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 ϟ Tu es tordue et torturée, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es...ϟ FreeFree

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ϟ Tu es tordue et torturée, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es...ϟ  FreeFree Empty
MessageSujet: ϟ Tu es tordue et torturée, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es...ϟ FreeFree   ϟ Tu es tordue et torturée, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es...ϟ  FreeFree Icon_minitimeMar 10 Jan 2012 - 23:05



Freedom Mia Linghton

Bien souvent courir après ce qui nous fait plaisir signifie abandonner ce qui est juste à nos yeux.



Date & Lieu de naissance : Chicago , le 23 mars 1988
Métier : Profileuse pour le FBI
Groupe : Ce qui font le bien
Statut familiale : Célibataire mais amoureuse, elle est sans réelle famille. Son père est mort quand elle était bébé et sa mère est une ancienne stripteaseuse alcoolique...
Statut sociale : Aisé, son boulot au FBI et les extras lui permette de vivre plutôt bien, surtout qu'elle passe souvent son temps en immersion.


Who I am ?
How I am ?
Le caractère de freedom ? Hum on pourrait considéré ça comme une boîte de chocolat, elle peut être délicieuse comme infecte. Et en plus de ça, elle aime changer d'humeur assez souvent, il se peut donc que nous n'ayez pas le même chocolat chaque jour, voir chaque heure. C'est quelqu'un de très discret en dehors de son travail, malheureusement avec son job de profileuse elle est souvent en immersion et peut paraître avenante mais c'est tout bonnement le contraire et elle ne se prive pas de faire savoir à ses supérieurs que descendre dans les clubs de stripteases commence vaguement à lui taper sur le système, elle n'évoque jamais pourquoi mais cela vient de la relation qu'elle avait avec sa mère. C'est le genre de fille complétement tordu et torturé qui à la peur au ventre de s'engager dans des relations sérieuses, pour elle, il vaut mieux être G.I Jane que Barbie sentimentale malheureusement sous ses airs de filles complétement barré elle a un grand coeur qu'elle peine parfois à caché. C'est une ennemie redoutable mais c'est une amie encore plus formidable. Elle peut tout donner, comme elle peut vous faire vivre l'enfer. Elle ne juge pas les gens, malgré que sa mère lui faisait honte, elle l'a toujours aimé et soutenu même si aujourd'hui elle ne peut plus vraiment l'aider, elle continue de l'aimer en silence. Vivre dans un appartement à elle lui faire peur, elle a carrément les moyens de s'en acheter un mais préfère en louer un et déménager assez souvent. Plutôt du genre superstitieuse , elle est très doué pour analysé les gens et découvrir leur faille, leur qualité mais aussi ce qu'il cache. Pourtant très jeune, après l'école de psychologie elle à poster une candidature au FBI section profilage, on lui fait analysé environ 150 cas, elle a vu juste sur 148, les deux autres derniers cas étant relativement difficile pour une petite plante sortant de l'école. Elle aime observer les gens, jouer un rôle, c'est une grande "actrice" , elle peut être Mia la stripteaseuse, Fry la serveuse, Hannah la chercheuse de talent, Mia la dealeuse ou FreeFree l'étudiante un peu trop débouché ou voir carrément coincé. Elle ne se livre pas à ses collègues de travail, et repousse très souvent leurs avances , elle ne veut pas qu'un de ses collègues de travail puisse avoir des sentiments pour elle et comète une erreurs handicapante pour tout les deux. Elle fait très souvent cavalier seul, surtout qu'elle couvre les agissements d'un viel ami de jeunesse qui se révèle être son amant puisque contrairement à ce qu'elle avoue, elle à de fort sentiment pour lui, malgré qu'elle est découvert qu'il soit un truand, elle lui doit la vie, son boulot mais aussi ce sentiment d'attirance et de bien être qu'elle ne ressens envers aucun homme. Il sait très bien qu'elle ne le déteste pas malgré les longues de disputes. Elle peut débarquer à tout moment chez lui pour simplement parler, lui hurler dessus ou juste lui sauter dessus. Alors elle le couvre, elle fausse ses rapports à son sujet mais certains de ses confrères ne sont pas dupe, elle cache quelque choses et certains son bien déterminer à la questionner sur tout et n'importe quoi. Pour le moment elle s'en sort plutôt bien, mais cette situation la dévore, elle adore son job mais elle ne veut pas détruire l'homme qu'elle aime inconsciemment c'est un des plus gros dilemme qu'elle doit affronter ...
Freefree physiquement c'est la finesse, la demoiselle est de taille moyenne environ 1m68. Niveau corpulence elle se distingue par une minceur offrant de joli forme. Vous l'aurez compris le corps de Freedom est un appas à garçon ou plutôt à homme à vrai dire. Elle possède de long cheveux blond qu'elle attache souvent quand elle travaille, par contre en privé ou en immersion elle préfère les lâchés. Elle à un visage très lisse, très fin, malgré que ses pommettes soit saillante elle garde un visage très enfantin. Ce qui attire le regard chez elle ce sont ses yeux bleus, limite transparent et tellement vif à la fois, il s'accorde totalement avec sa bouche plutôt pulpeuse ou de nombreuse lèvres désire chercher monts et merveilles. Ses longues jambes ne laisse pas non plus indifférent mais vous ne trouverez Free en robe que très rarement. La demoiselle affectionne les jeans, de différentes formes, de différentes couleurs, le jean c'est son dada mais immersion oblige vous pourrez l'apercevoir en robe et croyez moi cela vaut le détour, mais bon ça vous en jugerez par vous même .. La tonicité c'est ce qu'il ressort du physique de Freedom qui est une accro du Bodyrock ou du Work out féminin intensif... Du muscle tout en finesse c'est son crédo. Petit détail même si elle adore les talons en tout genre, son pêché mignon c'est les santiags, elle adore promener dans chicago avec ses santiags mexicaines, vous voulez lui faire un cadeau, ce n'est pas bien compliqué une jolie ceinture avec une boucle originale ou alors des santiags. Freedom c'est avant tout un style très à elle, elle pioche dans la mode sans vraiment la suivre, osant le look complet garçon avec un accessoire très fille. Elle joue avec tout ce qu'elle peut trouver, son physique à part question musculaire elle s'en moque un peu. Un trait d’eyelineur et un rouge à lèvre est le tour est joué. Question petit plus, elle possède un piercing au nombril et un tatouage dans le creux des reins, des petits ailes toute mignonne mais incroyablement sexy.

