vous voulez que l’on aborde un petit peu le sujet de comment je suis ? Je vois. Je sens que cela ne sera pas une tâche très facile, parce que, comme beaucoup de personnes en ce monde, je suis complexe. Mais surtout, je suis unique. Alors, en premier lieu, il faut que vous sachiez que je suis un petit plaisantin. Quoi ? Qui ne me croit pas ? OK, c’est pas parce que j’exerce le métier d’avocat que je ne suis pas capable d’être marrant. Au contraire, j’ai un humour spécial, voir parfois même débile. Ce n’est pas très glorieux en soi, mais j’adore être ainsi. Petit, cela me permettait de passer entre les filets. Je faisais une bêtise, ensuite, je racontais une ânerie et on oubliait le reste. Je sais, il fallait y penser. Seulement, j’aime bien rire. Je dois dire, je n’ai pas l’occasion de le faire tous les jours lorsque je suis au travail. Je suis du genre sérieux et concentré. Alors, en dehors, je relâche un peu la pression. Sans cela, je crois que je pourrais devenir complètement dingue. Du moins, un peu plus.... Je suis aussi un mec sérieux, lorsqu’il le faut. Je veux dire, je passe pas mon temps à dire des conneries, je sais faire preuve de professionnalisme. Sans cela, je crois pas que j’aurai eu mon diplôme d’avocat, surtout avec ma spécialité. Lorsque je m’investis dans un dossier, je le fais à fond. Je ne reviens jamais en arrière. Si je dois défendre un client, je suis satisfait que lorsqu’il ressort vainqueur du tribunal. Si ce n’est pas le cas, je prends cela comme un échec et ça me met hors de moi. J’aime pas être perdant, ça m’énerve. J’ai besoin d’être le meilleur dans ce que je fais. Du moins, j’essaie de l’être, et tous les jours, je me surpasse. Généralement, mes proches disent que je suis assez... maniaque. Bon, j’aime quand tout est à sa place. Voyez, je supporte pas quand tout est en bordel complet. Je préfère quand les choses sont mises comme moi je le souhaite. Et puis, j’ai une certaine vision des choses, de la vie, des femmes. J’ai toujours mes propres idées sur tout, c’est ce que ma mère disait tout le temps. En fait, envers les femmes... j’éprouve un très grand respect. Elles sont importantes dans la vie des hommes, et elles méritent bien du respect. Seulement, je ne supporte pas quand les femmes se vendent ou font des trucs comme ça. J’ai été élevée d’une certaine manière, et je ne supporte pas certaines choses. Alors, surtout à Chicago, lorsque je croise des jeunes femmes qui sont ainsi, je tic un peu. J’ai du mal à m’y faire. Je cogite toujours très longtemps pour comprendre comment elles en sont arrivées à faire ce « travail ». Enfin, ce n’est que mon avis. J’essaie d’être droit et suivre une certaine ligne de conduite. Parfois borné, il est difficile de me faire entendre raison, et il est aussi difficile que j’admette avoir eu tort quelque part. Du moins, il me faut beaucoup de temps avant de le faire. Mais, quand je vois que c’était une évidence, je me sens bien obligé de faire mon mea culpa. Je n’ai pas que des qualités, je n’ai pas que des défauts, je suis un juste milieu entre toutes ces choses. Puis, à voir toutes les personnes qui vivent dans cette ville de dingues, je suis normal, même un peu trop ! Alors franchement, je n’ai pas à m’en plaindre. Et eux, ils n’ont pas à se plaindre de mon côté sympathique, marrant, gentil, honnête... par contre, ils peuvent le faire en sachant que je suis parfois très chiant, borné, insatisfait, trop déconneur, trop sérieux, et j’en passe. Je sais, je suis trop compliqué comme mec.
Avant toute chose, je tiens à ce que vous sachiez tous cette information ; je suis beau. Hé quoi ? Non, ce n’est clairement pas de la vantardise lorsque c’est l’entière vérité. Bon, d’accord, je conçois que la beauté soit subjective. Après tout, nous n’aimons pas tous les mêmes choses, mais tant pis. Pour moi, à mes yeux, je reste beau, charmant et j’ai une très grande classe. Quoi ? Oui, j’en fais des caisses et alors ? C’est quand même la première fois qu’on me demande de me décrire physiquement, du coup, je glisse quelques conneries ici et là. Mais chut, c’est un secret. Donc, à quoi je ressemble ? Tu peux pas juste me regarder pour le savoir ? Je suis pas l’homme invisible. *soupir* Allez, cessons le blablatage inutile et entrons dans le vif du sujet ! J’ai la chance d’être grand sans pour autant que ce soit excessif. Je mesure environ un mètre quatre-vingt cinq. De ce fait, je peux regarder par dessus l’épaule de quelqu’un sans me hisser sur la pointe des pieds. Je sais que tu en es jaloux, petit nain de jardin. En ce qui concerne mon poids, je pèse dans les soixante-douze kilos. Je suis pas gros, c’est tout du muscle ! Si si, je vous jure. Je passe environ trois fois par semaine dans une salle de sport histoire que je garde la forme. Et je suis ce qu’on nous dis de faire : je mange cinq fruits et légumes par jour. Quoi ? Je sais, là n’est pas le sujet, mais et alors ? On peut plus rien dire, ici. *roule des yeux* Sachez aussi que j’ai un très beau regard. Je me la pète grave, je sais ! Mes yeux sont noirs. Si, c’est vrai. Et même si certains disent que c’est d’une banalité sans nom, moi, j’aime bien et j’en suis très heureux. J’ai des cheveux bruns coupés courts. Bien que parfois, ils sont long. Excusez, mais j’ai quelques périodes où j’ai la flemme de me rendre chez le coiffeur. Je suppose que cela arrive à tout le monde, non ? Non...? On s’en fiche, au pire ! Il m’arrive parfois d’avoir une barbe de quelques jours, mais généralement, je la rase bien vite. J’aime pas trop quand ça pique, ça me rappelle ma grand-mère quand j’étais petit. Ceci est un épisode douloureux de ma vie, merci de ne pas en rire. En ce qui concerne mon style vestimentaire, c’est relativement simple. Lorsque je suis au travail, je suis tiré à quatre épingles. J’ai mon costume et tout ce qui va avec. Cravate et compagnie. Mais en dehors, j’aime les vêtements décontractés. J’aime être à l’aise dans mes fringues, c’est tout ce qui importe. Et je me fiche si ça plaît ou non. Croyez quand même pas que je m’habille pour les autres.