Ton pseudo
Age : 20 ans
Avatar : AmandasoHotSeyfried
Pays : France
Crédits des créations utilisées : Tumblr & Bazzart
Comment as-tu connu le forum ? Alors via un top site mais le nom du top site à cette heure-ci m'est complétement abstrait :(
Qu'en penses-tu ? Suggestions ? J'adhère, il est superbe et puis le concept Kiss
Code du règlement : Heath est dans la place 8)
Mot de la fin : Free hugs ? Hugs





Dernière édition par Freedom M. Linghton le Mer 11 Jan 2012 - 18:24, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: ϟ Tu es tordue et torturée, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es...ϟ FreeFree   ϟ Tu es tordue et torturée, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es...ϟ  FreeFree Icon_minitimeMar 10 Jan 2012 - 23:05

Douce enfance torturé

« Elle a les yeux tristes et le corps du Christ,elle aime bien traîner par ici.Le corps comme un festin pour offrir aux chiens le vide entre ses reins ..»



Dalia Linghton danse autour de la barre, son corps se déhanche langoureusement au son des rythmes cubains. Andrew Sherork est assis tout les soirs, le podium n°3 c'est son habitude, il aime la regarder lui offrir son corps sans pouvoir la toucher, il la trouve tellement belle, tellement désirable, tellement inaccessible. C'est un bon père de famille, un riche homme d'affaire, un mari aimant et pourtant depuis qu'il est venu parler affaire dans ce sordide club de Chicago il n'a d'yeux que pour cette brune un peu trop pale au regard insolent. Alors tout les soirs il ment à sa femme ses rendez-vous de négociation se transforme en spectacle. Dalia danse pour lui, elle fait son boulot, elle à déjà bu quelques verres, son corps n'appartient plus à son esprit qui est déjà loin, elle le reconnaît malgré tout, alors elle danse, elle danse pour oublier qu'elle n'a pas le choix, elle boit pour oublier qu'elle n'est qu'un bout de viande, elle boit parce qu'elle aime se sentir ailleurs. Quelques mois passent, Andrew attend dans sa voiture au vitre fumé, il attend qu'elle sorte de ce club sordide, il la regarde simplement marché, elle titube, elle ris, elle pleure, elle fixe le vide, elle tend des billets à un taxi qui la raccompagne quelque part loin d'ici. Un soir c'est Andrew qui s'arrête devant elle, elle lui dit qu'elle ne fait pas ce genre de chose, il lui répond qu'il veut juste la raccompagner, il se moque de ce qu'elle peut offrir d'autre, il souhaite la raccompagner pour la remercier... Alors elle accepte, les derniers verres commence à faire effet et au lieu de laisser repartir dans sa maison familiale au allures un peu trop lisse, elle lui demande de la suivre, elle lui propose une danse privée, elle lui dit qu'il ne devra rien, elle veut juste danser là, comme ça.... Et puis elle danse dans le salon miteux , elle danse sur ses genoux et puis c'est lui qui se met à danser en elle. Ils sont en symbiose, ils sont presque heureux là dans ce vieux fauteuil troué. Elle lui rappelle qu'il n'a pas mis de préservatif, il lui raconte des histoires, elle s'endort, il la couche et puis s'en va retrouver sa femme. Ce petit manège à durer 6 mois, quelques mois pour qu'elle tombe enceinte. Andrew à d'abords refuser de l'accepter, puis à force de persuasion Dalia lui à fait promettre qu'il quitterait sa femme. Son prince charmant part annoncer le divorce à sa famille mais le destin en décide autrement, le mac de Dalia à décidé de l'éliminer , c'est sa meilleure stripteaseuse , il ne peut pas accepter ça, alors un tueur à gage l'abat au pied de sa maison familiale. Dalia devra élever son enfant seule, elle veut avorter mais son ventre naissant attire des pervers et son nombre de clients augmente, alors elle continue de danser avec la chair de l'homme qu'elle à tant aimer au sein de ses entrailles. 9 mois plus tard une petite fille naît à l’hôpital public de Chicago, elle l’appellera Freedom, c'est sa liberté à elle ce petit ange. C'est ce qu'elle n'aura jamais, elle appartient à vie à son mac alors rêve de mieux pour sa fille....

Maman ne parle de son passé qu'après son boulot, au début je ne comprenais pas pourquoi elle pleurait tant le soir, je me demandais pourquoi sent elle si fort, pourquoi son regard se perd dans le vide et pourquoi est-elle si peu habillé, ça n'a jamais été une mauvaise mère. Quand ses soirée étaient bonnes elle rentrait en riant, me prenait par la main et on allait au supermarché, on acheté vraiment plein de trucs et elle insistait pour que je reste à la maison au lieu d'aller à l'école le lendemain, ça se produisait souvent dans l'année... Pourtant j'ai toujours aimé l'école, certes c'était l'école publique de Chicago alors dès 8 ans on m'a proposer du Chrystal Met mais j'étais pas vraiment intéressé, j'aimais plutôt observé comment des bambins pouvait vendre de la drogue comme ils auraient vendu un vulgaire malabar. Et puis vers mes 14 ans , l'alcool à commencer à ravager maman, elle était plus comme avant, elle me regarder avec dégout, me disant que mes cheveux blonds montrait bien que je ne pouvais pas être sa fille, on avait surement échanger sa vrai fille le soir de ma naissance et puis elle continuer à boire et s'endormait là, sur le vieux canapé miteux. Elle ne faisait même plus l'effort de venir au réunion parentale, j'étais un fardeau, tout ce qu'elle devait dépenser pour moi elle pouvait pas le dépenser pour s'acheter son alcool favoris. Elle me disait tu sais t'es plutôt jolie, t'as qu'a te maquiller un peu plus et mettre des robes un peu plus courte et tu verras toi aussi tu pourras dépenser de l'argent pour t'acheter des steacks... Je préférais fermé la porte et faire mes devoirs, c'était le même cirque chaque soir, parfois elle ne rentrait même pas à 16 ans j'ai compris qu'elle ne dansait pas que sur des podiums mais aussi dans les lits de ceux qui voulait d'elle. J'étais heureuse quand elle me reconnaissait le matin quand je partais pour le lycée, elle me faisait un bisous sur la joue en me disant prend soin de toi FreeFree et puis d'autres matin elle me dévisager du regard quand elle était encore éveillé, l'air de se demander qui j'étais, et pourquoi j'étais dans sa maison. J'ai toujours essayer de la soutenir mais son remontant c'était sa bouteille de vodka, je ne compte plus le nombre de bouteilles que je jetais le soir, aucune de mes amies n'est venu chez moi, j'avais trop honte, trop peur qu'on découvre que ma mère était une pute alcoolique. Je crois qu'elle voulait se rassurer se dire que sa vie n'était pas si sordide, si minable mais chaque fois qu'elle me promettait de ne plus boire elle recommençait de plus belle, alors je prenais les sous qu'elle gagnait chaque soir pour qu'on puisse s'acheter de quoi manger, elle devait pesait 30 kilos à peine, le regard ravager, il y a des soirs ou je me retenais de la giflé mais à 17 ans , la vie pousse aux colères, aux cris, aux disputes, c'est cette révolte qui m'a sauvé de ce monde miteux de supermarché et de bouteille vide s’empilant dans l'arrière cours.


On est devenu des experts dans le sabotage de notre bonheur.

«« Il était une fois [...] et ils vécurent heureux », ce sont des contes de fées et les contes de fées ne deviennent pas réalité. La réalité est plus houleuse, plus sombre, plus effrayante. Mais la réalité c’est tellement plus intéressant que de vivre heureux jusqu’à la fin de ces jours.....»



C’est la dispute de trop, son regard m’exaspère, elle est totalement absente et ce permet de me juger. Je ramasse les quelques billets qui trainent sur la table, j’enfile un jean et un vieux débardeur blanc troué. Lorsque je repasse par le salon elle me balance une assiette en porcelaine, une des dernières qu’ils nous reste , elle me rate de peu, c’est la goute d’eau qui fait déborder le vase ou plutôt la piscine en ce qui me concerne. Il doit être aux environs de deux heures du matin, je sors en claquant la porte, c’est un peu une habitude en ce moment, se disputer, se hurler dessus, se détester et puis je pars toute la nuit pour respirer un air bien meilleur. C’est la pleine lune, elle éclaire totalement Chicago, une voiture passe près de moi et s’arrête quelques mètres plus loin. Un homme d’une quarantaine d’année sort de la voiture et me détaille de la tête au pied. Je suis un peu sur la défensive, je me demande bien qu’est-ce qu’il peut me vouloir.
« Je suis navré de vous accoster comme ça mais vous me rappelez vaguement ma fille »
« Ah, euh et bien je peux vous assurer que nous ne pouvez pas être mon père, je suis désolé »
Il ressemble beaucoup à maman, il a les yeux vident, il transpire l’alcool à des kilomètres. Pourtant pour une raison totalement obscur j’ai de la peine pour cet homme qui recherche sa fille, je me demande comment il peut encore conduire dans son état. J’attends qu’il s’éloigne un peu vers sa voiture avec une grande difficulté, et puis je finis par me précipiter vers lui, c’est mon coté mère Theresa. Il me fixe l’air béat comme si c’était la première fois qu’on venait l’aider, ou qu’on se souvenait de son existence.
« Je ne suis peut être pas votre fille mais je suis sûre qu’elle n’aurait pas aimer vous voir conduire dans cet état là… »

Il me sourit faiblement, comme si l’espace d’un instant il se souvenait de ce que valait la vie, comme si ça avait une importance que quelqu’un se soucie de lui et chercher à l’aider. Je le guide vers le fauteuil coté passager, je le laisse s’installer. Je sais que je devrais partir en courant, il y a quelque chose de malsain dans son regard depuis quelques secondes, mais à 17 ans on est un peu trop naïve. Tout du moins moi je l’étais. Et plutôt deux fois qu’une. Je prends place sur le fauteuil en cuir de sa grosse berline noire au vitre fumé. Il m’indique une adresse un peu bizarre, un quartier à prostitués, un quartier où les pseudos maisons closes et les chambres individuelles de motel lubrique se compte par centaine. Je n’ose pas le regarder pourtant, je me demande bien comment un homme bien habillé et avec une voiture aussi bien entretenu qui prend soin de fumer des cigares peut habiter dans un lieu aussi sordide, mais jeunesse étant je préfère lui laisser le bénéfice du doute, je ne pense pas à quelle genre de personne il pourrait être, je préfère le laisser fredonner une mélodie langoureuse entre ses lèvres, l’ambiance devient de plus en plus malsaine, je n’ai qu’une hâte le savoir chez lui en sécurité et rentrer à la maison. A cet instant plus qu’un autre je pense à maman et je me demande combien d’homme aussi paumé qu’elle, elle à raccompagné pour leur permettre d’oublier quelques temps leurs existences minable. Je me demande comment elle peut faire sa chaque soir, comment elle peut se détruire autant, c’était pourtant une belle femme sur les photos datant de sa jeunesse… Nous arrivons à une chambre individuelle de motel. Je me gare devant la pseudo maisonnette et l’aide à se sortir de la voiture, il me semble plus habile, moins saoul, différents, plus dangereux même. Je le fixe une nouvelle fois, je me demande qui il peut bien être, il n’a pas d’alliance et aucune photo de sa femme ni de sa fille dans sa voiture, je crois que les pères font se genre de choses, ils collent des photos des gens qui comptent un peu partout dans leurs voitures pour ne pas oublier l’essentiel, la seule chose qui est visible dans sa voiture, ce sont les bouteilles d’alcool, les préservatifs usagers et des pages de magasines pornographique. Quel père de famille pourrait tomber aussi bas. Je commence à comprendre qu’il n’est pas vraiment celui qu’il dit être, pourtant il s’est montrer gentil, il m’a remercié tout le long du voyage, il s’est peut être égaré plus que prévu, j’imagine un tas de scénario à la vite, c’est plus simple de croire que les gens ne peuvent pas être maléfique.