honeymoon
Age : 21 ans, dude
Avatar : Ben Barnes
Pays : la France, toujours.
Crédits des créations utilisées : Toutes viennent de tumblr.
Comment as-tu connu le forum ? J’y suis déjà (a)
Qu'en penses-tu ? Suggestions ? Il gère sa maman en string léopard qui défile sur les Champs-Élysées.
Code du règlement : Je l’auto valide. *out*
Mot de la fin :



Dernière édition par Samuel I. McMahanLeigh le Dim 11 Mar 2012 - 15:48, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeVen 9 Mar 2012 - 16:14

This is my past



Le 9 mars 1984 est une date marquante dans la vie de tous. Du moins, dans la vie de ma famille, je pense que les autres s’en fichent un peu (beaucoup), et c’est bien dommage pour eux ! Cette date marque le jour de ma venu au monde. Un moment ô combien émouvant. Enfin, c’est ce qu’on m’a toujours dis. Personnellement, je n’ai aucun souvenir de ce moment. Hé oui, il faut vous rendre compte que je venais juste de naître, et en conséquent, je n’avais aucune idée de où j’étais, qui j’étais et qui étaient ces personnes qui me passaient de bras en bras. Je le sais, parce que j’ai vu la vidéo (je tiens d’ailleurs à dire que c’était dégueulasse). Voyez, il y avait la sage femme qui disait tout le temps ; « Poussez, madame McMahan ! Poussez ! Je vois la tête... encore ! » et à côté, caméra en main, il y avait mon père qui ne servait à rien, mais qui ne faisait que dire exactement la même chose que la sage femme. « Allez chérie, pousse ! La tête commence à sortir, pousse ma chérie ! » Je crois qu’à la place de ma mère, je lui aurai arraché les oreilles ou tout le visage, en fait. Mais ma mère était trop en pleine souffrance pour faire la moindre chose. Du coup, elle faisait son travail et après quelques minutes, j’étais là. Un grand moment d’émotion dans la vie de mes parents. Maman était en larmes (mais je sais pas si c’était à cause de la douleur ou du bonheur) et d’un coup, nous avons vu la caméra qui filmait le plafond (pour ceux qui comprennent pas, papa venait de tomber dans les pommes). Ce n’est qu’un homme après tout. Enfin, peu après, dans l’autre partie de la vidéo, on voit maman dans sa chambre avec mon père qui est toujours là, caméra en main (s’il aurait pu se la faire greffer...). Ils étaient tous là, comme si c’était la première fois qu’il voyait un bébé. Enfin, il faut dire que j’étais déjà très beau. « Alors, comment vous l’avez appelé ce petit chou ? » avait demandé ma tante. Petit chou, ce surnom va me poursuivre longtemps avec elle. Question originalité, c’était le néant. « Samuel, nous avons choisis Samuel. » c’est ma mère qui avait répondu. Elle tenait vraiment à ce prénom, c’est le premier qui lui avait plus dans la longue et interminable liste de mon paternel. « Isaac, en second prénom ! Samuel Isaac McMahanLeigh... un enfant parfait. » vous voyez, je n’ai rien inventé de ma perfection ! Ils le disaient même alors que je venais juste de naître. Comme quoi, la vérité sort de ma bouche et celle des McMahanLeigh en général. Cette petite introduction était sympathique, non ? Passons maintenant aux choses sérieuses. Même si je fus ravi de vous faire partagé ce moment intime.
Sans mentir, mes parents sont deux personnes extraordinaires. Je me suis toujours demandé comment ils ont fais pour être des gens si bons et stables. Sérieusement, nous vivons dans un monde de fous, et eux, ils étaient là, et ils ont eu la chance de m’offrir une éducation en or. Enfin, je dois dire qu’ils étaient aisés et cela aide vraiment beaucoup ici. Sans argent, on se retrouve vraiment dans la merde, et je suis assez heureux de ne pas avoir connu la misère. Mais ce n’est pas pour autant que j’étais insensible aux autres, mais nous verrons ce point un petit peu plus tard. Mon père se prénomme Charles, c’est un homme bon et incroyablement généreux. Il a toujours tout fait pour sa famille, nous passions toujours en priorité. Ma mère se prénomme Elizabeth. Une femme... divine et très gentille. D’une douceur à vous coupez le souffle. Je l’aime ma maman, je vous le jure. Elle est merveilleuse, tout le monde pourrait le dire ! Et si quelqu’un n’est pas d’accord, je sors les crocs. Passons. Je grandis tranquillement à Phoenix. Une très belle ville, j’aimais bien. De toute façon, je n’avais pas réellement le choix puisque je n’étais qu’un bambin, le seul de la famille. Le seul oui, durant cinq ans. Et puis, ma mère est de nouveau tombée enceinte. Cette fois-ci, je vous épargne le moment intime de l’accouchement par respect pour ma petite sœur. Car oui, c’était une petite fille, une petite princesse, une poupée. Je me gagatise un peu lorsque je parle d’elle quand elle n’était encore qu’une enfant. La petite Roxane avait pointé le bout de son nez, et la maison semblait encore plus coloré. Je sais, mon enfance à l’air trop chiante tellement elle est heureuse, mais c’est plutôt une bonne chose non ? Enfin, pour moi... Pour ceux qui aiment le drame, tant pis ! « Roxane, c’est ma petite sœur à moi et rien qu’à moi ! » oui, c’est ce que j’avais dis quant ma tante a voulu la prendre dans ses bras. En fait, malgré mon jeune âge et mon âme d’enfant, je me sentais déjà très protecteur envers cette petite. Il le fallait bien. Le monde est facile pour les hommes, mais pour les femmes, c’est une autre histoire. Non, je dis pas des conneries. Ou juste un peu.


This is my past



« Rooooxaaanne, you don’t have to put on the red light ! » chantai-je alors que ma sœur me fusillait du regard à l’autre bout du salon. Je trouvais que c’était amusant de rire ainsi avec elle. Bon, j’accorde le fait que je sois pas toujours très marrant dans ma façon d’être, et que mes conneries ne sont destinées qu’à me faire rire, moi. Pour les autres, qu’ils rient ou pas, peu importe. Mais, cette chanson m’amusait toujours puisqu’elle tapait sur le système de Roxie qui ne supportait plus que je la chante. « Tu es vraiment stupide, Samuel ! Je comprends même pas comment les gens font pour te supporter quotidiennement ! » m’avait-t-elle répondu en me lançant un regard assassin. Regard qui me fit sourire très franchement. Je connais bien son caractère, il est terrible. Et la pauvre entre à peine dans l’adolescence, vous imaginez la suite ? Quand elle sera vraiment dedans. Je plains réellement nos parents qui auront beaucoup de soucis avec elle. Je suis sûr que maman va se faire des cheveux blancs. Enfin, cela ne change rien. La petite a déjà 13 ans, que le temps passe vite. Je me souviens encore du temps où elle n’était qu’un bébé. Je regrette parfois cette époque ! « Franchement, je sais pas non plus. Mais, cela doit être parce que je suis beau, charmant, marrant, charismatique, intelligent, sympathique, serviable et généreux. De ce fait, toutes ces qualités font que les gens sont fous de moi ! » répondis-je en lui adressant mon plus grand et beau sourire. Je pouvais l’entendre pouffer de rire tout en soupirant. Inutile que je la regarde pour que je sache qu’elle roule des yeux et qu’elle se tape ensuite le front. Je la connais par cœur depuis le temps. Il faut dire que depuis sa naissance, je passe énormément de temps avec elle. Et même si on se dispute parfois, nous revenons toujours l’un vers l’autre. C’est ça notre secret. On se chamaille pour la forme, mais on s’aime tellement qu’on ne supporte pas l’idée d’être en froid. « Tu es aussi le mec le plus désespérant du monde ! Mais comme tu es mon frère, ça passe un peu.... Dis, tu pars quand à la fac ? » a-t-elle demandé en plissant légèrement le nez. Ça, c’était la question piège. Je savais qu’elle ne voulait pas que je sois loin, mais pourtant... vu mon choix d’université, nous allons être séparés durant quelques temps. Une séparation assez difficile d’avec ma famille. Jamais encore je n’étais parti aussi loin. Seulement mes études passaient avant le reste et ils le savaient très bien. J’avais eu la chance d’être admis à Harvard. Une occasion en or pour moi, mon avenir et mes études. Tous rêves d’y être, et moi, j’en avais l’occasion ! Bien évidemment, c’était un choix difficile puisque je devais abandonné ma famille et mes amis. Mais, ce qui était vraiment chagrinant, c’était d’être loin de la petite Roxie. Seulement, les études avant tout. « Je commence dans quatre semaines. Tu verras, ça passera très vite et je viendrai souvent te voir ainsi que les parents. Tu sais très bien que quoiqu’il arrive, je ne t’abandonne pas. » avais-je répondu en lui adressant un mince sourire. Je dus me contenter d’un bref sourire en réponse. Je savais que cela ne lui plaisait pas vraiment, mais seulement, elle comprendra plus tard. Et puis, Harvard possède vraiment la meilleure fac de droit des États-Unis ! Du moins, c’est ce que j’en pense.