« Si ça ne vous dérange pas, j’aimerais vous dédommager pour la course et vous montrez une photo de ma fille, elle était vraiment belle… »
Il termine à peine sa phrase et se dirige vers la maison, je le regarde titubé, c’est différent de la démarche de maman, il ressemble à un robot qui répète des mouvements de manières syncopés, je le suppose encore une fois innocent et le suit dans cette chambre un trop sombre. Je sais bien que j’aurais déjà dû partir en courant et pourtant j’ai envie de croire qu’il y a un père qui cherche sa fille. Il n’y a qu’un énorme lit dans cette chambre. Il ferme la porte derrière mot et je comprends à ce moment là que je n’aurais jamais dû mettre un seul pied dans cette baraque. Il me fait face un sourire malsain en coin, ses yeux sont habité de perversité et de méchanceté. Ses mains s’abattent sur mes poignets, me plaquant sur le lit puant le vieux sperme. Je le mords, il me gifle, j’aperçois un révolver sur la table de nuit, il n’est qu’a quelques centimètre de moi, il se débat avec mon jeans, ma main gauche se saisi de l’arme et mon cerveau arrête de penser au conséquence, mes doigts se referme sur la détente. Le coup part d’un seul coup, je sens son sang coulé sur mon corps, il est étendu mort sur moi, j’ai l’impression de m’être vidé de toutes mes certitudes. Ce soir au lieu de protégé ma mère j’ai couru dans le lit d’un mac qui à bien failli me violer pour finir par le tuer. Je me hais, je me hais de cette insolence, de cette colère qui m’a habité pendant quelques heures précédent tout ça. Je me sens aussi minable que maman quand elle rentre le soir. Je me demande ce qu’il m’a pris qu’est-ce que je vais pouvoir faire, et puis je me dis qu’il faut que je me tire, que je m’éloigne de tout ça, après tout, y a des tas de gens minables qui meurent le soir dans Chicago et personne ne s’en soucie, il faut que je me sorte de la avant qu’une de ses filles viennent lui rapporter son butin et me trouve là gisant dans le sang de son geôlier. Je pousse son corps de l’autre coté du lit, pose le flingue sur la table de nuit et me précipite dehors. De grosses larmes salés coulent le long de mes joues, mon marcel blanc ne l’est presque plus tellement le sang de ce salop s’est imprégné sur le tissus. Je traverse un peu hagarde la route, une grosse voiture de sport pile quelques centimètre et évite la collision. Il est jeune , trop jeune pour traîner dans un endroit pareil, son regard se fige sur mon haut et il se précipite hors de la voiture….



…………………………………………………........................................................................................

Il me détaille de la tête au pied, il n’a pas l’air affolé, un certains calme émane de lui. Il s’approche lentement de moi et regarde la maison de laquelle je viens de sortir, dans la précipitation je n’ai même pas fermé la porte. Il m’attrape par les épaules et me fixe dans les yeux, il y a quelques choses de différent dans ses yeux, c’est la première fois que je suis confronté à un regard si fort et si puissant. Il dégage une des mèches blondes qui zèbre mon visage pour la placer délicatement derrière mon oreille.
« Monte dans la voiture, ne bouge pas, attends moi là d’accord ? »
Je hoche faiblement la tête, que va-t-il faire ? Il doit se douter de ce que j’ai fais, mes jambes se mettent à trembler et pourtant je lui obéis, je monte dans voiture de sport, c’est la première fois que j’en vois une de près, c’est le genre de voiture que les gens ont au cinéma, seuls les gens pleins d’argent peuvent les approcher. Il ne ressemble en aucun cas aux garçons que je croise, c’est ça il sort directement d’un film son visage est fin, il est habillé comme la haute société, son élocution est franche, ses cheveux sont habillement coiffé, il n’a rien à voir avec mon monde et pourtant il est venu à mon aide ou plutôt j’ai rencontrer son aide. Il revient quelques minutes plus tard s’installer au volant de sa voiture. Il allume le moteur et se tourne vers moi.
[color=CornflowerBlue]« Ne t’en fais pas, personne ne saura ce qu’il s’est passé cette nuit….. Tu as de la chance, on ne traîne pas dans ce genre de quartier la nuit, à moins de vouloir y vivre à vie »
Il n’y a rien de dur dans ses paroles, je me demande bien d’où vient cette assurance, mais je n’ai pas la force de lui dire merci, je fixe la route comme pour lui indiquer que je veux que nous quittions cette infâme quartier. Il appuie sur l’accélérateur et la voiture démarre en douceur, il traverse le quartier à pute comme certains l’appelle et se dirige vers le centre de Chicago, moi je viens du sud mais je n’ai pas vraiment envie de lui dire de faire demi tour, dans cette voiture j’ai l’impression qu’il n’y ni sud, ni soirée sordide, je ne pense à rien et je respire l’odeur du cuir, l’odeur de fraicheur qui se mélange à celle de son parfum. Le genre de parfum que seuls les hommes mettent et qui reflète leur personnalité. Je n’ose pas vraiment le regarder pourtant quelques fois mon regard me joue des tours et je ne peux m’empêcher de l’observer, il fait de même, il me regarde à travers son rétroviseurs et quand nos regards se croisent c’est un sourire simple qui naît en même temps sur nos visages, un amusement d’enfant un peu trop naïf, à part les traces de sang personne ne pourrait imaginer qu’un drame aurait pu se passer cette nuit. C’est lui qui finit par prendre la parole.
« Sinon à part traîner dans des endroits glauques, dis moi en plus sur toi, c’est quoi ton prénom ? »
« J’ai pas pour habitude de parler aux inconnus, ni de moi, ni d’autres choses ..»
« Ca fait 14 mots, soit une phrase donc j’en convient que si tu me parles je ne suis pas vraiment un inconnu, je suis plutôt une nouvelle connaissance non ? »

Il arrive à me voler un rire, cela doit faire bien deux ans que je n’ai pas ris, même au lycée, les petites histoires rigolotes n’ont plus d’intérêt pour moi. Je demande comment il fait pour être aussi léger et sympathique à mes yeux, pourtant je ne le connais pas mais il m’aspire confiance, il est un peu comme moi, qui peut traîner la nuit dans Chicago sans savoir ou il va ?
« Je m’appelle Freedom mais amis m’appelle Free ou FreeFree … En fait j’ai pas vraiment d’amis ! »
« Et bien enchanté FreeFree, tu vois ça en fait déjà un d'ami ».
La conversation s’arrête là, il n’en dira pas plus sur lui c’est comme si c’était un jeu pour lui. Nos regards en coin reprennent jusqu’à qu’il se gare sur le parking d’un fastfood assez célèbre, il me demande de l’attendre encore une fois. Je le regarde s’éloigner et rentrer dans ce fastfood. L’heure sur le cadran affiche cinq heure du matin, je pense soudainement à maman. Un taxi est garé juste à coté de nous, je sors discrètement de la voiture pour me glissé dans le taxi. Je demande au chauffeur de vite démarrer et de me conduire à la maison. Il ne remarque même pas le sang sur le mon débardeur. Une grosse demi-heure plus tard je me retrouve devant la porte de chez moi, aucune lumière n’est éclairé, la porte est fermé à clé. Je rentre sur la pointe des pieds, je me dirige vers sa chambre. Elle dort paisiblement, je dépose un baiser sur son front il ouvre un peu les yeux et me murmure « Tu sais je t’aime ma puce, tu le sais hein ? » , c’est une des rares marques d’affection qu’elle me témoigne en ce moment mais je sais que c’est sincère. Je la regarde se rendormir et ne tarde pas à me coucher en ayant bien entendu fait disparaître ce vêtement plein de sang, histoire d’oublier ce meurtre et cette rencontre des plus troublante. J’ai cauchemardé toute la nuit enfin si on peut appelé ça la nuit mais plutôt le petit matin. Et si il n’y avait pas eu l’arme ? Et si il n’y avait pas eu ce jeune homme ? Je me réveiller vers les neufs heures du matin l’air un peu hagarde. Maman m’attendais dans le salon. Elle était souriante, je me demandais bien pourquoi elle pouvait sourire, aucune bouteille d’alcool ne trainait par terre c’était tellement rare … Je le regardais plus attentivement, elle était habillé correctement, elle était maquillé, coiffé et sentait le parfum de supermarché.
« Tu es belle maman comme ça ! »
« J’ai rendez-vous avec quelqu’un que j’apprécie beaucoup chérie, quelqu’un qui pourrait peut être changer tout ça tu sais »
« C’est bien alors maman, j’espère que ce rendez-vous marchera »
C’était à chaque fois la même chose, un homme riche et célibataire tombé amoureux de maman pendant quelques mois, il décidé de la sortir de son trou à rat de prostitution et puis quelques mois plus tard elle repartait travailler dans ce club minable, l’air encore plus saoule qu’avant et c’était reparti pour des mois d’enfer à l’entendre déblatérait sur son dégout pour les hommes. D’après ce qu’elle m’avait rapidement expliqué elle partait en w-e avec son jules et me laissait seul à la maison vers 11h je me retrouvais en duo avec mon corps et mon esprit. Bizarrement je sentais une présence différente hors de la maison, je m’approchais de la fenêtre et il était là. Il était habillé plus décontracté mais toujours classe, il était assis sur le capot de sa jolie voiture à fixer la porte d’entrée de ma sordide demeure. C’était presque invraisemblable comment m’avait il retrouvé et que me voulait-il , je finissais de m’habiller et prenant mon courage à deux mains je le rejoignais dehors.