Le paradis. Il n’y a pas d’autres mots pour décrire cette université. Endroit de liberté et de contrainte, en même temps. Mais peu importe, j’adorai mes études et ce que je faisais. Pour moi, c’était un endroit merveilleux et fantastique, j’apprenais énormément de choses. J’avais des tonnes de cours, j’avais pris des options, ce qui faisait que je passai tout mon temps libre le nez dans les bouquins. Mais au moins, cela me permettait de faire face à toutes les tentations de l’université. Une fois que l’on quitte le nid, nous sommes forcés tentés de faire des conneries, et ça, je voulais pas. Mes parents m’ont bien éduqués, et j’ai été élevé dans le respect de soi et des autres. Du coup, je ne me voyais pas me prendre une cuite toutes les semaines. Bien évidemment, je me rendais parfois à des soirées étudiantes, je ne pouvais pas y échapper, mais je faisais attention. Hors de question d’être l’un de ses gars qui fait tout et n’importe quoi. La fête ne passait pas avant les études, c’était tout le contraire. Et malgré ces années loin de chez moi, je m’entendais toujours aussi bien avec mes parents et ma petite sœur. Nous avons toujours été une famille unie, je ne pense pas que cela changera un jour. Enfin, passons. Après plusieurs années d’études, de galères, de fêtes, de rencontres, de petites amies, j’obtiens enfin... quoi ? Mon diplôme ! VICTOIRE ! J’étais trop heureux, trop fier, trop tout ! Je crois que j’aurai pu me demander en mariage tellement j’étais amoureux de moi lorsque j’ai eu les résultats ! « J’ai mon diplôooooooome ! » avais-je hurlé en entrant dans la demeure familiale. J’avais tout fais correctement, y comprit mes stages qui font décrochés le reste. À présent, je pouvais exercer librement et ça, c’est vachement le pied !« Je suis fier de toi, fils. » ces quelques mots venant de mon père ont été les plus beaux que j’ai jamais entendu. Ma mère était fière, je le voyais aussi dans son regard. Mais, il y avait autre chose, je le savais. Quelque chose s’était éteint. Quelques semaines plus tard, j’appris qu’elle avait un cancer... le drame de mon existence. Il était bien trop tard pour les traitements, elle se savait condamné et voulait simplement profiter de sa famille. Nous étions tous autour d’elle, c’était important. « Tu crois qu’elle veillera sur nous ? » Roxie m’avait posé cette question un soir. Je n’avais pas su quoi répondre sur le moment. Qu’aurai-je pu lui dire ? Malgré qu’elle était à présent une jeune femme, elle connaissait la réalité des choses, mais en même temps, elle avait besoin qu’on la rassure comme une enfant. « Je suis sûr qu’elle le fera. » avais-je simplement répondu en la serrant dans mes bras. Je ne pouvais rien promettre d’autre. Et quelques mois plus tard, notre mère eut ses ailes et s’envola pour rejoindre les anges. Elle venait de nous quitter, et nous étions tous dépités par ce drame. Notre mère était comme une pilier, et sans elle, nous avions peur que tout s’effondre. Mais, il fallait que la vie continue... elle continue toujours.