Je m’arrêtais à quelques pas de lui, lui souriant faiblement. Il avait parler le premier hier et puis je lui devais surement des explications, c’est vrai que se tirer dans la nuit alors qu’on vous sauve presque la vie ça la fou un peu moyen pour le coup.
« Alors comme ça tu sais ou j’habite ? »
« Ah alors on est plus des inconnus maintenant FreeFree …. »
Il me souriait comme si le fait de l’avoir laisser en plan hier soir ne le déranger pas le moins du monde. Après tout, il était différent c’est vrai. Il avait une bonne mémoire un certains sens de l’humour c’était vraiment rare de se retrouver face à quelqu’un comme lui quand on vient de mon milieu.
« Et bien disons que FreeFree aimerait bien savoir comment s’appelle son ami alors »
Il ne pouvait s’empêcher de sourire, à vrai dire c’est vrai que je ne connaissais pas son prénom, en fait je ne connaissais rien de lui, alors qu’il connaissait déjà mon prénom et en plus mon adresse, pour un inconnu c’est un peu beaucoup.
« Je m’appelle Théodore, mais tu peux aussi m’appeler Luke c’est mon deuxième prénom et pour le hurler dans la rue ça faut moins de syllabe que le premier »
Je me contentais d’hocher la tête, deux prénom pour le prix d’un , sincèrement ça vaut le coup. Théodore allait complètement avec son personnage, un nom aussi mystérieux qu’attachant. J’avançais un peu plus d’ un pas de plus vers lui sans parler bien entendu.
« Bon et bien les présentations sont faîtes, j’ai faim et si je ne me trompe pas-tu es parti avant que je revienne avec le petit déj donc j’en conclu que tu me dois un repas, c’est moi qui t’invite »
« Euh ben c’est-à-dire tu sais moi je mange pas alors fin tu vois je mais….»
« Tu pourras inventer toutes les excuses possibles toutes aussi incohérentes au passage tu viens manger avec moi , en plus si tu mange pas-tu vas mourir donc il est de mon devoir d’assurer ta survie »
Il fallait bien que je me rend à l’évidence, ce n’était que le début. Après plusieurs repas, soirée au resto nous avions finis par devenir des amis proches, il étudier le droit pour devenir avocat. J’apprenais que son père était un riche investisseur immobilier d’où les beaux vêtements et les voitures de sports plus au moins différentes selon ses humeurs. Il ne s’était pas trompé sur moi, et sur mon envie de devenir profileuse, j’avais toujours aimé observer et décrypter la personnalité des gens, pour mon dix-huitième anniversaire il m’offrit mes droits d’inscription dans une célèbre école de psychologie, il savait que je n’avais pas les moyens et pourtant il à réaliser mon rêve c’était tout bonnement mon meilleur ami. Je ne compte plus heures passé à ses cotés à parler de tout et de rien, à mes 23 ans et un diplôme en poche il s’était même permis d’envoyer un dossier pour moi au FBI. Il m’attendais dehors à la sortie de l’entretien. Je pense qu’il a compris la réponse en me voyant sortir, si j’avais pu marcher sur les mains, enchaîner une centaine de salto et jouer de la flûte traversière en même temps pour montrer combien j’étais heureuse je l’aurais fait !
« Tu vois je t’avais dit que tu étais brillante ! »
« Oui enfin ça c’est grâce à toi, si je ne t’avais jamais rencontré, je pense que j’aurais finis dans un bar miteux à servir de la bière ou je ne sais quoi…»
« Tu dis n’importe quoi, les filles comme toi ne finissent jamais dans les bars c’est logiquement impossible ».
« Et c’est quoi le genre de fille comme moi ? »
« Le genre de fille qu’on…»
Il n’avait pas terminer sa phrase, ses doigts fins effleurer mon visage, il me regardait comme il ne m’avait jamais regarder. Ses lèvres se posaient délicatement sur mes lèvres, c’était tendre, c’était doux, un peu comme si il n’avait pas voulu me blesser comme si j’étais en porcelaine.
« Pourquoi tu m’as embrasser ? Sérieusement les amis ça se serrent dans les bras , enfin je dis ça parce que généralement on embrasse sa copine, pas sa meilleure amie »
« Je voulais voir ce que ça faisait d’embrasser une fille bien , maintenant je sais, je vais pas embrasser une fille bien la rue, alors je t’embrasse toi comme ça je peux répondre à mes interrogations »
« D’acc, on va manger quelque chose pour fêter ça alors ? »
« D’acc capitaine ! »

On a plus jamais reparler de ce baiser, faut dire que c’était étrange, comme lui ces derniers temps. Mon boulot au FBI à commencer quelques semaines plus tard au début j’étais dans les bureaux et puis mes supérieurs on trouvé que l’immersion serait mieux pour moi. J’étais le genre de fille qui venait de la rue et qui connaissait l’envers du décor, je m’y ferais et je serais à mon aise. J’étais bien loin de leur dire que je n’avais aucune envie de croiser ma mère un soir en train de se déhancher comme une folle pour quelques billets mais bon c’était de gros poissons qu’il voulait observer aucun risque de tomber sur maman surtout que je ne savais plus ou elle habitait, elle avait vendu la maison et s’était tirer je ne sais ou. Théo ne répondait plus trop à mes appels, des affaires compliqué soit disant, je crois que depuis le baiser c’était ça son affaire compliqué pourtant c’était qu’un baiser entre ami rien de plus. Non c’était pas rien, on savait très bien tout les deux qu’on avait mis les pieds dans le plat mais qu’on ne voulait pas l’avouer. Ma première affaire concerner un riche magnat de la ville de Chicago qui employé des trafiquants de drogues. Je devais repéré deux d’entre eux car ils étaient suspect dans une affaire de viols à répétition, mon profilage me mena dans un bar ou plutôt un club de streap ou ils avaient leur habitudes. Je les observais depuis un moment, sur les deux un seul me semblait suspect, l’autre était trop entiché d’une fille pour aller violer des filles en série. Par contre le deuxième était plus pervers, plus sombre, il regardait les filles en les détaillants, il leur offrait à boire alors qu’elles étaient déjà saoule. Et puis il est entré dans le club, mon Théodore, mon ami, mon confident, il était là. Je ne pouvais pas sortir de derrière mon bar mais je commençais à comprendre pourquoi nos rêves s’éloigner, Derek le patron de la boite lui indiqua le chemin de son bureau, je lançais un regard interrogateur à ma partenaire de service. Elle m’expliqua que mon Luke blanchissait de l’argent que lui donner son père dans la boîte et qu’il avait des projets de clubs dont il voulait parler avec le patron. J’étais furax, mais je ne pouvais rien faire, tu m’étonnes qu’il avait su comment s’occuper du corps du mec qui avait tenté de me violer, c’était forcément pour ça qu’il trainait là. Je me re concentrais sur mon job pour pouvoir oublier ce que je venais de voir. Un de mes profils commençait à parler à une fille de la boîte, un peu saoule mais pas complètement. Les filles parlaient beaucoup de lui, il était méchant, et il obtenait tout ce qu’il voulait de grès ou de force. Je quittais mon service le soir même j’en avais assez vu pour ce soir et je pouvais tirer mes conclusions et les donner à mes supérieurs.