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J’étais à présent un avocat de la ville de Phoenix. J’adorai cette ville, c’était mon chez moi. Et puis, malgré que j’avais pris un appartement, je n’étais pas vraiment loin de la maison de mon enfance où je me rendais tous les week-end afin d’être avec mon père et Roxane. Nos relations n’avaient pas changés, nous étions toujours aussi proches. Et avec nostalgie, nous parlions de notre défunte mère. Nous avions toujours une pensée pour elle, jamais elle ne nous avait vraiment quittés. Elle était là, présente dans nos cœurs. La vie avait reprit son cours. Roxie faisait tranquillement ses études à l’université, papa profitait pleinement d’une retraite bien mérité et moi, j’avançai afin que ma carrière soit encore plus belle et plus grande. J’avais besoin de briller, de sentir que je faisais les choses correctement. Il m’était toujours difficile de perdre une affaire. D’autant que je défendais surtout les victimes, et voir la déception sur leurs visages m’était réellement douloureux. Néanmoins, il m’arrivait aussi de défendre les accusés, et là, c’était une toute autre affaire. Il fallait faire abstraction de tout, et j’avoue que j’avais parfois beaucoup de mal. Néanmoins, je trouve que l’on prend vite l’habitude, et certains criminels se révèlent être des humains comme les autres. Il m’arrivait même de me rendre compte que certains avaient été forcés par les policiers a faire une fausse déclaration. Les policiers... lorsqu’ils ont un coupable désigné devant eux, ils ne cherchent jamais plus loin ; ce que je n’apprécie pas, et ce, même à l’heure actuelle.
Entre temps, j’avais également fais la connaissance d’une jeune demoiselle, la fille d’un ami de mo père. June, de son prénom. Je la trouvais ravissante et extrêmement gentille. Le genre de femme que l’on aime avoir dans son entourage tant elle paraît être agréable et douce. Nous nous sommes rapidement liés d’amitié, nous passions énormément de temps. Parfois, je partais la rejoindre à la fin de son travail et nous dînions au restaurant. Très rapidement, et même sans nous en rendre forcément compte, nous formions un couple. Cela sautait aux yeux de tout le monde, sauf aux miens. Je n’avais pas eu conscience que ce rapprochement avait été si soudain. Néanmoins, j’aimais June, elle avait cette faculté de me faire rire, même lorsque je ne ressentais pas cette envie. Notre relation était fusionnelle et passionnelle. Je l’aimais comme un dingue, j’en étais fou amoureux, ce qui amusait mon entourage. De ma vie, jamais encore je n’avais été ainsi. Il est vrai qu’à l’université... je ne prenais jamais réellement les relations au sérieux, je savais qu’elles pouvaient se finir à tout moment. Seulement, je pensais que cette relation serait indestructible, je faisais erreur... Il y a de cela quelques mois, alors que je me rendais chez mon père, je vis que son ami était présent aussi, le père de ma compagne. Je ne comprenais pas les visages teintés de tristesse qu’ils arboraient. Pourtant, June venait seulement de partir pour l’étranger, son avion se poserait bientôt... Mais lorsque je fus dans le salon et que mon père se leva pour venir dans ma direction, je compris. Il avait posé ses mains sur mes épaules, et ces mots me firent l’effet d’une bombe ; « Samuel, fils... l’avion de June a eu un problème... ils n’ont pas réussis et n’ont rien pu faire... Nous avons appris la nouvelle il y a une heure... je suis désolé. » son regard s’emplissait de larmes, mais moi, je ne pouvais pas y croire. Ce n’était qu’un tissu de mensonge ! Ils mentaient, tous ! Je ne comprenais pas pourquoi... j’étais dans le déni, jusqu’à ce que je réalise. À nouveau, je venais de perdre une femme que j’aimais. Une seconde perte douloureuse qui me faisait souffrir à chaque respiration. J’ai été dans le flou durant de longs mois avant de reprendre le dessus, mais, je ne pouvais plus vivre à Phoenix, j’avais besoin de prendre l’air ailleurs.
Alors, grâce à ma bonne réputation et avec l’aide de mon père, je pris la décision d’avoir mon propre cabinet et fit mes valises pour Chicago. Pourquoi cette ville ? Je n’en savais rien. C’est la première qui m’était venu à l’esprit. Après tout, une ville est une ville, pas besoin de réfléchir durant des heures. Et en arrivant ici, j’eus l’impression que c’était le chaos le plus total. Comment les gens survivent ? Je n’en savais rien les premières semaines, mais à force d’y vivre... on se fait rapidement à la situation. D’autant qu’ici, les gens ont bien besoin d’avoir des avocats. Chicago est ravagée par les crimes, la délinquances. On trouve des drogués et des dealers à chaque coin de rue, c’est complètement fou. Les femmes se vendent et ont l’air de s’en foutre. Parfois, cet endroit est pesant, bien trop lourd et je suffoque presque. Mais au moins, ici... il y a vraiment peu de risque que je tombe de nouveau amoureux... et ça, c’est tout ce qui compte.


Dernière édition par Samuel I. McMahanLeigh le Ven 16 Mar 2012 - 15:18, édité 20 fois
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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeVen 9 Mar 2012 - 18:31

Rebienvenue Very Happy

Ben barnes un bon choix *-*
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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeVen 9 Mar 2012 - 19:17

Merci ma super Isoso. S\'il to plait
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Une nuit, j'ai rêvé que j'étais Dieu.
Au matin, je réalisais mes rêves

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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeVen 9 Mar 2012 - 19:44

Rebienvenue alors =)
Avant j'étais pas fan de Ben ...mais ça, c'était avant Puis il s'est coupé les cheveux *______*
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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeVen 9 Mar 2012 - 20:11

Merci, Heath ! S\'il to plait Si un jour tu as besoin d'un avocat... call me. Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel 727315 *sort loin*

haha, comme je te comprends. *-*
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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeVen 9 Mar 2012 - 22:51

Re - Bienvenue parmi nous ! S\'il to plait
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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeVen 9 Mar 2012 - 23:20

Merci Stew. S\'il to plait
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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeSam 10 Mar 2012 - 13:39

Re bienvenue What a Face
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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeSam 10 Mar 2012 - 13:49

ANnnnnnnnnnnnnnh. Ben Barnes avait trop de cheveux. Mais ça, c'était avant bave Trust me, t'as fais un excellent choix d'avatar *-*
Sinon re-bienvenue. Nonnonj'aipasduallervoirl'adresseippoursavoirquit'étais *maggle*.
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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeDim 11 Mar 2012 - 20:58

Merci Elijah !
& merci SummySum ! Haha j'avoue que les cheveux courts, il est omg ! Nous avons toutes la même réaction. :arrow:
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MessageSujet: Re: Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel   Even in the valley of the shadow of death, two and two do not make six ϟ Samuel Icon_minitimeVen 16 Mar 2012 - 15:21

Fiche terminée. (a) Je m'auto valide parce que euh... parce que. S\'il to plait
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