Je passais la nuit au bureau, je tapais mon compte rendu, à pensant à Théodore, il m’avait menti tout ce temps, je me demandais bien pourquoi il était resté tout ce temps mon ami, on était bien différent en définitive, c’était peut être un avocat mais je commençais à me douter quels clients il défendait. Il aider son père à blanchir son argent et en plus il faisait des projets pour ouvrir des boîtes un peu particulières. Mais qui était-il pour me mentir comme ça ? Je fixer mon téléphone, je savais qu’il m’avait aperçu, il m’avait jeter qu’un seul regard, et puis plus rien. Je m’attendais à un appel pour m’expliquer tout ça , pour me rassurer mais non rien de toute ça il m’effacer peu à peu. Elliot un de mes collègues de bureau me trouvant un peu trop à son goût venait d’entrer dans le pôle de conférence. Il avait pris place face à moi. Je sentais son regard sur moi mais je n’avais d’yeux que pour mon portable. Il avait un petit sourire moqueur, je venait de finir mon rapport. Je me levais pour le mettre dans la pile de rapports à envoyer de manière urgent aux patrons, j’avais malgré tout bien bosser cette nuit là ainsi que les autres nuit pour démasquer ce fichu violeur en série bien trop sur de lui. Je reprenais place face à Elliot.
« Tu sais je crois pas qu’il appellera »
« Mais je t’emmerdes Elliot et de toute manière je regarde l’heure ! »
« Tu regarde l’heure toute les 30 secondes toi ? »
« Dis moi tu compte jouer au gros lourd toute la matinée ou c’est juste histoire de me casser les pieds »
« Je dis pas ça pour te faire chier, juste que si ce mec te rappelle pas, c’est simplement qu’il est pas fait pour toi. Tu sais je doute que les gars que tu rencontre soit le genre de type à être un père de famille qui jouera au ballon avec tes enfants et organisera des barbecues géant le week-end »
« C’est sûr que lui et moi et des enfants.. Dis t’as pas faim toi ? Parce quoi moi je meurs de faim ! »
« Euh ouai je connais un petit restaurant sympa au coin de la rue si tu veux on peut y faire un tour »
« Et ben alors qu’est-ce qu’on attends »


Elliot est un super partenaire, c’est vraiment un bon profileur sauf quand il s’agit de m’étudier moi, il fait généralement tout faux. Je suis pas du genre à vouloir une grande famille, une grande maison et des barbecue géant, je suis plutôt du genre à prendre mon pied le soir en rentrant du boulot et à changer de toy boy le lendemain. Pourtant j’aime bien parler de tout et de rien avec Elliot, il a quelque chose de serein et d’aimable. Et c’est quand je ne pense plus à lui qu’il se manifeste. Le téléphone sonne, je préfère ne pas lui répondre, il avait qu’a se manifester avant et puis je peux pas planter Elliot, il me supporte c’est déjà ça, et puis au moins il est honnête lui. Sauf que Théodore n’est pas du genre à ce qu’on l’ignore et mon téléphone se lance dans un concerto de vibration. Je suis obligé d’abrégé notre lunch. Je quitte le restaurant un peu sur les nerfs, non seulement il remet à cause plus de 5 ans d’amitiés et en plus il trouble un déjeuner avec un mec bien qui irait très bien dans mon lit, oui dis comme ça , ça fait très plante verte mais bon il a un joli cul il faut dire ce qui est vrai ! Je compose son numéro plus qu’énervé et c’est ce moment qu’il choisit pour m’ignorer, furieuse je hèle le premier taxi qui est à mon porter demander au chauffeur de se rendre chez lui, si il veut jouer au con , je vais lui en donner de la connerie et à l’échelle puissance 100 dans ce cas là. Je suis une idiote il me connaît par cœur, le portier de l’immeuble me dit d’entrer sens frapper que monsieur m’attends à à son appartement. Il est ingénieux et moi je suis une pauvre idiote qui court dans ses filets. Je rentre encore plus énervé dans l’immense appartement , claque la porte et le regarde en train de siroter un vin rouge confortablement installer sur son immense canapé. Je met à hurler de toute mes forces.
« T’es vraiment qu’un salopard, c’était quoi ton petit jeu là hein, faire le mec trop charitable qui sauve la petite miséricordieuse, qui fait disparaître la scène de crime, lui paye des études et lui faire croire qu’il est son ami. En fait t’es qu’un pauvre con ! Tu sais ce que t’es ? T’es un menteur, un merdeux qui passe son temps à mentir, alors comme ça t’avais des affaires urgentes à régler, mais tu sais quoi être avocats ne fait pas de toi quelqu’un de bien , au contraire t’es un pourris et tu te fais passer pour le petit ange gardien de la pauvre fille des quartiers sud de Chicago. Alors dis moi ça t’a plus de te foutre de ma gueule ? Dis moi c’était trop jouïssif ou alors t’as pris ton pieds comme tout ses pervers que tu côtoyes ? Ah mais laisse moi deviner le soir ou tu m’a trouver , c’était peut être à un rendez-vous avec une des tes amies stripteaseuses parce qu’apparemment tu les connais bien non ? Tu vas arrêter de sourire oui ! Je suis pas une pauvre conne, tu crois que j’ai cru que t’allais parler chiffons et souvenirs avec ce pourris ! Tu me dégoutes ! T’entends tu me donne la gerbe, t’es comme tout ses mecs que ma mère s’envoi. Et puis tu vas encore me laisser te traiter de gros con sans réagir ? Remarque à par me mentir je me demande bien ce que tu pourrais me dire, parce que franchement dans le genre gros looser de merde t’es dans le top ten là ! »
Il me regardait comme si j’étais devenu bleu ou orange, comme si un alien s’était amusé à jouer avec mes émotions, ça l’amusait de me voir dans mes états mais fallait que ça sorte, j’étais peut être aller trop loin mais voilà , comment avait-il pu me mentir cet enflure !
« Ca y est t’as finis ta tirade d’insultes ? Non parce que sinon je te laisse continuer hein ! »
« Mais t’es vraiment un salop de merde, espèce de connard ! »
Oui j’étais effectivement allait peut être un peu loin .. Il me faisait face de toute sa stature, il était grand, beaucoup plus grand que moi, et j’avais du le mettre en colère parce que ses yeux me lançais presque des éclairs.
« Si je te fais si honte que ça pourquoi tu t’es précipité chez moi hein ? Tu crois que je me serais amusé à passé mes journées avec toi si j’avais eu juste envie de me foutre de ta gueule ? Tu sais quoi viens on remonte le temps, je suis enfoiré peut être, mais n’oublie pas que si tu peux être dans le FBI aujourd’hui c’est parce que j’ai réalisé tes rêves et que je t’ai un petit peu épargner la prison, parce quand on se ballade dans la chambre d’un mac, qu’on le descend et qu’on laisse l’armes avec ses empreintes on joue un peu au con aussi ! Alors ouai excuse moi de t’avoir permis de te sortir de là ! Et puis tu crois que si j’avais pas un peu d’importance pour ta personne je t’aurais aider à faire parti de se cher FBI, au risque que tu me balances un jour ? Tu crois que je défends que des pourris, puis tu sais quoi crois ce que tu veux puisqu’apparemment t’as le droit de juger les gens, moi aussi j’ai un père qui fait des conneries et je répare tout ça pour que justement je puisse dîner avec lui encore un peu avant qu’il aille en prison. Alors oui je l’aide à blanchir son argent mais toi t’as défendu ta mère, tu l’as aider, tu l’as jamais dénoncé pour sa prostitution alors je te permets pas te me traiter de connard de merde. Tu me traite de grand méchant loup avec ton regards accusateur mais tu sais quoi entre nous deux la petite conne c’est toi. Tu m’as appelé pour qu’on aille manger ensemble comme avant après être devenu quelqu’un d’important ? Non, alors viens pas me faire chier parce que je t’ai cacher des trucs embarrassant sur moi et ma famille »
J’étais scotché sur place, c’est la première fois qu’il me hurler dessus, la première fois qu’il me faisait peur et pourtant au lieu de prendre mes jambes à mon coup tout ce que je trouvais à faire c’était de frapper son torses avec mes petits points inutile comme si ça pouvait changer quelque choses. Ses mains se refermer sur mes poignets me collant au mur, son regard avait changé, j’étais quelqu’un d’autre dans ses yeux, quelqu’un de beaucoup plus important, son corps collait au mien, respirant mon odeur, ses glissants derrières mes cuisses pour me soulever, c’était instinctif mes jambes se cramponnant à lui pour ne pas le laisser partir, et c’était un autre baiser qu’il me donnait, un plus violent , plus fougueux, plus hargneux, son pull vola au loin et la suite se termina dans sa chambre, la première fois que je la voyais et surement pas la dernière, c’était animal, puissant, je n’avais jamais rien ressenti de pareil, il s’était emparé de moi. Une fois finis il me contemplait comme pour apprendre par cœur mes courbes.

Notre relation est complexe, cette première aventure corporelle ne fût pas la dernières, nous nous attirons comme des aimants même si nous préférons seulement dire que ce sont nos corps qui s’attirent et non nos âmes. Je ne lui avouerais jamais que je l’aime plutôt crever, c’est pareil pour lui, alors nous baisons, nous nous hurlons dessus, parfois il arrive que nous retrouvions notre complicité d’avant mais nos deux mondes se heurtent trop souvent pour que cela ne dure plus que deux heures.


Dernière édition par Freedom M. Linghton le Jeu 12 Jan 2012 - 12:36, édité 6 fois
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Amanda Crazy Crazy
Un agent du FBI ? ça risque d'être drôle ^^
Bienvenue parmi nous ! S\'il to plait
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AMANDA Crazy

Garde moi un lien au chaud et bienvenue sur le forum *-*
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Une nuit, j'ai rêvé que j'étais Dieu.
Au matin, je réalisais mes rêves

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Bienvenuuuuuue sur le fofo et merci beaucoup pour ton inscription !!
Agent du fbi, j'adoooore et j'adhèèère

Je te dis bonne chance pour la fin de ta fiche ♥
Si tu as la moindre question, le staff est là pour t'aider =D

& j'ai validé ton code ^^
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http://closertotheedge.purforum.com

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Bienvenue sur le forum Heart
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Bienvenue sur le forum (:
Bonne continuation pour ta fiche. Heart
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Summer K. Jones



Summer K. Jones


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ADMIN DEJANTEE
☠ La mort est douce et paisible.

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Bienvenue sur le forum & merci pour ton inscription =D
Bonne chance pour ta fiche, si tu as la moindre question le staff est là.

Magnifique choix d'avatar & de prénom S\'il to plait
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Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche (: Le moindre souci et le staff est la pour t'aider (a) Crazy
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Han merci à tous vous êtes tous à croquer Heart Crazy heart Youu Friends love
Bon sinon à part ça, euuuh je travaille à l'histoire de la petite freefree :)
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V. Bambie Keyne



V. Bambie Keyne


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Bienv'nue !
Amanda bave Il nous faudra un lien =D
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Merci :)
Je confirme il nous faut un lien Houra
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Désolé du double post, je pense avoir finis ma présentation :)
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Je m'occupe de toi alors Heart
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Heart Kiss Happy Câlin Crazy heart Hugs Bisou Heart In love Calinou Youu Sucette love Jongle Feu de camps Calin ϟ Tu es tordue et torturée, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es...ϟ  FreeFree 623351 Dessine un coeur love Hug

Je ne suis pas du tout déranger (a)
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J'aime les gens dérangé ϟ Tu es tordue et torturée, ce n’est pas un défaut, c’est une force, ça fait de toi ce que tu es...ϟ  FreeFree 31152

Pour moi tout est parfait S\'il to plait

Tu es donc validé (a) tu peux recenser ton avatar, faire tes fiches de liens et de rp, voter un maximum de fois sur les tops site, si tu es sur Bazzart et prd file vite poster un mot gentil sur nos fiches pubs (a) et amuse toi bien sur le forum (a)

Have fun Kiss
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